Chant de la dernière chance.
Genre : song-fic, one-shot.
Résumé : Harry Potter est mort, Voldemord a pris le pouvoir. Partout ce n'est que souffrance, peur, mort et torture.
Tout espoir semble avoir disparu dans le cœur et l'esprit des hommes.
Personnages : tous les personnages sont la propriété de J. K. Rowling.
Bonne lecture.
Dans l'ombre d'une ruelle, des gens habillés en noir parlent vite et tout bas. Une rumeur se propage dans tout le pays.
Ami entent-tu le volent des corbeaux sur nos plaines
Ami entent-tu les cris sourd du pays qu'on enchaîne.
Il existe des résistants, ils veulent se regrouper pour mettre fin au règne du « Maître ». Qui sont-ils, et pourquoi agir maintenant ? Sont les questions que se pose tout le monde.
Ho hé partisan, ouvrier et paysan, c'est l'alarme.
Ce soir l'ennemi connaîtra le prix du sang et des larmes.
Bientôt tout Londres ne parle plus que d'eux. De ses « fous » qui veulent défier ce monstre qui a tué le sauveur. Comment veulent-ils réussir là où des centaines d'autres ont échoués.
Montaient de la mine, descendaient des collines, camardes.
Sortait de la paille les fusils, la mitraille, les grenades.
Les femmes et les enfants vont se cacher dans les caves, en priant que le Maître ne passent pas sa colère sur eux le lendemain, pour pouvoir un jour être enfin libre. Les hommes, eux reste à la surface pour entendre ou m^me peu être voir ce que tout le monde attends en silence, la fin de la terreur.
Ho hé les tueurs, à la balle et aux couteaux, tués vite.
Ho hé saboteurs, attention à ton fardeau dynamite.
Les Mangemorts sentent qu'ils se passent quelque chose d'anormal, mais une petite voix qu'ils croyaient avoir à jamais perdu leur dit : « Patience, la fin est proche !! ». Ils savent tous maintenant que leur Maître est fous et qu'ils ont fait la plus grosse erreur de leur vie en le suivant.
C'est nous qui brisons les barreaux des prisons pour nos frères.
La haine à nos trousses et la faim qui pousse, la misère.
Il est des pays où les gens aux creux des lits font des rêves.
La rumeur se propage, elle file maintenant vers le reste du monde. Que Voldemord à envahit, ne trouvant aucune résistance, qui l'aurait défié alors qui se baladait de pays en pays avec la tête du survivant comme collier.
Ici nous vois-tu, nous ont marches et nous ont tues, nous ont crève.
Ici chacun sait ce qu'il veut, ce qu'il fait quand il passe.
Un roulement de tambour retentit dans Londres, tout le monde écoute sauf Voldemord qui trop sur de lui dort. Des bruits de pas, nombreux, puis encore le tambour.
Ami si tu tombes, un Ami sort de l'ombre à ta place.
Demain du sang noir séchera au grand soleil sur les routes.
Des voix résonnent, comme si l'on chantai juste a côté, les femmes et les enfants sortent. Le monde entend un chant qui lui va droit au cœur, qui le réveille, lui dit de battre pour ceux qu'il aime.
Chanter compagnon dans la nuit, la liberté vous écoute.
Ami entent-tu la vole des corbeaux sur nos plaines.
Les rues de Londres se remplissent, ils se rassemblent tout derrière le tambour, et les amis du survivant. Ils chantent un chant guerrier, un chant qui leur sort droit du cœur. Un chant moldus mais qui expriment bien leur pensé. Alors ils chantent en se dirigeant vers la source de leur malheur.
Ami entent-tu les cris sourd du pays qu'on enchaîne.
Ho hé partisan, ouvrier et paysan, c'est l'alarme.
Décidé à se battre ensemble pour un monde meilleur. Voldemord ne se réveillera jamais.
