Les personnages de cette fiction ne m'appartiennent pas, ils sont la propriété de Stephenie Meyer. Je n'ai fait que de dériver une situation créée par elle aussi.
Jacob POV
J'en avais plus que ras le bol ! J'en avais marre que cette immonde sangsue d'Edward Cullen sache ce que je pense. Mais le plus gênant de tout c'était ma meute. Que chacun d'entre eux voient mes moindres pensées et mes divagations était devenu insupportable.
Flash-back
Nous devions patrouiller ce soir, bien qu'il fasse calme, nous devions ne pas prendre de risques. Donc sous notre forme lupine nous écumions les bois et leurs alentours. Fatigué de déambuler sans but, je me couchais au bord de la falaise de laquelle nous sautions dans les flots et je me relaxais.
Les yeux dans le vide, mon imagination pris vite le pas sur mes pensées conscientes.
Je me voyais, ici, sous ma forme humaine, avec Bella. Je la prenais par la main et pour une fois elle ne me rejetait pas. Encourager par cela, je lâchais sa main pour passer mon bras derrière son dos et la prendre par la taille pour la rapprocher de moi. Elle se laissait faire et m'enlaçait, posant sa tête sur mon torse. Nous restions là un moment sans bouger à profiter du moment. Puis elle tournait la tête vers moi pour me dire quelque chose et là je me rapprochai doucement de son visage, de ses lèvres tendues vers moi et…..
Jacke ! arrête de rêver tout haut. Me lança Sam
Fin du flash-back
Ce ne fût pas la seule fois où je fusse pris en « flagrant délire » mais probablement la moins chaude, je vous laisse donc imaginer les autres.
J'ai donc décidé de m'entrainer et voir si j'étais capable de cacher mes pensées aux autres, voire de leur en faire passer de fausses.
Après quelques semaines d'exercices infructueux, je chopais enfin le début d'un truc. Cela n'était pas aisé mais il fallait que je place mes pensées derrière un mur. Je devais visualiser un mur et à partir de là je pouvais penser ce que je voulais et ces pensées se mettaient derrière ce mur et elles devenaient ainsi invisibles aux autres. Tous les autres.
J'étais maintenant nettement plus libre. Je pouvais désormais sélectionner les pensées que je voulais partager.
Cette nouvelle aptitude ne devrait pas m'être utile dans les évènements qui se présentent. Au contraire, notre pensée commune, à la meute et moi, nous serait plus qu'utile dans la guerre à laquelle nous allions prendre part.
Avec les Cullen, nous allions combattre une armée de vampires nouveaux nés qui venaient pour les exterminer.
Edward POV
Je ne supportais pas l'idée de devoir mettre Bella en danger mais nous avions besoin d'elle afin d'appâter les nouveaux nés et les diriger sur un terrain qui nous serait plus propice pour la bataille.
Il fallait maintenant que nous discutions avec ces satanés chiens galleux pour mettre au point notre stratégie.
Après plusieurs prises de becs, nous nous sommes mis d'accord. Nous déposerions l'odeur de Bella un peu partout et ensuite, à mon grand dam, Jacob la portera pour la mettre à l'abri loin du champ de bataille. Son odeur de loup, qui nous dégoute tant, masquera la sienne si envoutante.
Bella POV
J'avais réussi à convaincre tout le monde, aussi bien vampire que loup, de mon utilité dans la bataille. Par contre je n'avais pu les faire flancher sur le fait de rester et d'assister à celle-ci, pour aider en cas de besoin.
Ils s'étaient tous mis d'accord pour me mettre à l'abris à plusieurs kilomètre du lieu prévu pour l'affrontement. Jacob m'y porterait et Edward m'y attendrait au campement qu'il aura mis en place.
La veille du grand jour était arrivé. J'avais peur. Peur pour l'homme, enfin bon le vampire, que j'aimais et aussi pour mon meilleur ami, Jacob.
Je ne supporterais pas de les perdre, l'un comme l'autre. Ils comptent beaucoup trop à mes yeux.
Après avoir laissé mes marques, mon odeur, aux endroits stratégiques, nous nous retrouvions dans la clairière où devait se tenir la rixe.
Voilà Bella, c'est le moment de te mettre à l'abri me dis l'homme de ma vie
Je fis la moue mais me résolu à suivre leur plan car j'avais déjà suffisamment bataillé pour les faire changer d'avis, sans succès.
