Bonjour à tous ! Je vous présente ma nouvelle fic, Qui a dit sexe faible ? J'ai déjà une autre fic en cours mais je n'ai pas pu m'empêcher de poster celle-là tout de suite. Enfin bon, j'espère m'en sortir.
Et donc voilà, notre petit Harry va découvrir le monde inquiétant et obscur des femmes. Je tiens à préciser que, étant un garçon, je vais souvent devoir me baser sur mon imagination… Bah, ça n'en sera que plus amusant, je pense.
Je tiens à préciser qu'il est 7h37 et que ça fait donc environ 26h30 que je n'ai pas dormi, ce n'est pas vraiment ma faute si tout n'est pas très limpide.
Endjoy yourself !
Qui a dit sexe faible ?
1. La bonne idée de ma 'Mione.
« Harry ! »
J'adore entendre ma p'tite Hermione gémir mon nom.
Enfin, il faut dire que dans un cas comme celui-ci, il vaut mieux qu'elle gémisse plutôt qu'elle ne pleure – je n'ai pas fini mes études en matière de femmes mais je ne pense pas que les voir pleurer signifie qu'elles soient satisfaites…
« Harry ! Plus fort ! »
Plus fort ? Si je pousse plus fort j'accouche !
Enfin, non, je ne suis pas une fille quand même.
AH ! Voilà qu'elle me fait le coup du « je t'entoure les hanches avec mes jambes » ! Et il n'y a rien qui me rend plus fou que ça ! Enfin, si, il y a bien quand les Serpentards ont gagné le dernier match contre Gryffondor, mais ça, c'était pas le même type de folie.
Je m'égare…
Donc, il n'y a rien qui me rend plus fou que ça, et elle le sait, la coquine ! Elle me lance un regard amusé. Elle a sentit que j'étais de plus en plus enthousiasmé. Je bouge mon bassin comme une danseuse de Lambada. Et c'est sûrement pour ça qu'elle chante. Enfin, qu'elle gémit. Mais pour moi c'est la plus douce des musiques.
Je suis sûr que si je lui sors cette phrase elle atteint l'orgasme directement. C'est qu'elle aime que je lui sorte des trucs romantiques, ma 'Mione ! Elle est toute contente à chaque fois ! Et moi je suis content parce qu'elle est contente. C'est un cercle vicieux…
Et il ne faut surtout pas penser que je ne suis pas romantique, c'est juste que, moi, je suis un mec.
En parlant de ça, je crois que je ne vais plus tenir très longtemps. Ma 'Mione gémit de plus belle, et c'est tout mouillé entre nos jambes. Une vraie baignoire, manque plus que le canard en plastique. Elle me serre contre elle, ses seins chauds contre ma poitrine – nos visages se rencontrent, je l'embrasse et lui murmure :
« Je t'aime. »
Elle me répond :
« Je t'aime. »
Je suis tout content. Un dernier regard, puis elle serre les yeux, et les lèvres, pour étouffer un râle de plaisir. Moi, je me déverse en elle. Et c'est, comme à chaque fois, sublime. C'est le genre de trucs desquels on ne se lasse jamais. Comme le vélo. Ah non, ça c'est le truc qu'on oublie jamais. Comme les pancakes à la confiture, alors… Parce que sans confiture, les pancakes, c'est limite.
Je me retire doucement. Nos regards ne se quittent pas. Je ne suis pas très bon pour la Divination – ils ne nous font lire des trucs que dans des tasses de thé, c'est pas franchement passionnant. En plus j'aime pas le thé. S'ils nous faisaient lire dans des yeux d'Hermione, je serais encore meilleur que Lavande et Parvati !
Et, là, les yeux de ma 'Mione, ils disent « Je t'aime Harry. » J'aimerais bien leurs répondre, mais je ne suis pas doué pour parler avec les yeux, alors j'ai peur qu'elle ne comprenne pas.
Je préfère lui chuchoter à l'oreille :
« Je t'aime, 'Mione. »
Elle me sourit et me dépose un petit baiser tout mignon sur le nez.
« Moi aussi, Harry. Plus que tout. »
Mon coeur bat tellement fort que mes autres organes risquent de porter plainte pour tapage nocturne. Enfin, pour tapage diurne, puisqu'il est 18h.
Pendant qu'elle se lance le sort contraceptif – très important -, je vais chercher nos affaires, que nous avons balancé sans ménagement dans un coin de la pièce, emportés dans notre passion. Comme deux jeunes amoureux. Comme nous quoi.
