Après avoir commencer une fiction sur vampire diaries, je me suis dit que j'allais tenter d'en faire une sur une série que j'apprécie beaucoup Teen Wolf, et donc voici le premier chapitre de ma seconde fanfiction :) Je vous souhaite une bonne lecture, n'hésitez pas à laisser des reviews et des message ça fait toujours plaisir :)
Disclamer : Les personnages de Teen Wolf ne m'appartiennent pas sauf mon OC
Chapitre 1 : An end has a start
J'augmentais le son de la radio, je conduisais maintenant depuis plusieurs heures, impatiente à l'idée de retrouver Stiles et Scott mes amis d'enfance que j'avais quitté cinq ans plus tôt. A cette pensée j'écrasais la pédale d'accélérateur, avant de voir le panneau m'indiquant que je venais d'arriver à Beacon Hills. C'était étrange de revenir ici après avoir passer des années à Chicago, j'étais à la fois anxieuse et pressée d'arriver.
Cependant, je décidais de faire une petite pause me garant sur le côté en bordure des bois, puis je pris la décision de suivre un petit chemin de terre à pied, ayant vécu à Beacon Hills, je connaissais la ville et ses environs comme ma poche. Au bout du chemin, je tombais sur une maison en ruine, celle des Hale. Mon instinct me crier de faire demi-tour, que m'avancer n'étais pas une très bonne idée, mais de quoi je pouvais avoir peur, mise à part que la charpente me tombe sur la tête ? Je m'avançais jusqu'à la porte d'entrée, me sentant observer sans pour autant voir la moindre personne, je m'apprêtais à pousser la porte quand mon portable dans la poche de ma veste se mit à sonner et vibrer, je l'attrapais pour voir que c'était Stiles. Je décrochais rapidement en descendant du perron.
- Salut Freya, je voulais juste savoir à quelle heure tu pensais être là ?
- Je serais chez toi dans une bonne dizaine de minutes.
Stiles commença à partir dans son délire émettant des tas d'hypothèses quant à l'endroit où je pouvais être actuellement, pourquoi il n'entendait pas le bruit du moteur, que téléphoner en conduisant était dangereux, il ne me laissa pas en placer une avant de soudainement s'arrêter. Je sautais sur l'occasion pour mettre un terme à la conversation. Je commençais donc à rebrousser chemin, les mains dans les poches de ma veste grise, avant de me tourner une dernière fois vers la maison en ruine, et l'espace de quelques secondes, j'aurais pu jurer avoir vu quelqu'un regarder par la fenêtre à l'étage, jusqu'à ce qu'une bourrasque de vent fasse voler une mèche de cheveux châtains juste devant mes yeux m'empêchant d'en voir plus, une fois la mèche replacée, il n'y avait plus personne, j'avais surement dû rêver...
C'était étrange de passé devant cette maison ça faisait déjà dix ans que l'incendie avait eu lieu et pourtant... Je sortis de mes pensées en me garant devant la demeure du Shérif Stilinski, à peine j'eu le temps de sortir de la voiture et de refermer ma portière que Stiles se jeta sur moi, je me retrouvais contre ma voiture écrasée par le poids d'un Stiles lancer à pleine vitesse, son père derrière lui s'approcha de nous pendant que je serrais à mon tour son fils dans mes bras.
Ce dernier desserra légèrement sa prise avant de me dire que je lui avais manqué, pendant que je saluai son père, qui me serra dans ses bras avant de m'inviter à faire comme chez moi et de partir travailler. Stiles m'apporta un verre d'eau avant de se diriger à mes côtés sur le canapé sans manquer de s'entraver dans mon sac. Je retiens un rire avant de prendre le jeune homme de court et de lui demander ce que j'avais manqué.
- Oh si je te le disais, tu ne me croirais pas.
- Tu sors enfin avec Lydia Martin ?
Il leva les yeux au ciel avant de se redresser sur le canapé, je ne voyais que ça, Beacon Hills était une petite ville tranquille, alors s'il me disait qu'il, c'était passé quelque chose et que je n'allais pas le croire...