Jacob, prend Bella et emmène là au campement, je vous y attendrais, mais fait gaffe, ne laisse pas trainer tes salles pattes !
Et je la porte comment, sans poser mes pattes sur elle comme tu dis ? répondit Jacob.
Edward du bien se rendre à l'évidence, Jacob devait me prendre dans ses bras et dons poser ses mains sur moi s'il voulait me porter jusqu'à notre point de sécurité et c'est avec résignation qu'il partit, nous précédent, vers notre destination.
Jacob me regarda comme si il attendait ma permission. J'enroulais mes bras autour de son cou et c'est là qu'il se décida à me soulever de terre.
Me retrouver dans les bras de Jacob à moitié nu, puis-ce qu'il semblait avoir oublié l'usage des tee-shirts, me fit un drôle d'effet. Que m'arrivait-il ? J'aimais Edward mais être dans les bras de Jacob me troublais. La chaleur de son corps, en contraste avec celui glacé d'Edward, me rendait toute chose. Quel était cette sensation ? Elle ne m'était pas totalement inconnue, Edward l'avait déjà éveillée en moi, mais cela ne pouvait pas être possible. Jacob était mon meilleur ami, je ne pouvais décemment pas être émoustillée par le fait d'être contre lui ! Et pourtant, mon cœur s'était accéléré, ce qui n'avait rien à voir avec le stress de la bataille imminente, et je ressentais cette chaleur enivrante au niveau de mon bas ventre.
Je prenais conscience, d'une toute nouvelle manière, du physique de cet personne que j'avais, jusque-là, toujours vu comme mon meilleur ami et non comme le magnifique jeune homme qu'il était en réalité.
Collée à lui et en pleine course, je sentais ses muscles travailler. Ma raison me disait de ne pas y prêter attention, de penser à mon amour pour Edward, mais mon corps me trahissait. J'avais envie de le sentir tout contre moi. Je me lovais donc contre Jacob et je profitais de cette étrange sensation qui me faisait me sentir…vivante, oui vivante était le mot. Trop vivante peut-être.
Je fermais les yeux et laissais mon imagination courir aussi vite que le faisait Jacob. Des images se formèrent dans mon esprit, Jacob s'arrêtait dans sa course, me posais au sol. Interloquée, je me retournais pour lui demander pourquoi cette pause. Il ne me laissait pas le temps d'en placer une, il me prenait le visage entre ses mains, me plaquait contre le tronc d'un arbre et posait sa bouche, douce et charnue, sur la mienne. Moi, au lieu de le repousser comme à mon habitude, je me surpris à me laisser faire et même à le laisser approfondir le baiser lorsqu'il passait sa langue sur mes lèvres. Loin de trouver cela désagréable j'essayais même de gagner cette bataille que se livraient nos langues. Mes mains parcouraient son corps, beau, chaud, comme sculpter par le plus talentueux des artistes, tandis que les siennes passaient sous mon anorak et mon pull afin d'y rencontrer ma peau. Il fermait l'espace qui existait encore entre nous et collait tout son corps contre le mien, me faisant sentir combiens son désir pour moi était grand.
C'est troublée, excitée et à bout de souffle, comme si j'avais moi-même couru, que j'arrivais au campement.
Jacob me déposa par terre et je quittais ses bras à regret.
Mais Bella purée qu'est-ce qui te prend ! Tu aimes Edward voyons, tu ne vas pas fantasmer maintenant à propos ton meilleur ami. Me résonnais-je.
Edward me sortis de mon hébétude.
Ca va Bella ? Me demanda-t-il, inquiet de ma mine.
Heu oui. Oui Edward ça va, un peu chamboulée par cette course, j'ai le mal des transports. Essayais-je de plaisanter afin de couvrir mon trouble.
Cela eu l'air de fonctionner. Edward ne releva pas la question.
Tu es certaine que tu as le mal des transports Bella, que ce n'est pas le fait d'être contre moi qui te mets dans cet état ? Me murmura Jacob, à qui mes états d'âme n'avaient pas échappé.
Coucher le chien ! Rétorqua Edward sèchement, ayant tout entendu de son ouïe de vampire surdéveloppée.
