Je suis perdu, vois-tu, je suis noyé, inondé d'amour; je ne sais plus si je vis, si je mange, si je respire, si je parle; je sais que je t'aime. ( - Alfred de Musset - ) Nos chemins se sont croisés, nos yeux se sont accrochés, ton micro sourire est devenu mon soleil, ton indifférence une grande merveille. Tout a commencé quand nos regards se sont croisés, tu as renversé mon cœur, tu l'as fait chaviré. Un vent d'amour m'a fait perdre la tête. Notre histoire est née pour ne pas qu'elle s'arrête, mon amour grandit de jour en jour. Je te laisse entrer et ferme mon cœur à double tour. Tout devient beau et merveilleux quand je vais me noyer au large de tes yeux. Des sentiments encore ignorés se sont crées, il faut les conserver et ne jamais les briser. Dans tes bras je veux m'envoler dans un monde doux et sucré. La flamme de mes yeux s'est allumée le soir où je rêvais que nos lèvres se touches pour ne plus se quitter. Aujourd'hui le destin nous appartient, à nous seul de savoir prendre le même chemin. Mon amour pour toi est le plus grand. Je n'ai aucun doute sur mes sentiments. Je t'aime. Le matin, je pense à toi, et toute la journée, j'ai envie d'être dans tes bras. Mes pensées et mon cœur sont à toi, ma vie ne rime à rien sans tes bras! Depuis, que tu es entré dans ma vie, tu me fais découvrir la vie en rose et as fait renaître mes rêves et mes envies. Mon cœur devant toi, est en pause. Tu m'es plus précieux que l'or, je te veux pour l'éternité. Je t'aime, je t'adore et me comble de ta beauté. Tel un phénix, tu dégages une aura de bonheur,
Où que tu sois, quoi que tu fasses, tu es présent en moi. Lorsque tu déploies tes ailes et m'éclaire de tes couleurs, j'éprouve une joie sans pareil quand je te vois. Tel un soleil, tu brûles tout autour de toi, rien ne te résiste, la glace devient vapeur, tes yeux étincelant me laisse sans voix, je me laisse doucement envahir par ta chaleur. Tel une musique, tu es les battements de mon cœur, je me laisserais bercer par tes bras, si doux, si fort à la fois, tes notes montent en force et retombent en douceur, ton rythme devient le mien, tu prends possession de moi. Tel un homme que tu es, ta puissance bouscule toutes les lois, ton charme subtil et irrésistible ne me fait pas peur, on se demande comment la nature a put créer une seule fois, la perfection même et ainsi ma plus belle faveur.
I'm telling you
I softly whisper
Tonight tonight
You are my angel
Aishiteiru yo
Futari wa hitotsu ni
Tonight tonight
I just say...
Wherever you are, I always make you smile
Wherever you are, I'm always by your side
Whatever you say, kimi wo omou kimochi
I promise you "forever" right now
I don't need a reason
I just want you baby
All right, all right
Day after day
Kono saki nagai koto zutto
Douka konna boku to zutto
Shinu made, stay with me
We carry on...
Wherever you are, I always make you smile
Wherever you are, I'm always by your side
Whatever you say, kimi wo omou kimochi
I promise you "forever" right now
Wherever you are, I'll never make you cry
Wherever you are, I'll never say goodbye
Whatever you say, kimi wo omou kimochi
I promise you "forever" right now
Bokura ga deatta hi wa futari ni totte ichibanme no kinen subeki hi da ne
Soshite kyou to yuu hi wa futari ni totte ni ban me no kinen subeki hi da ne
Kokoro kara aiseru hito
Kokoro kara itoshii hito
Kono boku no ai no mannaka ni wa itsumo kimi ga iru kara
Wherever you are, I always make you smile
Wherever you are, I'm always by your side
Whatever you say, kimi wo omou kimochi
I promise you "forever" right now
Wherever you are... Wherever you are... Wherever you are...
-EREN ! ALLO LA TERRE !
Je sursautais en me redressant d'un bond, les yeux grands ouverts et dirigées vers mon ami Connie, qui, avec Sasha - sa petite amie- Mikasa - ma sœur de cœur - Armin - mon meilleur ami- et Jean alias Tête de cheval, me regardait avec insistance. Battant un moment des paupières, je finis par leur faire savoir mon attention d'un " hum ? " qui les fit soupirer et agaça l'autre tête de cheval qui était décidés depuis notre rencontre au collège, de me faire péter les plombs.
-Et si tu nous écoutais au lieu de te branler en pensant à l'autre nain impassible ?
Me tournant vers lui, je fronçais les sourcils, lui montrant mon mécontentement quant à la phrase qu'il venait de sortir. Jean et moi somme très bon amis, même si on passe notre temps à se chamailler, et comme je pars au quart de tour, Jean en profite un max. Mais je peux compter sur lui à n'importe qu'elle situation, c'est ça qui est cool avec lui.
-Ta gueule tête de cheval ! Je pourrais en dire autant de toi avec Marco ! Répliquais-je en me levant de ma chaise pour commencer à ranger mes affaires, ayant fini les cours.
Comme je m'en doutais, Jean s'énerva à son tour, venant agripper mon col de tee-shirt.
-Répète connard ?!
-Ah ! Nous y voilà ! Je vais te défoncer trou du cul !
Dans une parfaite synchronisation, nous nous envoyâmes nos poings, le siens atterrissant sur ma joue, et le miens sur son nez, avant que la voix dur de Mikasa nous face nous figer pour se séparer, nous enlevant mutuellement la saleté inexistante de nos vêtements, avant de prendre nos sac respectif et de sortir de la salle sans un mot, sous les soupirs et regards blasés de nos amis et camarades.
