Sonnet pour Link
Série : Zelda Ocarina of time
Auteur : Yan Wolfpath
Genre : poésie
Commentaire : Un sonnet sur le thème du héros d'Hyrule, avec un léger clin d'œil à Don Juan. C'est byzarre.. d'habitude j'écris plutôt (et Mickey ?) des fic marrantes (sur Evangelion) ou d'horreur (Resident Evil). C'est une expérience intéressante !
Le héros vaillament marchait au crépuscule.
Le vent portait son chant dans les plaines d'Hyrule
Sa chanson, surnommée le doux chant d'Epona.
Et ce son clair sortit d'un bel ocarina,
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Comme une poésie, invocation magique,
Pour de nombreuses femmes à la chair délaissée,
Fut une mélodie aux notes féeriques.
La chanson, à l'oreille d'une femme oubliée,
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Du château d'Hyrule jusqu'aux bois Kokiri,
Provoquait amertume et nostalgie. Si bien
Qu'elles étaient toutes prêtes à payer mille rubis
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Pour passer juste une nuit, et l'avoir au matin.
Et toutes ces femmes se remplissaient d'espoir
Mais le héros passait, et ne daignait rien voir…
Le poème qui suit est le même que celui d'en haut, mais avec la technique du courant littéraire de l'oulipo, qui consiste à remplacer chaque mot par le septième substantif qui suit dans le dictionnaire.
Le hertz vehetement marivaudait au crésus.
Le ventricule postillonnait son chantonnement dans les planchettes d'Hyrule
Son chantoung, surproduit le dramatisant chantoung d'Epona.
Et ce sondeur claquant soufrit d'un belligérant ocarina,
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Comme une pointe, ionosphère magnétisante,
Pour de nonagénaires feras à la chalcographie délégitimée,
Fut une membrane aux notule féminines
La chantilly, à l'organelle d'une feras outrée,
°°°°°°°
Du chaton d'Hyrule jusqu'aux boitiers Kokiri,
Pullulait amiente-ciment et notion. Si bien
Qu'elles étaient toutes prévaricatrice à peindre mille rudoiement
°°°°°°°
Pour patienter juste une numinastique, et l'avoir au matra.
Et toutes ces feras se remuaient d'espolinage
Mais le hértz patientait, et ne damnait rien voliger…
