Bonsoiiiiiiiiiiiiiiiiiir ! Me revoilà ! Non, je ne suis pas morte!

J'ai conscience que je laisse trainé en longueur pour mes fictions tel que "Crime de papier" mais il y a une raison à cela... : je passe mon BEP à la fin de l'année et les profs on décrété qu'on devait bosser comme des fous... Résultat le temps libre et l'inspiration, niet! Et c'est pas peine d'avoir essayé... Je suis vraiment désolé!

Enfin, cet idée d'histoire mes venue comme ça... J'étais en train de faire de la bio alors.. XD.

J'espère quelle vous plaira!

J'ai aussi l'immense plaisir (ou pas...) de vous présenté... Moi ? Mais un moi.. Pas moi. Vous saisissez? Non? Vous comprendrez plus bas alors haha!

Bonne lectuuuure!


Du bleu. Pourquoi ne voyais-je que du bleu ? Cette couleur était pour moi synonyme de tellement de douleur…

« Ichigo ? » Cette voix…

« Suis-moi Ichigo… » Cette voix lointaine, d'où provenait-elle ? J'aperçus une personne à une vingtaine de mètres de lui et reconnus directement cette silhouette. J'accourus dans cette direction, essayant de m'approcher de Lui… Pourtant, plus je voulais avancer, plus je m'éloignais de mon but.

« Reste avec moi, comme ça, où qu'on aille, tu seras toujours en sécurité. Je te promets qu'un jour, on vivra dans un monde à notre image, et ce jour-là, tu seras enfin heureux, Ichigo… » La voix s'éloigna au fur et à mesure puis finit par s'éteindre, me laissant seul avec mes larmes.

Ichigo s'éveilla soudainement, le corps en sueur. Il tacha de reprendre sa respiration et de calmer les battements de son cœur. Pourquoi fallait-il que ça vienne encore le hanter ? N'avait-il pas déjà assez souffert de la mort de… Non, ne pas prononcer son nom, il se l'était interdit. Il se retourna vers l'homme qui occupait sa vie depuis la mort de… L'autre. Ses longs cheveux noirs balayaient son visage, alors que ses yeux violets restaient clos. Il dormait encore à poings fermés.

- Nnoitra ?

- Humf ? lui répondit une voix tout sauf réveillée.

- J'ai encore fais un cauchemar…

Cela suffit à réveiller totalement le plus âgé qui se retourna subitement vers le rouquin, le serrant contre son torse nu.

- Tu sais Ichi', ça fait quand même plus de 6 mois que je t'ai recueilli après qu'Il soit mort… Il faut que tu te maitrises ! Tu as 19 ans maintenant !

- Mais… Il Il a toujours été là pour moi… Depuis la mort de mes parents, il a toujours veillé sur moi… Toujours… Il me manque, c'est affreux… Tu n'imagines même pas Nnoitra…

- Tais-toi ! dit abruptement Nnoitra, soudainement énervé.

- Que… ? demanda Ichigo avant de se faire tourner subitement sur le ventre, Nnoitra se collant à son dos.

Le brun ne chercha pas le moins du monde à cacher ses intentions et frotta son érection contre les fesses du rouquin qui commençait à paniquer.

- Non ! Nnoitra... Tu avais dit plus jamais comme ça ! P… Pourquoi tu fais ça ? Pleura-t-il lorsqu'il sentit son boxer glisser le long de ses cuisses alors qu'un des longs doigts de Nnoitra s'insinuait en lui.

- Mais c'est de ta faute Ichigo ! Tu sais très bien que je n'aime pas que tu me parles de lui… Et tu me dis qu'il te manque ? cria-t-il en retirant son doigt, se positionnant à son entrée.

- Aie ! Non ! Nnoitra ! Ne… Ne rentre pas ! AAAAAAAAAH ! Hurla Ichigo lorsque la colonne de chair chaude s'insinua en lui, écartant sans la moindre délicatesse ses parois trop serrées.

- Tu m'aimes, n'est-ce pas Ichigo ? susurra Nnoitra à son oreille, commençant une longue série de mouvements plus brutaux les uns que les autres.