Cela fit ricaner Jacob, comme si il le provoquait délibérément.
Ce petit jeu entre eux ne cesserait-il donc jamais ?
Nous nous dirigeâmes tous vers la tente et Edward m'y fit entrer. Cela n'était pas un palace, c'était loin d'être confortable, même pour une seule nuit, mais il faudrait faire avec.
Jacob POV
Nous avions pris possession des lieux. Edward et moi avions laissé nos différents de côtés afin de pouvoir faire efficacement le tour du campement et nous assurer qu'il était tout à fait sécurisé. C'est de Bella dont il était question ici, et j'étais prêt à tout pour qu'il ne lui arrive rien, même à faire une trêve avec ce buveur de sang qui avait la chance d'être son petit ami.
Nous n'avions plus qu'à attendre le lendemain, jour de la bataille.
Bella et Edward rentrèrent dans la tente et j'entamais le premier tour de ronde. Nous nous relayerons toutes les heures Edward et moi. Ma meute était disséminée aux alentours du champ de bataille et me tiendrait informé d'un quelconque danger pouvant venir de là et en connexion avec mes pensées Edward en serait tenu au courant par la même occasion.
Le temps s'était dégradé et la température avait chuté. Comme si lui aussi sentait la gravité de la situation.
Mon heure de garde terminée, je rejoignis la tente pour passer le relais à Edward. Je le trouvais assis à côté d'une Bella grelottante dans son sac de couchage.
Edward sorti à regret. Il n'appréciait de toute évidence pas de me laisser seule avec sa petite amie.
Tiens-toi à carreau salle cabot, ne l'approche pas plus que de raison me lança-t-il en sortant de la tente.
Ne voulant pas créer plus de problèmes, je m'assis aussi loin de Bella que me le permettait l'espace réduit de notre abri.
Cela me fendait le cœur de voir Bella dans cet état. Elle claquait des dents et tremblait tellement fort que la paroi de la tente à côté d'elle était tout aussi agitée. Elle aurait bien besoin d'être réchauffée et ma température corporelle elle était de 40° à tout moment.
N'y pense même pas ! Me cria Edward qui se trouvait à quelques mètres de là, il avait tout entendu de mes pensées.
Pas de soucis répondis-je si tu préfères qu'elle se ramasse une pneumonie c'est ton choix.
La fermeture à glissière de la tente s'ouvrit et il y passa la tête, me regarda droit dans les yeux et me dit.
Très bien, clébard, met toi près d'elle mais contente toi de la réchauffer et pas de coup fourré. D'ailleurs je crois qu'il vaut mieux que tu restes là tant que la température est aussi basse, moi je ne peux pas l'aider à ce niveau-là.
Et il ressortit.
Bella qui avait assisté à toute la scène sans piper mot me regarda avec gratitude et ouvrit le sac de couchage afin que je puisse m'y glisser auprès d'elle.
La sentir contre moi était indescriptible, j'avais déjà pu en profiter plus tôt lors de notre course, mais ici, je n'avais rien d'autre à penser qu'à son corps si parfait collé contre le mien. Bien entendu cela ne me laissait pas insensible et mon imagination se réveillait.
Tu pourrais au moins contrôler tes pensées hurla Edward hors de lui.
Je souris. Contrôler mes pensées, ok. Je bâtis mon fameux mur. Ha tu veux que je contrôle mes pensées, et bien voilà tu vas être servi et moi tranquille.
Merci me lâchât-il.
Si seulement il savait maintenant à quoi je pensais, puis-ce que je pouvais penser librement, je ne suis pas certain qu'il me remercierait, me fis-je comme réflexion.
Maintenant libre dans mes idées et de mes mouvement, je me mis plus à l'aise et m'allongeais plus confortablement contre Bella qui s'était un tant soit peu réchauffée mais qui frissonnait encore.
Edward s'étant éloigné, je lui soufflais doucement à l'oreille
Tu sais, il parait que cela fonctionne mieux, sans vêtement. Peaux contre peaux la chaleur passe mieux.
Je la senti se contracter.
Bella POV
Mon amour et mon ami étaient enfin parvenu à se mettre d'accord et Jacob était venu me rejoindre dans le sac de couchage.
Edward, devant patrouiller, s'éloigna de la tente.
