Prusse X Italie (Gilbert x Feliciano)


Bonjours, je vous présente ma toute première fanfiction que je publie. Du fait que c'est tout nouveaux pour moi, j'ai préférais faire une histoire courte sur un ship peu connu mais qui pourtant je trouve adorable. Je n'excuse si on peu retrouver des fautes d'orthographes et je vous souhaite une bonne lecture.


Dans une vie prochaine peut être que l'on aurait fini ensemble. Mais dans cette vie là ce n'est pas le cas. Je t'es perdu si soudainement, du jour au lendemain. Tu avais disparu sans laisser de trace, il ne restait plus rien de ton passage. Les autres ton bizarrement oublier mais pas moi. Moi je me rappel des moment passer ensemble. Quand on avait des réunions avec les autres pays, tu avais toujours une voix qui porte, grave mais douce à la fois. Pendant ces moments là on s'avait que tu venais de prendre une désistions très importante. Je t'écoutais toujours parler, sa voix me berçais, comme si je pouvais avoir confiance en lui pour la suite. Cela me rappelle les moments que je passais à jouer avec lui. On jouait souvent avec François (France) et Antonio (Espagne). C'était amusant, à vrai dire François, Antonio et Gilbert ne se séparaient jamais. A eux trois ils formaient Le trio inséparable. Mais voila que la vie n'est jamais comme on si attend. Je veux le revoir. Il me manque. Ses cheveux gris devenais argentée au reflet du soleil. Ces yeux rouge perçant avec des nuance de violet adoucissait le tout, rendant ces yeux si unique et fabuleux à regarder. Son sourire me manque aussi. Le voir sourire de toute ses dents me rendait heureux, ce qui me fessais de même sourire. Je veux t'il me resserre dans ces bras comme le jour où il m'a déclaré sa flamme pour la toute premiers fois. C'est sous un grand chêne dans un parc naturel de Migliarino près de San Rossore. Un endroit magnifique et que j'ai toujours adorer. A l'époque je ne m'étais pas rendu compte de mes sentiments, alors je n'avais pas répondu. Maintenant je le regrette amèrement. J'aurais voulu te le dire moi aussi que je t'aimais mais il est trop tard maintenant. Tu as disparu et l'on te reverra plus jamais. C'est pour cela que je n'ai pas chercher à te retrouver. Mais sache, Gilbert Beilschmidt, malgré le fait que tu te vanter souvent et que tu te laissais des fleurs à toi-même jusqu'à te surnommé « l'incroyable moi ». Sache que je t'aime et que moi Feliciano Vargas où que tu sois ne t'oublierai jamais.

Fin