voila une fic sur fruits basket avec Kuréno... il y a aussi Kyô,Yuki et plein d'autres. voila donc le premier chapitre, j'attend vos reviews pour me dire ce que vous en pensez
A la sortie d'un lycée, se tenait un homme assez grand aux cheveux châtains. Il semblait attendre quelque chose ou quelqu'un et son regard était perdu dans le néant. Tout d'un coup, il revint à la réalité et aperçut un groupe de quatre jeunes garçons qui étaient en fait Yuki, Kyô, Momiji et Hatsuharu. Les adolescents se dirigeaient inconsciemment vers l'homme qui se trouvait à la sortie lorsqu'ils le virent, ils furent réellement étonnés de le trouver là.

« Qu'est-ce que tu fout ici ? »

« Kyô arrêtes de hurler, tout le monde t'entend ! »

« Je t'ai rien demandé imbécile de rat ! »

« Chut, calmez-vous tous les deux, on va vous prendre pour des fous. »

« Ouais, Momiji a raison, on est dans la rue là. Bon pour reprendre la question de Kyô, qu'est-ce que tu fait ici ? »

« Euh… Et bien, j'attend quelqu'un. »

« Hein !? crièrent Kyô et Yuki d'une seule et même voix. Tu n'attends pas Tohru quand même ?! Tu ne penserai pas la rencontrer ici ! »

Ah, oui c'est vrai, ils ne savent pas que Tohru connaît déjà Kuréno se dit Momiji, je pense qu'il ne vaudrait mieux pas le leur annoncer tout de suite…

« Non, ça n'est pas Tohru que j'attend et de toute façon même si c'était elle que j'étais venu voir, rien ne m'obligeais à vous le dire. »

« Mouais, j'ai du mal à te croire quand tu dis ça, dit Haru d'un air suspicieux, mais je dois y aller, Rin m'attend au dojo alors surveillez le bien, je lui fait pas trop confiance à lui. »

« Merci, ça me touche profondément de ta part Hatsuharu. »

« Moi aussi je dois y aller, mon maître m'attend, je reste avec lui cet après-midi. Attends Haru ! »

Kyô courut rejoindre son cousin et ils se dirigèrent tous deux vers le dojo de maître Kazuma. Pendant ce temps, Yuki et Momiji restèrent avec Kuréno. Yuki le surveillait d'un œil soupçonneux. Momiji, lui, essayait de faire profile bas, si jamais Yuki apprenait que Kuréno avait déjà vu Tohru sans qu'il soit au courant, il serait en colère mais si en plus il savait que lui le savait mais ne l'avait pas dit aux autres, il y aurait du lapin à la moutarde à manger ce soir chez les Sôma. Le fait de voir arriver vers eux Manabe avec son humeur joviale de tous les jours détendit quelque peu l'atmosphère tendue que faisait régner Yuki.

« Hey Yun-Yun, j'aurais besoin de toi au bureau de l'association des élèves, tu peux venir s'il te plaît ? »

«Pourquoi faire ? dit Yuki, vraisemblablement exaspéré par Manabe, non pas qu'il ne l'appréciait pas mais Manabe avait le don de toujours arriver à des moments inconvenants. Et là, il n'avait aucune envie de laisser Momiji seul avec Kuréno. »

« Il y a un problème urgent à régler et pour ça, on a besoin de notre président ,et comme c'est toi, il faut que tu viennes. »

« Bon et ben j'arrive alors, dit Yuki sans le moindre enthousiasme. »

Ils s'éloignèrent et Kuréno et Momiji ne purent entendre que le début de leur conversation.

« C'était qui ce gars avec ton cousin Yun-Yun, tu le connais ? »

« Kuréno, oui, je le connais, c'est mon cousin, dit Yuki sans conviction. »

« Lui aussi ! Mais c'est pas vrai, t'as un famille à rallonge ou quoi ?! »

« On peut dire ça ouais. Mais dit moi, vice présent c'est quoi la chose super importante que tu voulais me dire ? »

« Hein ? Ah ça, et ben en fait… »

Momiji se retourna vers Kuréno.

« Si t'es pas là pour Tohru, t'es sûrement là pour Arisa non ? »

« Oui, c'est Tohru qui t'en a parlé. »

« Toi aussi, tu penses qu'elle joue un rôle important pour nous, n'est-ce pas. »

« A vrai dire si je suis là aujourd'hui, c'est un peu grâce à elle. »

« Et Akito, il t'a laissé partir comme ça ?! »

« En fait là pour lui je suis dans mon bureau… »

« Ah tiens voilà les filles… »

Tohru, Saki et Arisa avaient fait leur apparition dans la cour du lycée. Elles marchaient joyeusement vers la sortie, c'était le week-end et que de le savoir les rendait de bonne humeur. Elles allaient enfin pouvoir se reposer après cette semaine éreintante qu'elle venaient de passer.

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