Je sentis Jacob se détendre et prendre un peu plus ses aises à mes côtés.
J'avais bien chaud à présent, mais tout comme tout à l'heure lors de notre course, le corps de Jacob contre le mien me laissait loin d'indifférente. Je frissonnais, mais plus de froid !
Il le remarqua, cru que j'avais encore froid, et me surpris par son audace.
Tu sais, me dit-il, il parait que cela fonctionne mieux, sans vêtement. Peaux contre peaux la chaleur passe mieux.
Je me contractais, je n'en revenais pas, Jacob me proposait de me déshabiller. Sois disant pour que la chaleur atteigne mieux mon organisme.
Bien sûr, j'avais capté le sous-entendu et le plaisir qu'il y prendrait si je m'exécutais. Mais n'y prendrais-je pas moi aussi un certain plaisir ? Ca y est, je repartais en vrille et à nouveau ne pensait plus à Jacob comme à mon meilleur ami !
Après tout, j'aimais le nargué et décidais de le prendre à son propre jeux.
J'ouvris le sac de couchage, en sorti et rapidement, car le froid me gagnait à nouveau, je quittais mes vêtements ne gardant que mon soutien-gorge et mon shorty.
C'est un Jacob éberlué et rouge comme une tomate que je rejoignis dans le sac de couchage.
Je riais intérieurement, j'avais réussi. Je m'étonnais moi-même de mon effronterie. Ici et maintenant je n'étais définitivement plus la Bella que tout me monde connaissait.
Je me recollais à nouveau contre lui afin de retrouver la chaleur qui m'avait quittée.
Il restait là, stoïque, droit comme un i les bras le long du corps, ne sachant apparemment pas quoi en faire. Je l'avais bien pris à son propre jeu. Il était mal à l'aise.
Je me retournais un tant soit peu et saisi son bras pour le passer autour de moi.
J'aurais plus chaud comme ça lui dis-je innocemment.
Bien entendu mon geste n'était pas innocent mais bien destiné à l'enfoncer encore plus dans le jeu qu'il avait voulu amorcer.
Jacob POV
Non, ce n'est pas possible !
Après s'être contractée, Bella avait ouvert le sac de couchage et en était sortie.
Je n'y croyais pas ! Elle m'avait pris au mot et se déshabillait. Était-elle vraiment aussi naïve et n'avait-elle pas saisi le sous-entendu de ma proposition ?
J'étais estomaqué et je me senti rougir face à son corps magnifique et à moitié nu. Elle portait, sous ses vêtements, un très joli petit ensemble en dentelle bordeaux, qui contrastait à merveille avec sa peau laiteuse.
Je n'eus pas le temps de profiter de cette vue enchanteresse bien longtemps car elle regagna vite fait sa place contre moi dans le sac de couchage.
Je ne savais plus comment agir, moi qui avait toute la gueule deux minutes avant et qui lui proposait de faire ce qu'elle venait de faire, je me retrouvais tétaniser avec la fille de mes rêves, en sous-vêtement, collée à moi.
C'est là, alors que je croyais être au bout de mes surprises, qu'elle me déstabilisa encore plus en se saisissant de mon bras et en le passant autour d'elle.
Isabella Marie Swan était à moitié nue dans mes bras, tout contre moi.
Je dû modifier ma position afin qu'elle ne se rende pas compte de mon trouble, qui avait des effets directement dans mon pantalon.
Malheureusement, ou heureusement au final, je n'eus pas dû le faire suffisamment vite car elle recula son bassin contre moi et ses fesses vinrent appuyer sur mon érection à présent impossible à dissimuler.
Mon côté loup dominant repris le dessus sur le jeune homme embarrassé que j'étais.
Je dégageai mon bras de son emprise fit glisser ma main jusqu'à sa hanche. Je saisi celle-ci et l'attira vers moi tout en avançant mon bassin, accentuant ainsi la pression entre son derrière et mon sexe turgescent.
Ok Bella, lui susurrais-je à l'oreille, tu veux jouer ? Voyons jusqu'où tu tiendras sans t'enfuir comme les autres fois.
D'habitude, à peine je m'approchais d'elle pour essayer de l'embrasser qu'elle se carapatait prétextant que je n'étais que son meilleur ami.
