La dépression de Harry

Disclaimer tout ce que je n'ai pas inventé appartient a JK Rowling.

Ceci est un one shot.

J'ai beau fuir et pourtant les problemes me suivent à la trace. Je dois encore partir. Je détruit ce que je construit mais je n'arrive jamais à me construire. On m'a ramassé à la petite cuillere, ce ne sera pas la première fois. Parfois, je n'ai plus envie d'accomplir mon destin je me dit que je ferai mieux de me faire tuer par voldemort. Mais on m'oblige, on m'a mis dans l'aile psychiatrique de sainte mangouste, mais ca ne sert pas à grand-chose. Pendant un certain temps ca m'a stabilisé, mais peu à peu la déprime revient. Que faire ? Vais je devir puiser dans les drogues que l'on me donne pour que je sois à peu pré normal toute ma vie, faut t'il que je sois obligé d'etre la machine de guerre qu'attends le monde sorcier. On me dit que je vais m'en sortir mais moi je sais depuis longtemps que ca ne sera jamais le cas, chaque fois que le terme de mélancolie apparassait dans les livres depuis ma plus tendre enfance, je savais parfaitement que je l'étais, je le suis encore et le saurait toujours. Depuis mon plus jeune age, je sais que je vais déceder jeune dans des circonstance dramatique telle un suicide. Pourquoi faut t'il que ce soit moi l'élu, il m'admirent, il me croyent honoré, gaté, choyé, mais que savent t'ils de ma vraie vie. Savent t'ils que ma tente me bat, tandis que mon oncle me viole et que chaque été je dois y revenir a cause de la protection du sang de ma mère. Si j'en avais la force j'éclaterai de rire, parce que peut on vraiment appeler cela une protection. Tout le monde décrit mes parents comme des gens merveilleux, mais qu'en était t'il vraiment, j'ai plus tendance à croire Rogue sur mon père que Sirius qui est complètement aveuglé par l'amour. Quand à ma mère si elle était comme sa sœur bonjour l'angoisse. Tout ce qui me reste a faire est de quitter ce monde je pointe ma baguette sur moi et prononce la formule avada kédavra, je suis mort.