Titre de la fanfic : Il n'a pas peur de se prendre des coups de baffeur.
Auteur de la fanfic : Yuuki Seijaku
Disclaimer : Le manga de Saiyuki appartient à Kazuya Minekura.
Genre de la fanfic : Romance, ficclet
Couple : Sanzo x Gokû
Notes : Si j'ai écris cette fanfic, c'est déjà à cause de Rinrei qui m'a motivée, et aussi pour ma maman Hakkai qui un jour m'a dit « Gokû, il n'a pas peur de se prendre des coups de baffeur »
- CON DE SINGE !
Bam. Un coup de baffeur. Et puis un autre, et allez, pendant qu'on y est une petite tripotée en plus. Gokû sentait que sa tête lui faisait très mal, et il se la tenait en se plaignant. Pourquoi fallait-il que Sanzô soit toujours aussi violent ? Le singe rumina tout seul dans son coin et les minutes passèrent. Ils étaient toujours dans une auberge, au milieu de nulle part et près de l'ouest.
Quand soudain, Gokû voulu dire qu'il avait faim. Ce qu'il avait déjà dit il y a cinq minutes et qui lui avait valu une pluie de coups d'éventail en papier. Pourtant, il voulait le dire. Pas par stupidité, mais juste parce qu'il avait très envie de le dire, et que ce n'était pas si terrible que ça un coup de harisen, quand on s'habitue et qu'on s'en prend depuis trois années de suite…
- Mais Sanzô, j'ai faim…
Il n'avait pas peur. C'était juste que ça faisais mal.
Sanzô le frappa une nouvelle fois en lui demandant de se taire
Les heures passèrent. Les Yokais arrivèrent, la baston avec eux et Gokû se battit avec tout le plaisir que pouvait avoir un abruti de singe à frapper des pauvres bestioles à oreilles pointues qui voulaient juste enquiquiner leur monde et essayer d'être plus fort que la bande à Sanzô.
Soudain, Gokû tua le dernier yokai, mais manqua de tomber dans un trou, ce qui lui aurait valu des blessures. Le moine blond le rattrapa, et se mit à le frapper avec l'éventail
- Espèce d'abruti ! Regarde un peu ce que tu fais, crétin !
Même si Gokû avait mal à la tête, il se mit à sourire. Sanzô ne changeait pas. Et même si dans le fond, c'est vrai que les coups d'harisen faisaient mal, qu'importe ? C'était une manière comme une autre pour son soleil de montrer qu'il l'aimait. Après tout, qui aime bien, châtie bien. Et c'est pour cette raison, que Gokû, ne craignait rien face aux coups d'éventails de Sanzô.
Fin.
