Voilà ! Le retour de ma fiction. Enfin, vous allez vous dire. Je me le dis moi-même ^^. J'ai bien galéré à reprendre mais maintenant, je suis en forme ! Même, si je suis malade, ça m'apprendra à mieux m'habiller. Je vous laisse apprécier, commenter, et tout ça.


Il y a bien deux choses que je détestais dans la vie, ma mère et mon boulot. Cette première, pour ses absences répétées et la « merveilleuse éducation » qu'elle nous avait apportée à mes sœurs et moi. La fois, où je l'avais vu coucher avec le jardinier, celle où elle se faisait des lignes de coke sur la table en marbre du salon, et toutes les autres fois que j'ai préféré ignorer. Mon boulot n'était pas très compliqué, enfin, quand même, quoi que. Bref. Il constituait à amadouer certaines personnes ennemies de mon père, de les torturer des jours durant et ensuite de les tuer. Le boulot n'était pas compliqué. Surtout avec Rosalie, ma jumelle, elle était une sorte de bombe nucléaire humaine. Son 95D et ses jambes aidaient beaucoup. Une balancée de cheveux blonds et un clin d'œil plus tard, le poulet était dans le four. Jane, la plus petite, avait une méthode bien différente, d'une, elle était plus petite, avec beaucoup de formes et avait en permanence un regard de tueuse. Elle chuchotait quelque chose à l'oreille de quelqu'un, et il courait vers la camionnette. Misérable. L'énergie d'Alice était son arme la plus fatale. Elle était inépuisable et refusait de renoncer, comme moi en fait. Elle arrivait à convaincre les hommes, avides de sexe, de la suivre vers ses employées. Elle avait une tête de proxénètes par moment. J'étais la plus vieille de la famille, donc le cerveau, et donc, la tactique. Je laissais la partie drague à mes sœurs et j'aiguisai mes couteaux pendant ce temps. J'avais appris la torture lors d'une espèce de séminaire au Mossad il y a quatre ans. Seule Jane m'avait accompagnée.

« Bella, tu rêvasses ! M'interrompit Rosalie.

-Je ne rêvasse, je réfléchis, mentis-je. Alice dort ?

-Oui, enfin, intervint Jane. J'ai cru que j'allais la bourrer de somnifères.

-Je vais prendre la commande de l'avion, on doit bientôt se poser, continuai-je »

Je passais vers le cockpit, le pilote automatique était enclenché. Comme souvent. J'étais la seule capable de piloter l'avion.

Quelques minutes plus tard, l'avion descendait trop rapidement vers le bas, j'essayai de le redresser. En vain.

« - Bella, c'est normal que l'avion descende de cette façon ? s'inquiéta Rosalie.

-Je crois pas, commenta Jane.

-Je gère, je gère, on va pas mourir, me répétai-je à moi-même.

-Quoi on va mourir ? Je veux pas mourir ! Cria Alice.

-Jane, fais la taire ! Hurla Rosalie, morte de panique. »

Je réussis à peu près à poser l'avion dans un champ de maïs. Nous récupérames nos affaires, et on partit en courant.

« A partir d'aujourd'hui, je déteste le maïs, commenta Jane.

-Tu détestes tout de toute façon, ajouta Alice.

-Qui êtes-vous ? Nous demanda une voix masculine, assez forte. »

Et merde.


Alors ? Alors ? Alors ? A dans 2 semaines.

Lucile