Libre jusqu'à ce que tu apparaisses dans ma vie.

Attention ! Pour celles et ceux qui ne me connaissent pas, ceci est une suite ! Vous pourrez trouvez la première partie « Tu es libre cette nuit ? » sur mon profil.

Les personnages de la Saga Twilight sont la propriété de Stephenie Meyer.

Les autres personnages sont la propriété de AnneHilldweller qui me permet, bien gentiment, de traduire sa magnifique fiction.

Résumé :

Bella a fait la connaissance d'Edward d'une manière peu commune, obtenant son numéro de téléphone d'une inconnue. La nuit de son anniversaire, elle l'a appelé, empreinte d'une grande solitude. Il lui a imposé trois règles à suivre, lui précisant qu'il s'agissait seulement de sexe fortuit. Jamais ils ne s'étaient imaginés la tournure que prendraient ces rencontres et aujourd'hui, ils se retrouvent confronté à l'autre, croyant être amoureux.

Désireuse de vérifier que ce qu'ils ressentent est bien de l'amour et non quelque chose de purement physique, elle reprend le concept de leur première rencontre, imposant trois nouvelles règles :

Numéro 1 : Pas de mensonge.

Numéro 2 : Pas de crise de jalousie.

Numéro 3 : Pas de sexe pendant un certain temps.

Désireux de lui démontrer qu'il est bien question de sentiments et qu'il est disposé à ce qu'elle le connaisse mieux, il décide de lui raconter son histoire, un peu chaque nuit au lieu qu'ils fassent l'amour.

Qu'arrivera-t-il quand elle connaîtra toute la vérité ?

Ici, l'auteur a préféré prévenir ses lecteurs pour éviter qu'ils ne soient surpris.

Le début de cette fiction comporte des scènes ''fortes'' qui sont narrées par Edward. Naturellement, ces scènes ne sont pas racontées à Bella parce qu'elle l'a voulu ainsi ( Souvenez-vous : « Alors, tu es prête à entendre tout ce que j'ai à te raconter ? » « Oui... Mais évitons les détails sordides. ») mais elles font parties des souvenirs d'Edward. L'auteur a considéré qu'il était important de les mentionner pour bien marquer la différence entre le Edward d'avant sa rencontre avec Bella et celui que nous avons connu.


CHAPITRE 1 : Cadeau pour le jeune diplômé.

Trois ans plus tôt.

Je me trouvais au centre de ce qu'avait été ma chambre ces cinq dernières années et celle-ci avait été témoin de mes multiples aventures avec mes camarades d'universités plus que dévergondées. Mes études terminées, peut-être était-ce ce qui allait le plus me manquer, les nuits de fêtes avec mon meilleur ami James et la compagnie d'une jolie fille réchauffant mon lit sans aucune forme d'engagement, seulement pour satisfaire notre désir sans y mêler les sentiments. Cela valait mieux. J'avais déjà offert mon cœur une fois et la vie me l'avait cruellement arraché. Je ne le permettrais pas une nouvelle fois.

J'ai pris le dernier livre qui trainait pour le mettre dans un carton et une photographie s'en ai échappé, voletant jusqu'au sol. Tanya et moi y figurions, enlacés sur le perron de ma maison. C'était le jour où je lui avais dit que je l'aimais pour la première fois et jamais je ne m'étais imaginé que ce serait aussi la dernière.

Flashback

Un conducteur ivre s'est endormi au volant et a perdu le contrôle de son véhicule qui est alors monté sur le trottoir tandis qu'elle attendait le bus scolaire. S'en était fini de sa vie et de mes rêves. Ce fut le pire moment de toute ma vie et j'ai désiré mourir. Je ne voulais pas vivre sans elle, elle était ma première petite-amie et la seule. Avec elle, j'ai découvert ce qu'était un vrai baiser, un baiser d'amour, une caresse furtive, l'éveil du désir bien que nous n'avions pu le satisfaire, le temps ne nous le permettant pas.