Elle n'essaya pas de s'éloigner, au contraire, elle colla son dos contre mon torse, alignant ainsi parfaitement nos deux corps.
Je dégageai le bras coincé sous moi et le fit passer sous sa tête, ma position serait ainsi plus confortable et aussi, de cette manière, ma main avait accès à sa poitrine.
Tandis que la main qui m'avait servi à la collé contre moi caressait son ventre, l'autre était passée par-dessous le bord du bonnet de son soutien et je passais mes doigts sur son mamelon qui se durcirait. Je l'embrassais dans le cou, titillait son lobe d'oreille. Elle se frottait contre moi, apparemment elle appréciait, ce qui m'encourageait à m'aventurer plus loin dans l'audace. Je lui prenais maintenant le mamelon entre trois doigts et le faisait doucement rouler entre eux, le pinçant légèrement. Elle se mordit la lèvre pour ne pas gémir et sa respiration devenait de plus en plus laborieuse. J'aimais l'effet que je lui faisais. Mon autre main caressait maintenant sa douce et chaude intimité. Son shorty se révélait être très fin et ne cachait rien de l'état d'excitation de ma compagne de jeu. N'y tenant plus et ne voulant plus de cette barrière entre mes doigts et son feu intime, je fis légèrement glissé ce dernier. Elle retint sa respiration. Avais-je atteint sa limite ? Comme elle ne bougeait pas, qu'elle ne me repoussait pas, je continuais et reposant ma main sur son ventre je la dirigeais doucement vers son pubis, lui laissant le loisir de me stopper. N'ayant aucune réaction dans ce sens, mes doigts rencontrèrent sa toison. Ils ne s'y attardèrent pas, impatient d'entrer en contact avec la peau délicate de ses lèvres intimes. Ils y arrivèrent sans embuches, les caressèrent et finalement j'y appliquais une légère pressions afin de les séparer me donnant accès à son antre. Elle soupirait, ses hanches ondulaient. Dire qu'elle était humide aurait été un euphémisme. Elle était détrempée. J'eu envie de trouver la source de cette humidité et aventuraient un doigt sur son entrée. Elle gémit doucement. En espérant que l'autre dehors ne l'entende pas, me dis-je.
Hmmmmm, tu as l'air d'apprécier lui murmurais-je tu n'essaies plus de m'échapper. Veux-tu sentir mes doigts en toi ? lui demandais-je
Pour toute réponse elle avançait son bassin, accentuant la pression de mes doigts sur son sexe incandescent.
J'en avais autant envie qu'elle. N'y tenant plus j'introduisais donc un doigt en elle. Elle était douce, chaude et au combien mouillée. Un vas et viens de mon doigt lui arrachait un soupir éloquent et ceci me poussait à ajouter un autre doigt au premier afin d'accentuer son plaisir. Elle se cambra. Son bassin ondulait, accompagnant mes mouvements en elle et par la même occasion frottait contre mon sexe. Je me pressais un peu plus contre elle pout profiter aussi du plaisir que tout cela me procurait en imprimait aussi une ondulation à mon propre bassin, mon sexe délicieusement coincer entre elle, mon jeans et mon ventre.
Je quittais la chaleur de son vagin, mes doigts lubrifiés, je les posais doucement sur son bouton sensible et avec une légère pression, je le caressais formant des petits cercles sur lui. Bella respirait de plus en plus fort, je pouvais entendre son cœur cogner dans sa poitrine, elle contrôlait tant bien que mal ses gémissements. Sa main rejoignait la mienne, je crus qu'elle allait m'arrêter, mais au contraire, elle se posa dessus et ses doigts se lovèrent sur les miens et me montrèrent la pression qu'elle souhaitait ressentir. Elle me fit aussi accélérer le rythme de mes circonvolutions. Je la senti se tendre, elle mordait dans sa main pour garder un volume sonore acceptable. Je pouvais dire qu'elle appréciait. Elle fut prise de tremblements puis de spasmes, longs et multiples. Je venais d'amener ma Bella à l'orgasme.
C'est le moment que choisi Edward pour revenir à la tente.
Que ce mort animé soit damné !
Edward POV
Je retournais à la tente pour voir si Bella se sentait enfin mieux.
Je failli m'étrangler et par la même occasion sauter sur cette saleté de loup quand, en entrant dans la tente, je vis les vêtements de Bella au sol.
