Titre : Chroniques nord-américaines.
Rating : K+.
Pairing : Aucun.
Warning : Aucun.
Thème : Majordome.
Contrainte : Aucune.
Disclaimer : Alfred et Arthur sont à Hidekaz Himaruya.
Personnage(s) : Richard/Mississippi | Alfred/États-unis. Mention de Arthur/Angleterre | Henri/Londres | Blake/Texas | Adlar/Delaware.
M/A : Coucou! Voici le premier chapitre de "Chroniques nord-américaines"! Le concept est simple; avec un thème et au minimum un personnage nord-américain, j'écris quelque chose. Parfois, il risque d'avoir une contrainte temporelle et/ou des dialogues en anglais et/ou autres contraintes en tout genre. Il y en aura 104, soit deux par semaine. De préférence le lundi et le vendredi.
Quant au thème d'aujourd'hui, hommage à Aristo-barjo... et parce que j'aime aussi "Kuroshitsuji".

Occupé à écouter son film préféré, même s'il n'avouerait jamais qu'il adorait La Couleur des Sentiments, Richard ne peut s'empêcher de sursauter en entendant son portable vibrer et sonner dans sa poche. Rapidement, il met son film sur pause et répond.
« Richard Jones, Mississippi, que puis-je pour vous? »
-Richard? C'est Alfred!
-Père? , s'étonne le jeune homme. Pourquoi vous m'appelez?
-J'ai un service à te demander, commence le Pays de la Liberté. Vois-tu, le Premier ministre britannique et Arthur viennent dîner à la Maison Blanche pour affaires, et la dernière fois, Arthur a réussi à convaincre Henri de faire le majordome.
-Comment il a fait?
-Aucune idée, et je m'en balance. Du coup, mon patron m'a demandé de convaincre un de mes États de le faire.
-Bon..., soupire l'État du Sud, vous n'allez sûrement pas demander aux femmes de faire le majordome...
-Si je le fais, elles vont surtout me traiter de sexiste.
-Les nombreuses têtes brûlées qu'a notre famille sont évidemment à exclure, continue-t-il. Il ne reste que Blake, Adlar et moi. Et on n'oublie Adlar, il est trop timide. Avez-vous demandé à Blake?
-T'as envie, toi, de te faire servir par un mec deux fois plus grand que toi? , réplique avec amusement Alfred.
-Non, avoue franchement Richard. Il a beau être un gentilhomme, sa taille est plutôt un handicap, dans cette situation. Ce qui ne laisse que moi. Et pardonnez-moi, père, mais je refuse de m'abaisser au rang de domestique.
-Je te donne vingt dollars si tu le fais.
Un silence s'installe entre les deux Américains.
« Quand est-ce que Arthur et Cameron viennent? »

M/A : Vous pouvez également m'en suggérer, mais ils viendront tard dans l'année.
Prochain thème; basket-ball.