J'oubliais tout, y compris moi-même. Je ne voulais rien faire, ni manger, ni dormir et encore moins rêver. L'unique chose que je désirais était d'être à ses côtés, pour toujours, comme nous nous l'étions promis la fois où j'avais enfin réuni assez de courage pour lui dire ''je t'aime''. Les premiers jours, j'allais quotidiennement au cimetière, pour discuter avec elle, pour lui répéter inlassablement que je l'aimais, voulant qu'elle en soit certaine, qu'importe l'endroit où elle se trouvait. Jusqu'au jour où un orage a éclaté et que je n'ai pas su comment j'étais rentré chez moi. Je fus atteint d'une pneumonie et je serais peut-être mort sans l'intervention de mon père. J'aurais très certainement accepté ce sort avec plaisir juste pour pouvoir la retrouver.

Quand j'ai été conscient de nouveau, après que ma température ait diminué, j'ai commencé à pleurer, me rendant compte que j'étais toujours de ce monde injuste. J'ai senti qu'on m'enlaçait et me consolait. Ce parfum lavande était reconnaissable entre tous. Il s'agissait de ma meilleure amie Jennifer, je ne savais même pas quand elle était revenue du Canada. Elle et moi étions très unis depuis que nous étions enfants, nous avions faits de nombreuses bêtises ensemble et ses parents comme les miens nous avaient puni autant qu'ils nous avaient récompensé. Nous étions inséparables, je l'a délaissé seulement quand Tanya venait nous rendre visite et parfois, nous jouions tous les trois. Je me rappelle, une fois, elles se sont battues pour ma compagnie et j'ai fini par aller jouer avec Emmett pour éviter que le conflit augmente entre elles. Alors, elles m'ont regardé étonnées puis ont décidé de faire équipe et de m'ignorer. Ainsi, mon objectif fut atteint et j'ai souri. Je n'aimais pas qu'elles se disputent et encore moins pour moi.

J'ai senti des larmes dans mes cheveux. Jennifer pleurait avec moi sans rien me dire, son étreinte suffisait. Elle était là, m'appuyant et me consolant, prête à le faire toutes les fois où ce serait nécessaire. Elle était ainsi, toujours enthousiaste et avec un sourire collé aux lèvres, toujours à chercher le côté positif de la situation mais à cette occasion, elle ne l'a pas fait. Que peut apporter de bon la mort d'une personne que tu aimes de tout ton cœur ? Nous avons pleuré jusqu'à ce qu'il ne nous reste plus aucune larmes à verser. Elle s'est assoupie dans mes bras tandis que je restais les yeux dans le vide toute la nuit et quand j'entendais quelqu'un ouvrir la porte, je feignais d'être endormi.

Autant ma mère que mon père sont entrés à plusieurs reprises dans ma chambre, comme ils le faisaient toutes les nuits, frustrés, désolés et incapables de pouvoir faire quelque chose pour me ranimer. Je regrettais de les voir ainsi mais ma douleur due à la perte de Tanya était encore plus grande. Je me rendais également compte de la souffrance de mon frère et ma sœur de me voir dans cet état. C'est la première fois de ma vie que je n'ai pas vu Emmett plaisanter ou Alice sautiller en toutes circonstances. Leurs visages étaient tristes et montraient une totale incompréhension de la situation, ils reflétaient leur incapacité à m'aider mais je ne voulais pas qu'ils le fassent.

Le matin suivant, quand Jennifer s'est réveillée, elle m'a donné un baiser sur le front et elle m'a dit qu'elle allait chez elle pour se doucher et se changer. Elle est revenue au bout de je ne sais combien de temps, portant un plateau avec du pain grillé, du jus d'orange, du lait et de la marmelade. Elle l'a déposé sur mes jambes et elle s'est assise à mes côtés.

« Je n'ai pas faim. » ai-je dit et je me suis détourné pour ne plus la voir.

« C'est ce que tu dis mais je ne crois pas que ton corps soit du même avis. Tu as besoin de récupérer les forces que tu as perdu à cause de ta maladie. En plus, tu dois encore prendre des antibiotiques, tu ne peux pas risquer de retomber malade. » a-t-elle dit, tartinant un toast de confiture.

« Je ne veux pas vivre, un point c'est tout. Je veux être avec elle, pourquoi personne ne le comprend ? »

« Toi non plus tu ne comprends pas que vous avez été ensemble le temps que vous deviez l'être, que son cycle de vie est terminé mais que le tien continue. » a-t-elle assurée avec maturité. Trop peut-être pour son âge.

« C'est trop injuste ! Comment est-ce que je peux manger et continuer de vivre quand elle est six pieds sous terre ? » me suis-je exclamé, exaspéré.