Marchant calmement, je tenais d'une main la lanière de mon sac à dos tout en me dirigeant vers l'immense chapiteau qui se dressait devant moi. Ah, le cirque, ma seconde maison après mon tout petit appartement qui me sert de lieux de résidence.
Cela fait dix années que je pratique l'acrobatie dans l'un des plus grand cirque du monde et autant dire que ce n'a pas été facile. C'est très chère, mais ayant du talent, mon entraîneuse m'a gardé, réduisant les frais que j'avais à payer. Je trouve cela gentil de sa part d'ailleurs. Il faut savoir que cela fait deux ans que je vis seul, sans mes parents qui sont décédés dans un crash d'avion, alors depuis, j'essaye de subvenir à mes besoins seul, sans l'aide de personne, et autant ça a été dur au début, autant maintenant, je m'en sort plutôt bien.
Je me souviens du jour où j'ai appris la mort tragique de mes parents. Je me trouvais en cours de science lorsque le directeur était venu interrompre le professeur. Autant dire que l'on été surpris de le voir entrer à M. Smith dans notre classe qui était parmi les plus solidaire et les plus calme. Ce qui était d'autant plus étrange, c'était son air grave, trop grave qui inquiéta tout le monde et surtout moi lorsque celui-ci m'appela pour aller dehors. J'avais jeté un regard à tout le monde, surpris, avant de le suivre. Une fois dans le couloir, Erwin m'avais regardé avec tristesse, d'un air compatissant. Puis, après un moment, il m'a dit la vérité, il me l'a annoncé. J'ai eu du mal à y croire au début, puis, comme il fallait s'y attendre, j'ai fondu en larme. Alors que les larmes coulaient le long de mes joues, je me suis appuyé sur le mur, le cognant alors que la porte de al classe c'était ouverte sur Mikasa et Armin qui sont aussitôt venu me voir, me prenant dans leurs bras.
C'est aussi à ce même moment qu' " il " m'a regardé pour la première fois. Qui ? Rivai bien sur ! C'est un terminal, il a 18 ans depuis cette année, et en plus d'être l'un des plus brillant élèves de l'école, c'est aussi le plus populaire et le plus beau. Il est entouré que de fille ! En particulier de Petra, une terminal dans sa classe qui ne cesse de le coller malgré les nombreuses fois ou il l'a repoussé, car oui, depuis que je suis ici, il n'est sortit avec personne. En faite, lorsque je suis arrivé au lycée, il était avec quelqu'un, mais il a rompu deux jours après la rentrée, et depuis, c'est un statue de célibat qu'il affiche et qu'apparemment, il tient à conserver. Je me souviens que ça a été le véritable coup de foudre pour moi la première fois que je l'ai vu, et depuis, je ne cesse de l'aimer d'un amour, je suis sur, à sens unique. Pourtant, ce jour là, lorsque son regard c'est posé sur moi pour la première fois, dans ce couloir, j'ai bien cru que j'allais craquer tant son regard était envoutant. C'était le même jour où j'ai appris la mort de mes parents, le directeur avait demandé a mes amis de retourner en cours, ce qu'ils ont fait, avant de se rapprocher de moi, posant sa main sur mon épaule, m'offrant un petit sourire, avant qu'il ne face un geste plutôt surprenant. En effet, M. Smith m'a pris dans ses bras. Je me suis laissé aller à ma tristesse, puis, lorsqu'il c'est séparé de moi, c'est là que je l'ai vu. Il était là, debout à quelque mètre de nous, et me fixait de ses yeux gris dont je ne pouvais me détacher. Mes yeux humides montrant ma profonde tristesse, étaient plongés dans les siens qui n'exprimaient rien, pourtant, si je m'écoutais, je lui aurais sauté dans les bras, mais il m'aurait surement repoussé ou autre, alors je n'ais rien fait, je l'ai salué d'un signe de tête, avant de retourner en classe. Depuis ce jour, il ne ma plus regardé, ni même adressé la parole.
Revenant à la réalité, je levais la tête avant de pénétrer dans le chapiteau. Ne croisant personne, j'allais directement me changer, enfilant un débardeur blanc, et un legging noir. Rangeant mon sac dans un coin du vestiaire, j'allais ensuite sur la piste où quelques élèves étaient, dont pour la plupart, je les connaissaient, sauf quelques nouveaux. Saluant mes camarades, je commençais mon échauffement tout en papotant, étirant mes membres puis je fini par faire le grand écart, avant d'aller chercher la pointe de mon pied tout en collant mon torse à ma jambe. Restant un moment comme cela, je fis de même, mais avec l'autre, puis je fis de même avec le grand écart facial. Alors que je m'apprêtais à poursuivre, mon entraîneuse arriva, et vint me voir.
-Eren ! Justement je te cherchais.
Me tournant vers elle en me redressant, je lui sourit chaleureusement.
-Un problème Henji ?
-Non, je viens juste t'annoncer une grande nouvelle qui risque de te faire plaisir. Vois-tu, tu as été choisi pour participer au prochain spectacle que le cirque organise.
Ouvrant grand les yeux, je laissais ma joie prendre le dessus, alors qu'un immense sourire se peint sur mon visage.
-Mais ce n'est pas tout, je suppose que tu connais l'école nationale du cirque ?
-Bien sur, c'est là où je voulais aller avant d'arriver ici.
-Haha, et bien c'est l'un de leur plus grand élève qui a été choisi pour être ton partenaire.
Relevant les sourcils de surprise, Henji se décala, alors que mon cœur rata un battement en découvrant mon partenaire.
-Eren, laisse moi te présenter Rivai, ton partenaire officiel.
Paroles de wherever you are de ONE OK ROCK.
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