PUTAIN DE BORDEL DE MERDE, que ce passe-t-il ici ? Explosais-je
Bella me fusilla du regard et me rétorqua agressivement
C'est dans tous les cours de secourisme pour HUMAIN, pour que la chaleur se propage mieux dans des cas comme celui-ci, il est préférable de ne pas avoir de vêtements et soit encore bien content car nous en avons encore.
La dessus elle se retourna et enfui sa tête contre le torse de Jacob qui me regardait l'air innocent un petit sourire aux lèvres. Je pouvais dire que ma chérie était réellement très énervée contre moi car elle respirait vite et difficilement et son cœur cognait contre sa poitrine avec force.
Il fallait bien que j'admette. J'avais lu cette théorie dans un manuel ou l'autre. Je restais la hébété. Ma jalousie maladive m'avait encore une fois aveuglé. Bella m'en voulait, elle me tournait le dos et me faisait la tête maintenant. Je m'excusais, essayait de la faire parler, qu'elle me réponde, mais rien à faire, elle restait désespérément dos à moi.
Je restais là encore un moment. La regardant dans les bras de cet autre homme que moi. Sa respiration s'était calmée. Elle dormait certainement. Jacob en faisait de même. Ils dormaient. Je sortais donc de la tente et la refermais soigneusement.
J'avais été con ! S'ils avaient été occupés à quelque chose de pas catholique, trop content de lui je l'aurais entendu dans les pensées de ce chien de malheur !
Jacob POV
Une fois encore Bella m'avait désarçonné. Jamais je n'aurais cru qu'elle aurait fait face dans notre situation et comme si de rien était, comme si nous n'étions pas occupé à jouer avec le feu, elle avait cloué Edward avec la même théorie qui nous avait amené à nous retrouver quasiment nu l'un contre l'autre et elle à jouir.
Et ce con il avait marché.
Elle s'était fâchée contre lui et retournée face à moi, la tête contre mon torse, ses bras entre nous. Je la serrais contre moi faisant mine de lui tenir chaud et souriant bêtement vers Edward.
Il se confondait en excuse. Bella ne réagissait pas. Avoir joué la colère avait bien masqué le fait que sa respiration était encore rapide due à son tout récent orgasme. Et elle jouait aussi très bien celle qui faisait la tête. Car en fait tous le temps qu'Edward la suppliait de lui pardonné, de lui parler, Bella faisait discrètement balader ses mains sur mon ventre. Cachée par le sac de couchage, la canaille avait décidé elle aussi de jouer avec la partie la plus sensible de mon corps. Tout cela en présence de son petit ami.
J'avais bien du mal à faire semblant de rien. Ses mains ne me laissaient pas insensible et mon érection devenait vraiment très inconfortable. Comme si Bella avait ressenti ce que je pensais, et qu'elle voulait, ce que en quoi je ne doutais pas d'ailleurs, que je me sente encore plus à l'étroit dans mon jeans, l'une de ses main était maintenant posée sur la bosse que formait mon sexe dans celui-ci. Comme si cela ne suffisait pas, après un moment elle y apposait une certaine pression et amorçait un léger mouvement de vas et viens. Je fermais les yeux et contrôlais ma respiration. Elle allait me faire perdre la tête et nous faire repérer par Edward, ça allait être notre fête.
Edward, décidément il avait besoin de lunette celui-là, sorti de la tente. Avait-il entendu quelque chose ou nous avait-il cru endormi, je m'en fichais je pouvais enfin souffler.
J'attendis qu'il se soit éloigné et là n'y tenant plus ma main passait sous le menton de Bella et lui soulevait la tête. Elle me regarda droit dans les yeux. Mes lèvres se posèrent sur les siennes. Elle ne tenta pas d'échappé à ce baiser et y répondit même. Ma langue vint jouer contre ses dents et elle répondit à ma demande d'accès en desserrant ses mâchoires et en venant à la rencontre de ma langue avec la sienne.
Mes alleux quelle sensation. Cela faisait tellement longtemps que j'attendais de la goûter. Elle était sucrée et fraiche comme un fruit de printemps. Nos langues jouaient, dansaient, d'abords doucement puis le rythme devint plus effréné.
