J'ai toujours ressentit cette profonde tristesse au fond de mon cœur. Je me suis considéré depuis l'enfance comme dans une bulle, a regardé le monde qui profite ou bien ce monde dans une bulle et moi à l'extérieure qui se fatigue a crié, afin de rappelé à la population que ma je suis toujours présente, vivante. Bien sur quelques idiots mon ouvert une porte mais tout s'est conclu par un échec cuisant.
J'ai beau vivre parmi vous mais je suis seule, je vous regarde, je discute avec vous mais dans mon crane il n'y a que ma conscience qui hurle a la mort. Elle et moi nous nous combattons afin que m'on corps trouve une issus acceptable avant la fin du temps qui nous est tous imparti, nous les êtres vivant.
Depuis cette masse d'émotions et surtout d'hormones qui nous retourne le cerveau, à l'adolescence je ne suis plus la même, les peurs des adultes sont maintenant profondément gravé en moi, les aléas de ma vie on laisser des cicatrices. Maintenant je combats toute forme d'émotions qui pourrait ce lire sur ce corps qui est le mien. Ce qui fait de mon aspect extérieur une personne sans fierté et avec un manque de confiance en soi permanent. Si seulement vous aviez connaissance du feu qui brule en moi. Ne devinerez-vous jamais mes rêves, mes attentes, Non. Car je ne les partagerais avec personne d'autre que ma conscience. Car je pense que la vie est trop compliqué et trop courte pour se battre comme une lionne. Je préfèrerais donner ce qu'il y a de plus sûr a la vie que j'ai porté, afin de ne pas me ridiculisé plus que je ne l'ai fait en pensant que je pouvais être une de ses personnes qu'on envies et jalouse. Car après tout, à quoi bon envié quand on vous a donné une vie dont vous ne vouliez pas.
La suicide dans mon cas n'est même pas enviable car il ne serai qu'une porte de sorti ridiculement lâche que j'aurai creusé moi-même vers ce rien qui n'est lui non plus pas très enviable pour le seule amour de ma vie.
Alors je vis.
Pour elle.
Afin qu'elle ne subisse pas ce même combat acharné entre sa conscience et la tristesse.