- Un corps, enfin une moitié de corps.
- C'est pas vrai tu me fais marcher ?
- Je te l'avais bien dit que tu ne me croirais pas.
- Non, enfin si... Mais tu sais qui c'est ?
Stiles opina, jouant avec son verre pendant que j'avais du mal à faire passer la gorgée que je venais de prendre, une moitié de corps ? Beacon Hills avait-il changer pendant mon absence ? J'attendais patiemment qu'il termine sa mise en scène et décide de briser le suspens qu'il avait installé.
- Laura Hale.
- Hale ? Comme dans les propriétaire de la maison qui a prit feu y'a presque dix ans ? On sait qui a bien pu faire ça ?
- Non enfin... Non, pas pour le moment.
Stiles c'était lui-même interrompu, les joues rouges son regard évitant soigneusement mes yeux verts interrogateurs... S'il y avait bien chose que Stiles ne maîtrisait pas, c'était les mensonges. Et j'étais bien décider à le faire parler.
- Stilinski ?
Ce dernier se redressa en entendant son nom, visiblement mal à l'aise, on avait grandi ensemble, lui, Scott et moi, et j'étais loin d'avoir besoin d'un d'un détecteur de mensonge pour un si mauvais menteur. Je me préparer donc à le faire parler quand on toqua à la porte... Stiles heureux d'avoir une échappatoire se précipita pour voir qui ça pouvait bien être... Je vérifier rapidement si ma tenue était assez présentable, ma tunique blanche n'était pas froissée et mes bottines noires n'avaient pas souffert du voyage heureusement. Puis je ne tardais pas à rejoindre mon meilleur ami dans l'entrée ou deux personnes attendaient. J'eu du mal à reconnaître Scott sous sa crinière noire en bataille, ce dernier s'avança vers moi et me prit dans ses bras, sous le regard intrigué de la seconde personne.
- Ca fait tellement longtemps qu'on ne t'a pas vu, quand Stiles m'a dit que tu étais de retour, je n'y ai pas cru.
- Et bien oui après cinq ans d'absence, j'ai pensé qu'il était temps de revenir.
Je relevais les yeux vers Stiles puis vers la deuxième personne, je fus captivée par ses yeux, pendant quelques secondes, il était grand, il avait des cheveux noirs, légèrement relevé au-dessus du front, il avait des airs de bad boy c'était certain, mais il y avait quelque chose d'autre. Une fois libéré de l'étreinte de Scott je remarquais la main qu'il me tendait puis le jeune homme se présenta.
- Derek Hale.
Je restais quelques secondes sans savoir quoi dire, avant de me gifler intérieurement, de m'arracher à la contemplation de son regard pour enfin serrer sa main.
- Freya Delano.
Ce fut la seule chose que j'arrivais à prononcer, habituellement, j'étais aussi bavarde que Stiles, mais là, je me sentais intimidée, le jeune homme sembla comprendre que quelque chose n'allait pas et il m'offrit un maigre sourire, ou alors il me prenait pour une fille stupide...
Je ne tardais pas à me reculer, libérant ma main de celle de Derek, à quatre dans l'entrée ça commençait à être juste, surtout que pendant plusieurs minutes plus personne ne prononça le moindre mot, laissant un silence pesant s'installer et je décidais de m'effacer de l'équation, prétextant devoir appeler ma tante, histoire de la prévenir que j'étais bien arrivée, ce qui n'était pas entièrement faux.
Je composais le numéro rapidement, constatant que la conversation avait repris du côté des garçons, Amanda, ma tante ne tarda pas à décrocher et à me demander de mes nouvelles, curieuse de savoir comment j'avais pu arriver si vite puis après avoir rassuré ma tante et pris de ses nouvelles, je raccrochai pour rejoindre Stiles et Scott, comprenant que Derek venait juste de partir je décidai de sortir à mon tour comme poussée par une force invisible.