Bella POV
Jacob venait de me faire jouir comme jamais je n'avais jouis avant ! Même seule et me connaissant bien je n'étais jamais arrivée à me donner autant de plaisir.
J'étais à bout de souffle et un dernier spasme de plaisir venait de me traverser quand Edward rentra dans la tente.
Mon cœur s'arrêta.
Il se prit une colère voyant mes vêtements au sol. J'en profitais pour moi aussi jouer la colère, cela me permettrait de justifier la rapidité de ma respiration. A la fin de ma tirade je lui tournais le dos, prenant soin de placer mes bras de façons à mettre le plan qui venait juste de naitre dans mon esprit à exécution.
Haaa Jacob voulait voir jusqu'où j'irais dans notre jeu, et bien j'allais voir, moi, jusqu'où lui était capable d'allé.
Les excuses d'Edward me touchaient mais j'étais trop prise par la chaleur de nos activités à Jacob et à moi que pour y prêter vraiment attention. J'avais envie de jouer.
Je ne me reconnaissais décidément pas. Où était passée la Bella timide et qui évitait tout contact trop intime avec son meilleur ami ? Était-ce l'imminence du combat à venir, dans lequel j'avais autant à perdre qu'a gagner, était-ce la frustration des ébats avorter avec Edward ou était-ce cette attirance envers Jacob, que je m'étais toujours refusée d'admettre même à moi-même, qui me rendait si hardie ?
Dans tous les cas j'avais décidé de profiter du moment.
Edward était toujours là, a s'excuser à se justifier.
Sous l'écran que formait le sac de couchage je commençais à caresser le ventre de Jacob. Mon dieu comme il était bien foutu. Mais je décidais bien vite que ce n'était pas là que je voulais mes mains !
J'avais déjà eu l'occasion de caresser Edward, au-dessus de ses vêtements j'entends, et de sentir à quoi ressemblait un sexe masculin prêt à l'attaque.
Mais là c'est Jacob que j'avais envie de caresser et pas qu'au dessus de ses vêtements.
Je posais ma main sur son sexe, seul son jean me séparait de sa peau. Je sentais sa verge vivre sous ma main, se contracter, se soulever. Je ne pu m'empêcher d'appuyer légèrement dessus et de faire doucement allé et venir ma main.
Jacob faisait preuve d'un self contrôle dont je ne lui en pensais pas capable. Sa respiration était lente et profonde. Si je n'avais pas son instrument bien éveillé sous la main, j'aurais pu croire qu'il dormait paisiblement.
C'est probablement ce qu'Edward pensait aussi car il sorti de la tente. Le jeu allait être plus facile.
Jacob souleva ma tête en passant sa main sous mon menton. Je le regardais dans les yeux. Je ne le repoussa pas quand il m'embrassa, j'en avais envie, depuis longtemps, si je voulais être honnête avec moi-même.
Ce baiser réveilla mon excitation qui s'était un tant soit peu calmée et je m'en servi pour y puiser l'audace pour ma prochaine action.
Je brisais notre baiser et recherchais le regard de Jacob, il eut l'air un peu déçus mais son expression changea bien vite.
Je défaisais le premier bouton de son jeans. Jacob n'en revenait pas. Les autres boutons suivirent aisément.
Pour faciliter sa transformation et pour n'avoir qu'un vêtement à enlever lors de celle-ci ou à remettre après, Jacob ne portait pas de sous vêtement. J'eu donc, une fois tous les boutons défait, accès directement à son membre tendu.
Toujours en le regardant dans les yeux, je me saisis de l'objet de ma convoitise. J'enroulais mes doigts autour de celui-ci. Je le caressais, passant légèrement mes doigts tout le long de son sexe et appréciant la douceur de sa peau.
Jacob avait l'air d'aimer ça, son regard s'était adoucis et était un peu voilé.
J'affermis un peu ma prise et tirais doucement sa peau vers le bas, découvrant son gland turgescent. Je passai l'un de mes doigt sur le dessus de celui-ci afin de récolté les gouttes d'excitation qui y perlaient. Je portais ce même doigt à ma bouche pour gouter les prémices du produit de nos jeux. Cette action fit gémir Jacob.