« Son corps est sous terre, son essence est dans un autre lieu et je te parie bien meilleur que celui-ci. »

« Je veux être avec elle, je me fiche de l'endroit où elle est. »

« Tu ne peux pas être aussi égoïste Edward. Ça ne t'importe pas de voir souffrir ta famille ? Tu veux qu'ils ressentent la même souffrance que toi ? Tu n'as pas idée de l'énorme douleur que tu es en train de causer à Esmée, elle est désespérée, elle ne sait pas quoi faire. Et Carlisle... Dieu, tu sais qu'il est mon héros et jamais je ne m'étais imaginée le voir si anéanti... Je ne pensais jamais dire ça mais les plaisanteries et blagues de mauvais goût d'Emmett me manquent et concernant Alice, c'est une petite fille qui a perdu sa joie de vivre. Tu parles d'injustices mais ce que tu es en train de faire à ta famille ne te semble-t-il pas encore plus injuste ? Tu es en train de les entraîner avec toi. S'il était question que tu te laisses mourir sans affecter personne, parfait ! Toutefois, je tiens à te rappeler une chose Edward Cullen, tu n'es pas seul dans ce monde. Veux-tu réellement faire souffrir quatre merveilleuses personnes qui seraient prêtes à donner leur vie pour que tu redeviennes le même qu'avant ? Parce ça, c'est injuste. »

« Je mangerai un peu seulement, okay ? »

« C'est bien, un peu aujourd'hui, un peu plus demain et ainsi de suite. Au fait, je t'ai rapporté quelque chose. » Elle s'est levée après m'avoir donné le verre de lait et elle a sorti un livre de son sac à dos. « Tout passe... et ceci passera aussi. » a-t-elle lu à haute voix le titre et elle a continué sa lecture.

Et elle prit soin de moi tous les jours. Elle me donnait même à manger et une fois, elle fut même sur le point de me déshabiller et de me laver mais ma pudeur toujours intacte, je l'ai chassé de la salle de bain. Elle m'emmenait aussi au parc. Nous nous installions aux balançoires et silencieux, nous regardions les gens passer, son intention étant de me démontrer que la vie continuait. Elle m'a également lu une infinité de livres qui traitaient des pertes et de la façon de les supporter. Et peu à peu, j'ai retrouvé l'envie de vivre, me jurant néanmoins de ne plus jamais tomber amoureux.

La sonnerie de mon cellulaire m'a ramené à la réalité, loin de mes souvenirs. Il était sur ma table de nuit et la vibration l'en a presque fait tomber. Je m'en suis saisi et j'ai remarqué qu'il s'agissait d'un numéro inconnu ce qui m'a surpris quelque peu.

« Allô ? » ai-je répondu, étonné.

« Es-tu libre cette nuit ? » ai-je entendu dire une voix féminine extrêmement sensuelle.

« Qui est à l'appareil ? » ai-je demandé, n'ayant pas reconnu la voix de mon interlocutrice.

« Mauvaise réponse ''chéri'', tu sais très bien que je ne peux pas te le dire. Tu peux me voir oui ou non ? » Elle semblait déterminée et cela me plaisait assez chez une femme.

« Bien sûr. Où, à quelle heure et comment te reconnaitrais-je ? »

« Tu connais l'Hôtel Ambassy ? »

« Oui, je suis à quarante minutes de là. »

« Dans quarante-cinq minutes, au bar, robe rouge. » Et elle a raccroché sans me donner aucun autre détail.

J'ai souri et ai secoué la tête. ''Robe rouge'', très original. J'ai réfléchi. J'étais certain qu'il s'agissait d'une de mes anciennes conquêtes voulant jouer un peu. C'est en ceci que je m'étais transformé, en un type froid seulement intéressé par le sexe.

Flashback

Lors de mon seizième anniversaire, mon oncle Aro m'a emmené dans un club pour que je perde ma virginité. Il m'a confié que rien n'égale le sexe pour surmonter sa peine et que j'avais l'âge idéal pour m'initier. Je dois reconnaître que j'avais déjà eu le temps de découvrir les bienfaits du plaisir solitaire comme tout adolescent de mon âge mais cette femme experte, à qui je donnais environ dix ans de plus, m'a envoyé au septième ciel et ce à trois reprises cette nuit-là. J'ai ainsi pris goût au sexe et j'ai continué à m'y adonner, gardant en mémoire les paroles de mon oncle :