- Nnoitra ! S'il te plait… Ah ! Arrête ! ça fais trop mal Nnoitra !

- Pourquoi tu me fais ça à moi Ichi ? N'ai-je donc pas été comme un père pour toi ? Depuis qu'Il t'a quitté, qui a pris soin de toi hein ?

- T… Toi…. Aie !

- Oui ! C'est moi qui ait pris soin de toi alors que ce bâtard t'a abandonné !

- Non ! IlIl ne m'a pas abandonné ! Il est… Il est…

- Il est mort c'est ça hein, Ichi ?

De grosses larmes s'agglutinèrent dans les yeux d'Ichigo alors que ses yeux se voilaient, laissant déferler en lui une vague de souvenirs plus douloureux les uns que les autres.

« Maintenant, tout va bien se passer, tant que tu seras avec moi je te protégerais. » C'était sa voix…

« Ichi ! Cours ! Ne te retourne pas et cours ! Tout va bien se passer pour moi, ne t'inquiète pas ! Cours et ne reviens pas me chercher ! On se retrouvera en temps voulu ne t'inquiète pas je te dis ! Ne pleure pas non plus ! »

La sensation de ses lèvres sur les siennes… Dans un dernier baiser, une dernière étreinte avant qu'Il ne parte affronter les poursuivants. Et pourtant, Ichigo ne bougeait pas, trop effrayé pour pouvoir esquisser le moindre geste. Ses yeux suivaient d'eux même sa silhouette alors qu'il se battait, enchainant coups de poing, coups de pied et coups de feu.

Avant qu'Ichigo ne comprenne quoi que ce soit, deux orbes bleus se ruèrent vers lui, le protégeant de toute sa carrure alors qu'une forte détonation retentit. Il fallut quelques instants à Ichigo pour comprendre qu'Il venait de le protéger de son corps contre une balle dirigée vers lui. Son corps s'effondra au sol, du sang s'échappait de sa blessure au niveau du nombril. Ichigo tomba à genoux devant lui, des larmes coulant le long de ses joues.

- Ichi… Susurra la voix grave, emplie de douleur.

- Je suis là…

Deux yeux bleus se tournèrent vers lui, des yeux remplis d'une tristesse infinie. Comment pouvait-on décemment être en vie lorsqu'on ressentait autant de douleur ?

- Pars Ichi… Je veux juste que tu saches que je t'aime… Et que… J'aurais voulu te protéger… Plus longtemps…

Sur ce, le corps s'effondra sans vie. Un long hurlement s'échappa des lèvres d'Ichigo. Il se releva et partit en courant. Il courut, longtemps, très longtemps. Trop longtemps même. Ce fut au bord d'une route qu'il tomba au sol, complètement épuisé autant physiquement que mentalement. Seul un mot franchit ses lèvres avant qu'il ne s'évanouisse. Un mot. Un seul mot contenant des milliers de sentiments : « Grimmjow… ».

- Alors Ichi, on se rappelle de bons souvenirs que tu as passé avec ce con ? Cria la voix de Nnoitra, toujours en lui.

- …

- Tu es vraiment un bon à rien Ichigo… chuchota l'ébène en se répandant dans le corps frêle qui tremblait.

Il se retira du corps du rouquin avant de s'allonger dans son lit, serrant l'adolescent dans ses bras de façon possessive.

- Tu es à moi maintenant, rappelle-toi.

Un sanglot échappa à Ichigo, faisant apparaitre un large sourire sur les lèvres de Nnoitra.

- Ah, oui. N'oublie pas que demain tu as rendez-vous avez Ulquiorra Schiffer… Il a beaucoup apprécié ta prestation de l'autre fois, Ichi.

- Non… murmura Ichigo, plus pour lui-même qu'à l'intention de Nnoitra.

- Désolé de t'apprendre que si Ichigo.

- Pourquoi ? Pourquoi tu me fais ça ? Tu as dit que tu m'aimais et que tu me protégerais quoi qu'il arrive… Pourquoi tu n'es plus là ?... Tu me manques, tu me manques tellement, mon unique amour…

~ Le lendemain, 11h.