Il m'avait fait jouir, j'allais à mon tour lui donné du plaisir. Je n'avais jusque-là jamais vécu de jeux sexuel aussi poussé, mais je n'étais pas innocente et ignorante sur le sujet pour autant. J'ai toujours adoré lire, même si les livres sont agrémentés d'images, et mon père aimait le cinéma, même celui classé vers la fin de l'alphabet et j'avais pu, en cachette, profiter de sa vidéothèque.
Ayant nettoyé mon doigt de toute trace du liquide que j'avais récolté, je l'humidifiais avec ma salive. Je replongeais ma main dans le sac de couchage et m'emparais à nouveau du sexe de mon compagnon de jeu. Aidée par la lubrification, je fis facilement glisser celle-ci autour du gland et de partie très sensible de la verge de Jacob. Il ne parvenait plus à garder les yeux ouvert et sa tête parti légèrement vers l'arrière. Il appréciait mes caresses.
Sentir son membre dans ma main m'excitais, la chaleur du feu de mon ventre s'était à nouveau éveillée et je voulais la calmer. Dans notre position, il m'était impossible de me toucher pendant que je masturbais Jacob. Une idée s'imposa à moi. Je poussais Jacob afin qu'il se couche sur le dos. Je me battais un peu avec mon Shorty et arrivais enfin à m'en débarrasser. Je me couchais sur un Jacob incrédule qui me regardait comme si j'avais perdu la raison.
Une jambe de chaque côté de son bassin, allongée sur lui, son sexe entre nous, je remontais un peu. D'abord mon pubis toucha son membre, puis je fis basculer mon bassin et le regardant dans les yeux, j'amenai ma fente humide contre sa longueur. Le sentir contre mon intimité me fit mouiller encore plus, je n'y tenais plus et me faisais maintenant allé et venir, me masturbant avec sa verge et le masturbant par la même occasion. J'étais tellement mouillée que nous étions parfaitement lubrifiés et la caresse de nos sexes l'un contre l'autre nous procurait de délectables sensations.
A chaque allées et venues, mon clitoris entrait en contact avec son gland. Je maintenais un rythme soutenu et Jacob m'avait attrapé les hanches et appliquait un mouvement du bassin qui s'accordait au mien. Je prenais garde que nos mouvements ne m'amène pas à m'empaler sur l'instrument qui faisait monté mon plaisir, je ne souhaitais pas perdre ma virginité comme cela.
Nos respirations étaient erratiques, nos mouvements de plus en plus désordonnés.
Jacob POV
Bella me chevauchait, non que nous nous étions imbriqué mais elle se masturbait en me masturbant, frottant son sexe chand et humide au mien.
Je voyais bien qu'elle y prenait un plaisir grandissant et le mien n'était pas loin de son apogée. A ce rythme-là je ne tiendrais plus longtemps.
Ho Bella, putain c'est bon soufflais-je
Le fait que je vocalise mon plaisir eu l'air de l'exciter encore plus.
Hmmm oui Bella continue
J'avais envie qu'elle vienne aussi.
Ho oui continue, n'arrête surtout pas gémis-je
Je sentis son liquide couler le long de ma verge, je l'excitais à parler et la fis gémir à son tour. Je la sentais proche tout comme je l'étais. J'allais jouir d'une seconde à l'autre.
Ho oui bébé, jouis pour moi, viens, viens maintenant.
Je la sentit trembler et les spasmes de son orgasme, la pression accentuée qu'elle mettait sur ma verge et la beauté de son visage dans le plaisir me fit exploser et m'envoyait au 7ème ciel en même temps qu'elle.
Elle s'écroula sur moi. J'enroulais mes bras autour d'elle. Nous nous câlinâmes un peu avant d'ajuster notre tenue.
Je pris finalement sa bouche, dans un long et doux baiser dans lequel j'espère elle ressentit tout l'amour que j'avais pour elle.
Cette guerre n'avait au fond pas que du mal. Elle avait peut-être permis à Bella de se rendre compte qu'elle m'aimait aussi et qu'elle avait le choix entre la vie, moi et la mort, Edward.
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Voilà. Ma toute première fanfiction.
Je l'ai faite en OC car je ne pensais pas pouvoir la trainer plus en longueur et y mettre suffisamment de substance afin qu'elle reste intéressante.
SVP, donnez-moi votre avis. Selon eux, celle-ci sera ma première ou peut-être ma dernière.
Merci de m'avoir lue.