« Edward, je sais que tu es très jeune mais plus tôt tu le comprendras et mieux ce sera. Sais-tu la clef d'un mariage réussi ? La fidélité, que ta partenaire puisse être à la fois ton épouse et ta maîtresse et pour la rencontrer, tu dois connaître nombreuses femmes jusqu'à ce que tu tombes sur celle qui possède cette dualité. Je sais que ce qui est arrivé à Tanya te fait encore souffrir mais tu es très jeune, tu pourras le surmonter et alors un jour, tu rencontreras cette femme qui te complètera et tu lui seras fidèle parce que tu auras vécu suffisamment d'aventures pour ne pas la tromper. »

Alors, entre ses conseils et la perte de Tanya, je me suis appliqué à protéger mon cœur, livrant seulement mon corps.

J'ai pris mon blouson, les clefs de ma voiture et je suis parti en direction de l'hôtel. A mon arrivée au bar, il y avait peu de clients et il me fut donc facile de la localiser, assise au bar. Elle était très jolie : les cheveux longs, elle portait une robe rouge assez sensuelle, courte à souhait, qui couvrait seulement ce qu'elle devait couvrir et le décolleté, présent devant comme derrière, était très prononcé et donc très excitant. J'ai souri, satisfait et me suis approché. Immédiatement, elle s'est retournée et m'a gratifié du plus sensuel et provoquant sourire. Elle a terminé son verre puis s'est mise debout et sans rien dire, je l'ai suivie.

Nous sommes montés dans l'ascenseur et elle a pressé le bouton du dixième étage. Arrivé à destination, nous sommes sortis et nous avons progressé dans le couloir. Vers la moitié, elle s'est stoppée, a glissé sa carte dans la porte et nous sommes entrés. J'ai allumé la lumière et je n'ai rien pu faire d'autre puisqu'elle m'a plaqué contre le mur, m'embrassant furieusement et sans plus de préambules, elle a porté sa main délicate à ma masculinité qu'elle a caressé à travers mon pantalon. Alors, en réponse, j'ai mis mes mains sur ses fesses et je les ai pressées par dessous sa minuscule robe, tirant sur le fil de son string. Elle a rompu le baiser pour reprendre son souffle, excitée et elle s'est mise à embrasser et mordiller mon cou tandis que je continuais de tirer sur le fil de son sous-vêtements d'une main et masser sa fesse de l'autre.

Elle s'est reculée et a ôté sa robe tandis que de mon côté, je retirais mon blouson et commençais rapidement à déboutonner ma chemise avant qu'elle ne vienne m'aider à m'en débarrasser. Elle s'est mise à lécher mon torse, mordillant parfois mes tétons et je n'ai pu m'empêcher de gémir alors qu'elle atteignait mon abdomen. Avec une grande habileté, elle a ouvert mon pantalon et a libéré mon sexe érigé dont elle s'est emparée, me donnant du plaisir avec sa bouche. La tête appuyée contre le mur et les yeux fermés, je me concentrais sur ses caresses profondes. Mes mains enfouies dans ses cheveux lui intimaient un rythme soutenu et elle s'y prêtait, ne cessant de me faire gémir. Soudain, j'ai senti l'orgasme me submerger alors qu'elle me caressait de sa main et j'ai joui sur ses seins. Alors, elle a trempé ses doigts dans ma semence avant de les porter à sa bouche.

J'ai extrait un préservatif de la poche de mon pantalon avant de le quitter pendant qu'elle se débarrassait de son string. Exaltés, nous nous sommes embrassés tandis que nous marchions en direction du lit et quand j'ai senti le bord cogné mes jambes, j'ai saisi ses hanches et l'ai jeté sur le lit. J'ai enfilé le préservatif et me suis allongé sur elle, léchant son oreille et emprisonnant son lobe entre mes dents la faisant gémir, délicieusement. Alors, tout en explorant son cou, j'ai inséré deux doigts dans son intimité trempée et atteignant ensuite ses seins, je les ai sucés et j'ai mordillé ses mamelons durcis.

« Prends-moi. » m'a-t-elle ordonné, la voix déformée par le plaisir, plantant ses ongles dans mon dos.

