Disclaimer : Hey ! Voici une fanfic sur Percy Jackson en crossover avec Harry Potter « 19 ans plus tard ». Je ne sais pas combien de chapitres je vais faire mais sûrement beaucoup vu ce que j'ai en tête (ça dépendra aussi probablement de si j'ai le courage d'écrire) et je ne sais strictement pas le rythme de parution mais je vais essayer d'être régulière. Pour ceux qui espèrent voir Léo, Jason et Piper, ne vous inquiétez pas, je pense les faire apparaître mais dans trèèès longtemps. Tous les personnages appartiennent soit à Rick Riordan, soit à J. , je vous laisse faire le tri. Sur ce, enjoy votre lecture ;) ! (laissez une review si ça vous plaît, please, ça m'encouragerait à continuer).
Chapitre 0 : Prologue
Le vieil homme soupira. De stress ou d'impatience, il ne savait pas trop. Quoi qu'il en soit, cette consultation prenait du temps. Enfin, de lourds bruits de pas se firent entendre devant l'entrée. L'arrivant courait.
— Seigneur, Seigneur ! s'exclama un cyclope essoufflé en poussant les imposantes portes de la salle du trône. Les augures… Les augures ont parlé !
Le dieu en short (oui, en short. Au temps lier l'utile à l'agréable) se pencha sur son fauteuil et dit d'une voix calme et grave :
— Montre-moi.
Le cyclope lui tendit un miroir.
— C'est terrible, gémit-il.
Le dieu prit l'objet entre ces mains, et des images d'une vie future se reflétèrent sur son visage. Rejet, douleur, trahison, mort. Il frissonna quand il crut reconnaître le Tartare.
— Seigneur ? s'enquit le cyclope. Qu'allez-vous faire ?
— Ce qui était convenu, murmura-t-il fatigué.
— Bien, Seigneur.
Il rendit le miroir au cyclope. Ce dernier s'en allait, inquiet, quand le dieu le rappela.
— Fais de même avec cette fille qui apparaît souvent.
— Mais Seigneur ! hoqueta l'oracle, choqué. Ce n'est pas l'une de vos enfants ! Si son parent l'apprend, il…
La voix se fit murmure devant le regard menaçant.
— Sais-tu ce que tu as à faire ?
— Oui, Seigneur, chuchota-t-il.
Il tourna les talons et les portes se refermèrent sur son passage. Poséidon se passa une main devant le visage. Il y avait des moments où un père se devait de prendre ses responsabilités.