- Hé ! Ichigo ! Réveille-toi, c'est l'heure ! Je te rappelle que tu as rendez-vous à 13h !

La voix de Nnoitra… Pourquoi fallait-il qu'il le harcèle comme ça… Il était si bien dans son rêve, perdu dans les bras musclés et chauds de… Lui.

Une main emprisonna soudainement son bras, le forçant à se lever malgré lui. Son corps nu frissonna au contact de l'air avant de se retrouver plaqué contre le mur, une main le forçant à lever les yeux vers son compagnon.

- Alors, Ichi, ça va mieux ?

- Oui… chuchota-t-il.

- Bien alors, embrasse-moi, va à la douche et viens prendre un petit déjeuner, je t'amènerais moi-même chez Ulquiorra.

- Oui, Nnoitra…

L'ébène le lâcha et le rouquin se mit sur la pointe des pieds, embrassant succinctement ses lèvres avant de se diriger rapidement vers la salle de bain. Il entra directement dans la douche et fit couler l'eau chaude, la laissant détendre chaque muscle de son corps. Il se savonna et se rinça pour sortir rapidement de la douche. Il se sécha et enfila un yukata bleu foncé brodé d'or pour se diriger ensuite vers la cuisine d'où une délicieuse odeur de gâteau au chocolat s'échappait. Il s'assit à la table et observa la longue silhouette de son amant sortir ledit gâteau du four pour en couper une large part qu'il positionna dans une assiette qu'il tendit ensuite à Ichigo qui s'en saisit avec un grand sourire.

- Merci !

- Mais de rien, petit lion.

- Humf, répondit Ichigo la bouche remplie du succulent gâteau que lui avait préparé Nnoitra.

- Il est bon ?

- Succulent !

Ichigo se surprit lui-même à être de bonne humeur. Comment pardonnait-il toujours tout à Nnoitra ?

- Tu es prêt pour aller chez Ulquiorra, petit lion ?

Un éclair de douleur passa dans les prunelles ambrées d'Ichigo, laissant transparaitre un instant ses émotions.

- Pourquoi tu m'obliges à faire ça ? Chuchota-t-il, avalant son dernier morceau de gâteau tout en tâchant de se faire tout petit.

- Tu me demandes pourquoi ? Mais c'est évident Ichi, c'est pour que tu payes ton loyer. Et étant donné que tu n'as aucune qualification, ce job est parfait pour toi !

Des larmes. Encore. Aussi loin que remontaient ses souvenirs, chaque jour sous le joug de Nnoitra avait été ponctué de larmes. Alors que lorsqu'il était avec Lui… Chaque jour avait était ponctué de fous rires incontrôlables, d'amour, de tellement de bonheur…

J'étais resté pétrifié alors que des hommes avait tué mes parents sous mes yeux. Yeux dégoulinants de larmes. J'avais 8 ans. Que pouvais-je faire à 8 ans contre une dizaine d'hommes armés ? Un d'eux tourna soudainement son arme vers moi. J'ouvris la bouche et poussai un hurlement de pure peur. C'était à ce moment qu'Il arriva. Seul contre dix hommes, il les avait tous vaincus, enchainant des coups plus spectaculaires les uns que les autres. Il se tourna ensuite vers moi, ce fut la 1ère fois que ses opales me transperçaient du regard. Il avança et s'agenouilla devant moi.

- Comment tu t'appelles, Gamin ?me demanda-t-il.

Sa voix était aussi chaude qu'une étreinte maternelle. Elle me mit en confiance dès la 1ère seconde.

- Je… Je m'appelle Ichigo… répondis-je en pleurant encore plus, mes yeux ne pouvaient se détourner des corps de mes parents.

- Ichigo… Suis-moi Ichigo, je te promets de te rendre heureux…

- Que ?...