Mais, en réponse, je me suis seulement contenté de frôler son sexe du mien, voulant la rendre folle un peu plus. Elle a largement écarté les cuisses et alors je l'ai pénétré sans douceur. Ses mains ont pris place dans le bas de mon dos et j'ai commencé à me déplacer rapidement tout en attaquant de mes lèvres ses seins, alternativement. Ses mains ont migré vers mes fesses et elle les a pressées, demande silencieuse pour que je la pénètre plus profondément. On pouvait entendre le son de nos corps s'entrechoquant et les intenses gémissements que nous ne pouvions tous deux réprimer. Je continuais toujours de me mouvoir et soudain, son cri a inondé la chambre quand elle a atteint son paroxysme. Prenant appui sur le matelas, j'ai entrepris les derniers mouvements presque sauvagement et je suis à mon tour parvenu à la jouissance.

Toujours haletant, je me suis allongé à côté d'elle sans rien dire, essayant de diminuer mon rythme cardiaque et de recouvrer une respiration normale. Quand ce fut fait, je me suis levé pour retirer le préservatif et le jeter dans la poubelle.

« Qui t'a donné mon numéro ? » ai-je demandé, intrigué. Un fille comme elle ne m'aurait pas échappé si elle avait été présente à l'université.

« Un autre membre du club. »

« Du club ? » me suis-je exclamé, encore plus intrigué. J'appartenais à différents clubs de l'université mais je ne voyais pas qui pouvait la connaître.

« Trop de questions. Tu sais bien que c'est contraire aux règles. » a-t-elle répondu et elle m'a enlacé par derrière, caressant mon torse.

« Les règles ? » ai-je répété, étonné.

« J'espère que tu as apporté d'autres préservatifs et que tu as encore de l'énergie. » fut sa seule réponse et elle s'est plantée face à moi pour à nouveau m'embrasser.

Cette fois, c'est elle qui prit les commandes, me jetant sur le lit. Elle a ensuite attrapé mon pantalon, a fouillé les poches et a rapidement trouvé ce qu'elle cherchait, souriante. Elle s'est approchée et s'est allongée sur mon corps, m'embrassant et mordant mes lèvres alors que sa main voyageait sur mon membre qui répondait à ses caresses. Puis, elle s'est assise à califourchon sur moi, a retiré le préservatif de son emballage avant de me le mettre, ses doigts s'attardant sur ma verge qu'elle a ensuite dirigée vers son centre, me faisant la pénétrer. Elle a commencé à se mouvoir et mes mains ont saisi sa taille pour diriger ses mouvements. Elle caressait ses seins, pinçant parfois ses tétons et elle a augmenté l'allure, cherchant désespérément à atteindre sa libération. À nouveau, elle fut frappée par l'orgasme la première et quelques instants plus tard, je l'ai rejoint. Après quelques secondes, elle s'est levée et a remis ses vêtements sans dire un mot.

« Te reverrais-je ? Tu ne m'as pas dit ton nom. » lui ai-je demandé depuis le lit.

« Je crois comprendre que tu es nouveau... Je te rappellerai peut-être. Merci pour ce moment. » a-t-elle répondu et elle est sortie de la chambre, me laissant avec mes questions.

Le matin suivant, j'étais en train de fermer le dernier carton quand mon téléphone a sonné. Il s'agissait de James et j'ai donc immédiatement répondu.

« Salut vieux, comment tu vas ? » l'ai-je salué pendant que je m'asseyais sur mon lit.

« Très bien et toi ? »

« Ça va. J'étais en train de préparer mes cartons pour les emmener chez moi. »

« Oui, nos études sont enfin terminées... Au fait, le cadeau pour ton diplôme t'a plu ? » a-t-il demandé, un sourire dans la voix.

« Quel cadeau ? » me suis-je exclamé, regardant de tous côtés pour voir s'il n'y avait pas un paquet ne m'appartenant pas.

« Celui d'hier soir... La fille. » a-t-il répondu, se mettant à rire.

« Ah, c'est donc toi qui lui a donné mon numéro ? Bien sûr, ça ne pouvait être que toi... Ton cadeau m'a beaucoup plu, mon ami, la fille était canon. »

« Bienvenue au club. »

« Club ? De quoi diable es-tu en train de parler James ? » ai-je dit, déconcerté et pour seule réponse, j'eus droit à un éclat de rire que je n'ai pas su comment interpréter.

J'espère que ce premier chapitre vous aura plu, j'attends vos impressions avec impatience !

Je vous souhaite à toutes une très bonne fin de semaine ! Gros bisous et à bientôt !