Une fois dehors mon regard se posa sur Derek, il était là près de ma voiture, une impala grise datant de 1967, je continuais de m'avancer, pensant être discrète mais visiblement le jeune homme savait déjà que j'étais là, chose qui surprit.
- 1967 n'est-ce pas ? Elle rendrait mieux en noir.
- Cadeau de famille. Connaisseur ?
- Disons que je me défends.
Je souris, je l'aurais aussi préféré en noir étrangement... Mais je n'avais pas vraiment pu choisir, cette voiture était dans notre famille depuis des années. Et puis c'était devenu sentimental, ce gris bizarre, vu tous les souvenirs que j'avais de cette voiture, je préférais ne pas la repeindre, elle était très bien comme ça après tout.
- Je tenais à m'excuser.
Le jeune homme se tourna enfin vers moi, il ne semblait pas comprendre ce que je voulais dire, et je ne savais pas vraiment sur quel terrain je m'engageais, je tapotais le sol avec la pointe de ma bottine, j'étais nerveuse et toutes les réactions de ce genre que je pouvais avoir trahissaient ce trait de caractère.
- Ce que je voulais dire, c'est que je suis désolée pour ce qui t'est arrivé.
Il opina et le jeune homme devait pensait que mon explication serait plus chaotique si je persévérai, et honnêtement, je le pensais aussi alors je commençais à faire demi-tour afin de rejoindre Stiles et Scott, mais le jeune homme n'était pas de cet avis et il prit la parole, me forçant à mon tour à tourner et à affronter une nouvelle fois son regard.
- Les gens avaient pour habitude d'éviter de nous regarder Laura et moi, ou de faire demi-tour s'ils nous apercevaient, ou alors ils attendaient que l'on soit passé pour parler dans notre dos. Mais jamais ils ne venaient s'excuser.
Pendant quelques secondes il baissa sa garde, et j'eu l'impression d'avoir un jeune homme perdu en face de moi. J'émis un sourire triste qu'il me rendit avant qu'il ne reprenne sa route et moi la mienne, me laissant pensive suite à cette rencontre...
J'avais passé l'après-midi avec Stiles, Scott était parti pour travailler chez Deaton le vétérinaire, j'étais dans la chambre de Stiles, assise en tailleur sur son lit, ce dernier couché sur le ventre sur son lit, surligner avec un feutre rouge une série de feuille. On était là, en train de discuter de tout ce qu'ils nous étaient arrivé pendant ces cinq dernières années, Stiles m'avait manqué, vraiment manqué, Scott aussi bien sûr, mais ce n'était pas exactement la même chose. Et rapidement, ma curiosité me poussa à le questionner au sujet de Derek.
- Tout dépend ce que tu entends par bien le connaître ? Essais de pas trop le fréquenter Freya.
- Je ne sais pas, c'est que j'ai comme une impression... Il m'intrigue vraiment...
- Oh ça doit être son côté bad boy... Mais je ne savais pas que tu étais le genre de fille à craquer pour les mauvais garçons.
En guise de réplique cinglante, j'attrapais son coussin, avant de le frapper avec. Il ne fut pas réellement surpris bien au contraire, il tenta même d'arrêter mon geste, abandonnant son feutre rouge au passage, mais c'était trop tard.
- Oh, tu veux jouer à ça ?! Bien, on va être deux alors !
Il se jeta sur moi et commença à me faire des chatouilles, me faisant regretter mon geste pendant que je tentais de me défendre avec pour seule arme son coussin, que je ne tardais pas à lâcher pour reprendre un peu mon souffle, quand quelqu'un toqua à la porte. Le père de Stiles ne tarda pas à rentrer, il avait des papiers à la main et quand on se redressa, Stiles manqua de peu de tomber du lit, se rattrapant à mon avant-bras.
- Je suis venu voir si tu restais avec nous ce soir Freya ?