« Harry » me dit Hermione alors qu'elle fixe son soutien-gorge, « je suis désolée de t'avoir entraîné dans cette salle de cours alors que tu parlais avec Ron et Seamus, mais j'en avais trop envie ! »
« Ne t'inquiètes pas, 'Mione, je préfère largement te faire l'amour qu'entendre Seamus raconter comment sa grand-mère ses coincé un pied dans un parapluie. »
En fait nous avions une conversation très intéressante sur la couleur du string de Padma Patil, que tout le monde peut apercevoir depuis qu'elle s'est acheté cette robe blanche. Enfin, transparente. S'il n'y aurait pas la couleur et les formes biens présentes de Padma en dessous, on pourrait la confondre avec un fantôme. Sauf qu'un fantôme ça vole, et pas Padma. Quoique avec un balai…
Bref ! De toute façon, c'est vrai, je préfère largement coucher avec Hermione que de parler avec Ron et Seamus.
Alors que l'on sort de la salle de cours, ma 'Mione me sort :
« J'espère que personne n'a entendu mes gémissements. »
« De toute façon, c'est la plus douce des musiques. »
Elle se blottit contre moi en poussant un petit gémissement. Qu'est-ce que j'avais dit ?
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« Ça y est ? Vous avez calmé vos ardeurs ? C'est pas trop tôt. Sois Harry est impuissant ou soit Hermione est frigide. »
C'est Ron. Qui d'autre que lui peut avoir un tel manque de tact ?
Il est là, assis dans son fauteuil près du feu, un sourire scotché au visage comme un post-it. Un ami normal nous aurait accueillit avec un « Salut les amis ! Vous allez bien ? », un ami ringard nous aurait dit « Salut les potos, ça gaze ? », un chien nous aurait dit « Wof Wof ! », mais Ron…
Enfin bon, on l'aime quand même. Il ne serait plus Ron s'il se mettait à distribuer des fleurs et des bonbons à tout son entourage en chantant la chanson des Teletubbies avec un costume de lapin rose.
Mais il ne peut pas s'arrêter là :
« Enfin bon, Harry, maintenant que tu es plus léger tu t'en sortiras mieux pour l'entraînement de Quidditch de ce soir. »
Je crois qu'il a besoin d'une copine. Juste une idée en l'air, comme ça…
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Je suis à la bibliothèque. Je suis sensé être en train de rédiger un parchemin sur l'activité des loups-garous pendant la conquête spatiale par les Moldus, mais je trouve plus intéressant de réfléchir sur ma vie. Dit comme ça, ça sonne très narcissique. Je ne dis pas que ma vie est intéressante pour les autres, mais elle l'est pour moi. Enfin, il n'y en a quand même pas de quoi écrire un livre.
Bizarrement, ma 'Mione n'est pas avec moi. Ces affaires sont là, mais pas elle. C'est très gentil de me les laisser mais on a vite fait le tour de la conversation avec elles. Hermione est partie explorer les rayons de la bibliothèque. Remarque, explorer n'est sûrement pas le bon mot - ces rayons, elle doit les connaître comme sa poche. Au fait, je ne sais pas d'où vient cette expression mais, moi, je ne sais pas ce qu'il y a dans ma poche. Je fouille. Rien.
Pour en revenir à ma 'Mione, elle a dit qu'elle devait trouver un sort qui allait se révéler très pratique. Ça ne m'étonnerait pas qu'elle revienne avec le seul sort sur cette terre qui permet à tout être vivant d'étudier en dormant.
Je ne vais sûrement pas la revoir avant un bon bout de temps.
Tiens, la voilà qui arrive. Je me suis trompé. Mais elle a un livre dans les bras, donc j'avais à moitié raison.
« Harry ! » dit-elle une fois près de moi, « J'ai trouvé ce qu'il nous fallait ! »
Il nous fallait quelque chose ?
Elle range rapidement ses affaires puis, constatant que je n'ai toujours pas bougé, elle range aussi les miennes. Elle me prend par la main, et je me vois forcé de la suivre. C'est que je n'ai pas envie d'abandonner ma main. Qui sait où elle pourrait la mettre ? Moi.
On traverse la moitié du château et on se retrouve vite fait bien fait dans mon dortoir. Je soupçonne Hermione de connaître des passages secrets que je ne connais pas…
« Euh, 'Mione ? » je tente, « Je peux savoir ce que l'on va faire ? »
Elle affiche un sourire radieux. Je ne sais pas ce qu'elle va me proposer mais je vais accepter. Elle est tellement mignonne qu'elle ferait fondre un congélateur, comment moi, simple humain, pourrait-je lui résister ?
