Cette fanfiction ne m'appartient pas, elle a été écrite par Penguin. C'est un One-shot et je ne fais que le traduire. Je m'excuse d'avance si ma traduction est trop approximative, je ne suis pas très douée en Anglais. Mon choix c'est porté sur cette courte histoire car il y a peu de fiction sur Gakuen Heaven et je la trouvais assez simple pour essayer de la traduire. Par ailleurs, je remercie Penguin de m'avoir autorisé à le faire et Eclat-de-Lune pour tout ce qu'elle a fait pour moi. J'espère qu'elle pourra lire cette fiction de la où elle est. "The Kazunii Constellation" est le vrai titre de cette fiction.

Démenti de l'auteur : Ces personnages ne m'appartiennent pas, je les emprunte pour mon propre amusement (et avec un peu de chance pour le votre aussi). Je ne touche pas d'argent.

Bonne lecture!


La Constellation de Kazu-nii

C'était l'été ma sœur venait de naître, je devais avoir six ans. J'ai cru que je ne me souviendrais plus de cet âge, mais la plupart de mes souvenirs sont vraiment vagues, presque totalement flous. Je me souviens surtout des couleurs, des odeurs et de l'atmosphère générale sans exemple précis, mais ce dont je me souviens totalement est vraiment magique, clair. Les ombres brillantes de vert et de bleu du bijou, les feuilles, l'herbe, l'eau et le ciel. Les grandes pièces claires et spacieuses avec des planchers de bois polis et la lumière du soleil traversant des hautes fenêtres. Les insectes attrapés dans les bocaux, étudiés et libérés. Les rires et les feux d'artifices. La magie et le bonheur. Et ta voix, Kazuki. Ta gentillesse et ta voix.

Même si j'avais oublié, ou avais cru avoir oublié, tout cela doit avoir vécu en moi tout ce temps, mis de côté dans ma mémoire comme cette peinture dans le grenier, celui avec notre note glissée sous le cadre. Quant tu me parle de choses de cet été-là, qui ressemble aux paroles que tu avais déjà dis, cela fait un déclic dans une partie de ma tête, comme si les souvenirs retrouvent leur place et s'y installent, joyeusement.

Il y a eu de petits signes de reconnaissance depuis notre première rencontre à Liberty Bell, les choses que tu as dit ou avais dit ont touché quelque chose en moi, les souvenirs remués qui n'ont pas fait tout à fait surface dans mes pensées conscientes, ont coulé dans les profondeurs avant que je ne puisse les saisir. Je te connaissais, Kazuki, avant de te reconnaître.

Maintenant que je sais que chercher de plus en plus de souvenir me reviennent. Je me souviens de toi m'asseyant dans l'herbe avec ton dos contre un tronc d'arbre, ton sourire. Je me souviens de ta voix quand tu as crié pour moi. Te souviens-tu de m'avoir serrer dans tes bras quand j'ai été effrayé par l'orage ? Te souviens-tu de nous regardant le ciel nocturne d'août, quand les étoiles étaient si brillantes ?

Oui, tu dis, tu t'en souviens et ensuite tu me dis comment tu m'as montré plusieurs constellations, comment tu m'as dis leur noms et que chercher, ce qu'étaient leurs formes si on raccrochait les étoiles individuelles. Et tu m'as dis que j'avais dit : « Et il y a la constellation Kazu-nii, elle est comme ton visage. »

Quand tu dis la chose qui fait un déclique à l'intérieur de moi de nouveau, je peux seulement te regarder. Je ne peux pas détacher mes yeux de toi, parce que quand tu me regardes comme ça, je sais que j'ai porté la constellation Kazu-nii avec moi et ai navigué par elle depuis. Dans mon ciel privé, intérieur, la constellation Kazu-nii a les étoiles les plus brillantes d'entre toutes.


Voilà, c'est la fin. Pardon pour les fautes s'il y en a. J'espère que d'autres fictions en français feront leur apparition sur ce site.