Et alors que je ne savais pas vraiment quoi répondre Stiles secouer la tête de bas en haut, avant de souffler sur une mèche de cheveux qui me tombait sur le visage, je fixais ce dernier avant de replacer moi-même la mèche de cheveux derrière mon oreille. Le père de Stiles ne tarda pas à reprendre la parole avant de tendre la feuille de papier dans ma direction.
- Tu peux passer quelques jours avec nous, ça ne me dérange pas et Stiles encore moins, j'ai trouvé ça sur ton pare-brise.
J'acceptais donc la proposition, ma famille avait une maison en ville, mais personne n'y avait mis les pieds depuis notre départ cinq ans plus tôt, et je ne me sentais pas d'attaque pour m'y rendre aujourd'hui. J'attrapais la feuille pendant que le shérif repartait, et Stiles ne tarda pas à s'approcher de moi, afin de voir ce que je tenais entre mes mains, mais avant même qu'il n'est le temps de le voir, je me levais précipitamment du lit, je sortis de la chambre, et me diriger vers la sortie, une fois dans ma voiture, j'ouvris la boite à gants pour en sortir un dessin, une spirale, ressemblant trait pour trait à celui que le shérif venait de me donner. Stiles ne tarda pas à arriver, s'appuyant sur la portière de ma voiture.
- Qu'est-ce qui t'arrive ? Tout va bien ?
Stiles me piqua le dessin des mains avant de l'examiner et de hausser les épaules, ne comprenant pas ma réaction, je me décidais donc de tout lui raconter, il savait déjà pourquoi j'étais parti cinq ans plus tôt pour des raisons que l'on pourrait qualifier de "familiale". Mais il y avait plus, c'était pour la même raison que j'étais de retour.
- Il y a cinq ans, le jour où mon oncle à disparu, on a retrouvé plusieurs dessins de ce genre empilés dans sa table de nuit et son bureau.
Et on avait pensé que ce n'était rien, juste un dessin. Mais ça ne s'était pas arrêté là, si la disparition de mon oncle avait bel et bien été la raison de mon départ, ce dessin était la raison de mon retour. C'est ça que je devais expliquer à Stiles. Alors je pris une profonde inspiration, avant de river mes yeux verts sur les siens.
- Il y a un mois, j'ai trouvé cette marque sur la fenêtre de ma chambre. Quelques jours plus tard sur la porte de chez moi. En faisant des recherches sur cette spirale, je suis tombée sur un article de journal de Beacon Hills, il y avait une photo avec une espèce de biche qui avait cette spirale sur le flanc. J'ai comparé les symboles, c'était les mêmes.
- Tu es revenu ici dans le but d'en savoir plus n'est ce pas ?
Je relevais les yeux, avant d'opiner un maigre sourire aux lèvres, je ne savais pas ce que pouvait signifier ce symbole, mais ça me semblait être important en tout cas, c'était ce que j'en avais déduit, mais prévenir la police pour un dessin... C'était complètement ridicule. Ma curiosité reprit le dessus, chose que je ne tardais pas à questionner Stiles qui dansaient d'un pied sur l'autre, ne sachant où se mettre.
- Qu'est-ce que ça veut dire cette spirale ?
- Je n'en ai pas la moindre idée... Mais je crois que je connais quelqu'un qui pourrait te renseigner.
Je regardais le jeune homme ne comprenant pas qui il entendait par là, et ce dernier ne tarda pas à comprendre ce que je ne saisissais pas. Stiles baissa les yeux avant de gratter le sol avec sa chaussure et de me tendre le dessin, me donnant enfin une réponse.
- Derek.
- Je croyais qu'on devait rester loin de lui ?
- Oui, mais, je t'ai menti, on a trouvé les deux morceaux du corps de Laura et là où était enterrée la moitié de son corps, il y avait cette spirale.