Elle ouvre le livre devant moi. Je regarde. Je ne comprends rien.
« 'Mione, c'est du latin ! »
« Du grec en fait. Je vais t'expliquer. C'est un sort qui permet d'agrandir une partie du corps ! »
Je reste sceptique. Je me trouve assez grand comme ça. A moins qu'elle ne se soit décidée à me doter d'un cerveau plus imposant ? Non, elle m'a demandé il y a quelques jours si je trouvais sa poitrine assez grosse. Elle est parfaite sa poitrine, mais c'est vrai que si…
Soudain je comprends.
Elle me regarde. Je la regarde. On se regarde quoi.
« Harry ? »
« Tu ne vas pas faire ça ? »
« Harry, c'est juste pour rendre les choses un peu plus intéressantes. Et puis, ce n'est pas irréversible, il y a un contre-sort. »
Je suis blessé dans mon orgueil de mâle.
« Tu ne la trouve pas assez grosse, c'est ça ? » je demande sombrement.
Elle me regarde comme si j'étais le dernier des imbéciles.
« Harry ! Je n'ai jamais pensé ça ! Tu es parfait ! C'est juste une petite fantaisie, mais si tu ne veux pas on ne va pas en faire tout un plat. Je vais- »
« C'est bon ! » je l'interromps.
Je n'aime pas la voir s'emporter. Et puis, après le premier affront passé, c'est vrai que la perspective d'avoir un sexe plus volumineux encore me paraît fort séduisante.
« Tu es sûr ? »
« Oui, si ça ne fait pas trop mal. »
« Ça ne fait rien du tout. Et puis tu va avoir droit à l'anesthésie. »
Elle me lance un regard coquin alors qu'elle s'agenouille devant moi. Ses mains partent en exploration sous ma robe – quoiqu'elle doit connaître cet endroit aussi bien que la bibliothèque. Elle défait ma ceinture, me déboutonne, me baisse le pantalon et le caleçon, et plonge sous ma robe à la recherche de ses mains. Enfin, ce n'est pas mes mains qu'elle cherche.
Je retiens ma respiration alors qu'elle m'emprisonne dans sa bouche. C'est doux. C'est bon. C'est irrésistible.
Je sens qu'on ne va pas avoir besoin de ce sort, je vais me vider dans sa bouche si ça continue. Dit comme ça ça fait un peu film porno. C'est pas ça qui la ferait jouir, ma 'Mione.
« Her- Hermione ! Arrête ! Je vais… »
Elle s'arrête et je regrette.
« Bien » dit-elle, « allonge-toi sur le lit. »
Je m'exécute, tandis que Hermione se déshabille sensuellement sous mes yeux. Puis elle vient se mettre à califourchon sur moi, et saisi mon sexe dans sa main, sa baguette dans l'autre.
Elle pointe sa baguette vers ma virilité, et au moment où elle prononce la formule, ce crétin de Ron entre dans la chambre. Il pourrait frapper au moins ! On n'entre pas ici comme chez un moulin ! Ou dans un moulin ? Enfin, c'est vrai que c'est aussi son dortoir, mais bon…
Bref, ma 'Mione ne s'attendait visiblement pas à ça et voilà à peu près sa réaction :
« CORPUM EXPEDIM- EH ! RON! »
Et puis une grosse explosion. Pas une de celles qui vous détruisent toute une maison en un clin d'oeil, mais assez grosse pour nous faire tomber du lit, ma 'Mione et moi.
Ron se précipite vers nous, il aide Hermione à se relever. Et n'en profites pas pour mater ! Ils se tournent tous deux vers moi et là, ils font ce qu'on appelle une bouche bée. Mais avec un grand B.
Et moi, je remarque un truc. Enfin, je sens un truc.
Je suis plus léger.
Il y a comme un courant d'air entre mes jambes. Je tente un regard. Aïe ! C'est bien ce que je craignais : j'ai perdu ma queue dans l'explosion. C'est du moins ce que je pense, jusqu'à ce que Ron, avec son tact légendaire, ne déclare :
« Harry, tu es une fille. »
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Et voilà ! Moi, je vais me coucher, mais vous, si vous voulez la suite, vous feriez mieux d'appuyer sur le petit bouton « GO » en bas à gauche ! )
Little Horn