- Reste avec moi, comme ça, où qu'on aille tu seras toujours en sécurité. Je te promets qu'un jour, on vivra dans un monde à notre image, et ce jour-là, tu seras enfin heureux, Ichigo…

Je n'avais pas répondu à cela, mais il m'avait tendu la main en se redressant et je l'avais saisi, symbolisant ainsi ma confiance, et ma volonté de vouloir le suivre. Il enleva sa cagoule et je pus ainsi voir son visage. On aurait dit un ange avec des cheveux bleus et des yeux de même couleur.

Il avait tenu sa promesse et m'avait amené avec lui d'un pays à l'autre. J'avais quitté mon Japon natal pour m'installer en Chine, en Allemagne, en Italie et pour finir en France. C'était là que Grimmjow était…

En Chine, nous y étions restés 6 mois et j'y avais fêté mes 9 ans le 15 juillet. Le lendemain de mon anniversaire, nous avions décollé pour l'Allemagne où nous étions restés plus de deux ans. J'allais à l'école, m'étais fait des amis… J'avais oublié le meurtre de mes parents, grâce à Grimmjow qui avait toujours été là pour m'écouter et me réconforter dès que j'en avais besoin. Grimmjow pansait mes blessures une à une. Pour mes 11 ans, le bleuté m'avait offert un voyage en Italie. C'était là que nous avions vécu l'un et l'autre les meilleurs instants de nos vies. Nous avions passé 6 ans là-bas…

~ 16 ans d'Ichigo :

J'étais sorti avec des amis dans Rome et nous nous étions assis à la terrasse d'un café.

- Quatre expresso, avait commandé Rukia.

- Et une crêpe au caramel pour moi ! avais-je ajouté, un large sourire aux lèvres.

- Tu vas grossir Ichigo ! m'avais lancé la petite brune, se moquant de moi ouvertement.

- Rukia a raison, Ichigo, avait ajouté Inoue, d'une petite voix.

- Maaaais ! Laissez-moi tranquille et arrêtez de prendre votre cas pour une généralité bon sang !

- Vous savez que je ne suis que très peu d'accord avec Kurosaki mais… Il a raison. Il pourrait s'engouffrer une dizaine de crêpe au caramel, avec plus de caramel que de crêpe, et gardera la ligne ! m'avait défendu Ishida.

Nous avions ris alors que nos cafés arrivaient. Une fois qu'ils furent bus et la note réglée nous sommes partit en direction de la maison que je partageais avec Grimmjow… Mon cœur s'emballait alors que je pensai à lui. Pourquoi ? Lorsque je pensais à Ishida, Inoue ou encore Rukia, rien ne se produisait mais Grimmjow…

- Pourquoi tu rougis Kurosaki ? me demanda alors Ishida.

- Je rougis pas ! avais-je protesté vivement.

- Mais c'est vrai que tu rougis Ichigo ! s'exclama alors Rukia en pinçant mes joues, un large sourire sadique prenant possession de son visage.

- Rukia… Laisse Ichigo tranquille…

Je repoussai le petite brune et partis en courant jusqu'à chez moi, comptant bien évidemment me terrer dans ma chambre loin de leurs railleries. C'était bien sûr sans compter sur leurs impressionnantes performances athlétiques qui leur permirent de me rejoindre avant que je ne ferme la porte.

- Grimmjow ! Grimm ! Viens m'aider ! avais-je hurlé à travers la maison, tâchant tant bien que mal d'enfermer mes amis à l'extérieur.

Le bleuté dévala très rapidement les escaliers, inquiet des cris d'Ichigo.

- Qu'est-ce que tu fais ? me demanda-t-il, d'un air sceptique, prenant tout son temps pour s'approcher de moi.

- Ils m'embêtent ! Aide moi à maintenir cette fichue porte fermée !

- Ok, ok j'arrive.

Il s'approcha encore et colla son torse à mon dos, appuyant avec toute sa force pour fermer complètement le battant de la porte. Les battements de mon cœur s'accélérèrent brutalement en sentant le torse si bien dessiné du bleuté, ses abdominaux contractés ainsi que son souffle dans mon cou… Sa main effleura la mienne alors qu'il fermait le verrou et une vague de chaleur s'insinua en moi. Une fois la porte sécurisée, je me retournai lentement pour lui faire face.