J'écarquillais les yeux, il était sérieux là ? Cette spirale était donc une sorte de message ? Si on n'avait pas retrouvé mon oncle... Avait-il terminé comme Laura Hale ? Ou est ce que j'allais finir comme elle ? Je lâchais un soupir avant de faire un geste de la tête à Stiles qui se pressa de faire le tour de la voiture pendant que je démarrais, et pour la deuxième fois de la journée, je retournais voir la maison en ruine des Hale. Je m'approchais suivi du jeune homme, je m'apprêtais à toquer quand une voix me stoppa, je me tournais pour faire face à Derek.
- Ca devient une habitude à ce que je vois.
- C'est toi que j'ai vu ce matin ?
Il braqua ses yeux sur les miens pendant que Stiles observait notre échange avant de me demander pourquoi je m'étais arrêté là ce matin, mais je préférais ne pas répondre. Je n'étais pas là pour ça, je m'approchais donc de Derek en tendant les dessins au jeune homme.
- D'après Stiles, tu sais ce que ça signifie.
Derek faisait des aller-retour entre les dessins et ma personne, il semblait inquiet, mais il y avait autre chose, de l'incompréhension peut-être ? Le jeune homme mit un moment avant de daigner me répondre, et quand il le fit, c'est en marmonnant quelque chose d'à peine audible.
- Ce n'est rien d'important.
Entre nous s'engagea un duel de force pour récupérer les dessins. Comprenant que je ne gagnerais pas, je saisis son poignet, il regarda tour à tour son poignet et mes yeux, quelque chose me disait qu'il aurait très bien pu se défaire de ma prise très facilement, mais il n'osa pourtant pas.
- Si ce n'est vraiment pas important pourquoi ça te met dans un état pareil ?
J'étais persévérante, un autre trait de caractère que j'avais en commun avec Stiles en plus d'être extrêmement têtue, je le regardais longuement jusque-là, il était ma seule piste. La seule personne qui semblait comprendre ce que ce symbole voulait dire. Alors je n'allais pas lâcher si facilement. Et Derek ne tarda pas à cracher le morceau, plongeant son regard dans le mien et mes pauvres yeux verts tentaient de ne pas se détourner, chose qui n'était pas facile quand Derek, vous regardez droit dans les yeux...
- Vengeance cette spirale est un symbole de vengeance.
- Pourquoi ? Je n'ai rien fait. Tu sais qui aurait pu faire ça ?
C'était bien la dernière chose à laquelle je m'attendais. Quelqu'un voulait se venger ? Mais pourquoi ? Et de quoi surtout ? J'avais beau chercher je ne voyais pas ce qui avait pu se passer. Ca semblait avoir un lien avec la disparition de mon oncle cinq ans plus tôt, quelqu'un chercher à se venger de lui ? Mais là encore, je n'y étais pour rien...
- Si tu veux un conseil, retourne d'où tu viens, prends un billet d'avion, de train, roule toute la nuit mais rentre chez toi. Et fais toi oubliée.
Il replia le dessin avant de le glisser dans la poche de sa veste en cuir noire, puis Derek passa devant moi pendant que Stiles s'approchait posant une main sur mon épaule, j'étais encore sous le choc quand on repartit pour rentrer chez le jeune homme, la nuit était tombée et la dernière chose que je voulais, c'était que le shérif s'inquiète pour nous. Cependant avant que je n'ai pu franchir la porte d'entrée, Stiles m'attrapa par le bras et prit la parole.
- Qu'est-ce que tu comptes faire ?
- Je viens d'arriver, hors de question que je reparte à cause d'un dessin.
Stiles me sourit avant que l'on entre chez lui, le Sherif avait commander une pizza et demanda à Stiles de mettre la table, j'aidais ce dernier et le dîner se déroula le plus simplement possible, mais je ne pouvais pas m'empêcher de me demander ce que j'avais bien pu faire pour qu'on m'envoie ce genre de symbole. Je tentais de chercher qui aurait pu m'en vouloir assez pour me faire ça, mais je ne trouvais personne, j'étais loin d'être parfaite, mais faire du mal au gens consciemment n'était pas quelque chose que je pratiquais.