- Merci, Grimm… Dis-je en baissant les yeux, nos corps à quelques centimètres l'un de l'autre.

- Mais de rien Ichi… Au fait ! Viens par-là ! dit-il en m'empoignant, me tirant vers le salon.

Je le suivis sans rechigner, tachant de calmer une fois encore mon cœur. Il me poussa ensuite sans ménagement sur le canapé, un grand sourire carnassier sur le visage. Sans s'embarrasser de paroles inutiles, il partit dans la cuisine et revint avec un énorme gâteau recouvert de fraises.

- Joyeux anniversaire, Berry, Joyeux anniversaire, Joyeux anniversaire Berry, Joyeux anniversaire !

Un grand sourire illumina mon visage alors qu'il posait l'imposant gâteau orné de 16 bougies devant moi.

- Fais un vœu, Ichi, me susurra-t-il à l'oreille en s'asseyant à côté de moi.

Je frémis et tâchai de me concentrer. « Faites qu'il ne m'envoie pas bouler quand je lui avouerai… ». Sur ce, je soufflai toute les bougies. Enfin, j'ai dû en souffler quelques une et lui, tout le reste. Il avait toujours fais ça, diagnostiquant de lui-même que je n'avais, soi-disant, pas assez de souffle pour le faire seul. Je me tournai vers lui et lui sourit gentiment.

- Alors, tu veux quoi comme cadeau cette année ? me demanda-t-il tout sourire.

- Humm… fis-je semblant de réfléchir.

Pourquoi étais-ce si dur de le dire ? Un mot à dire. Un seul. « Toi ».

- Tu sais que tu es tout rouge depuis que tu es rentré Ichigo ?

- Ce… C'est pas vrai ! protestai-je.

Il s'approcha de moi, me forçant à m'allonger sur le canapé, lui se mettant à quatre pattes au-dessus de moi.

- Alors ? Qu'est-ce que tu veux comme cadeau, Berry ? redemanda-t-il en baissant dangereusement son visage au-dessus du mien.

- Je… Toi, soufflais-je.

- Humm… Moi ? dit Grimmjow avec un sourire carnassier qui ne présageait rien de bon pour moi.

- Oui…

Ne me laissant pas le temps de réagir, Grimmjow abattit brutalement ses lèvres contre les miennes, quémandant l'ouverture de ma bouche en titillant ma lèvre inférieure avec sa langue. Je la lui autorisai, bien sûr… J'avais tant attendu ce moment… Une de ses mains se posa sur ma hanche tandis que de l'autre il relevait mon tee shirt. Sa main effleura, accidentellement ou non, mon torse, provoquant un délicieux frisson.

- Gr… Grimm…

Je me sentis soudainement relevé. Grimmjow me portait dans ses bras tout en montant les escaliers qui menaient à sa chambre… Il ouvrit la porte d'un coup de pied et la referma de la même façon, me projetant quelques secondes plus tard sur le lit. Il se remit à quatre pattes et s'accapara voracement de mes lèvres. Mes mains se posèrent automatiquement dans le bas de son dos et l'autre dans ses cheveux, les caressant doucement, savourant leur texture. Les mains de Grimmjow, elles, m'enlevèrent bien rapidement mon tee shirt, touchant encore et encore ma peau frissonnante. Ses lèvres descendirent dans mon cou, le léchant sur toute sa longueur puis le mordillèrent…

- Ha ! Grimm…

Il ne répondit pas mais descendit encore plus, léchant maintenant le haut de mon torse tout en prenant en main un de mes mamelons.


Hahahahaha, hihihihih, fuhuhuhuuhhu... J'arrête... Si vous posez ces couteaux!

Namého! ... Bon ben voilà hein :D. J'écrirai et posterai la suite si vous aimez!

Shirohélo: Dis surtout que tu publiera quand tu auras plein de reviews!

Koei-kun: Du tout... Gniark... En faite, si ! La suite de cet histoire ne dépend que de vous cher lecteur!

Shirohélo: Fuhuhuhuhuhu...