Bonjour !

Bienvenu dans ce Recueil de OS pas vraiment joyeux tout plein !

Je me sentais d'humeur à tuer quelqu'un aujourd'hui alors pour me défouler j'ai écrit ce petit One Shot ! (le premier de ce recueil ! -sans dec ? On avait pas remarquer-)

Je l'ai écrit en écoutant Rise de Skillet, bien que ce OS parle de mort et non pas de soulèvement révolutionnaire ! Je suis bizarre mais c'est pas trop grave parce que c'est cool d'être bizarre hein ?

C'est un leger (tout tout tout petit mais genre vraiment vraiment AkaKuro !)

Oh ! Une Patate Volante !

Bonne Lecture en compagnie de zombies !


Die

Il y a dans un cimetière une tombe. Elle n'est pas débordante de fleur. Elle n'est pas la plus belle. Elle n'est pas la plus visitée. Mais parfois on entend comme des coups porter au marbre froid. Et la terre qui la borde est nourrie de larmes, qui lorsqu'elles tombent, résonnent jusque haut dans le ciel.

"Tu rigolerais surement si je te disais que pour la première fois de ma vie, je ne sais pas quoi dire. Oh je parle peu, mais j'ai toujours sû quoi dire lorsque je devais parler... Je pense que je vais faire simple. Je vais commencer par le début.

J'ai d'abord senti ma gorge se serrée. C'était comme si on essayer de m'étrangler... mais depuis l'intérieur...

Puis, sur mes joues, j'ai senti ces choses, brûlantes, acides, cavalant jusque mon menton comme si c'était une course qu'il fallait gagner à tout prix, je leurs aurait bien donner un nom. Mais je n'avais pas le temps, elles naissaient et mourraient éphémères; Je pleurais toutes les putains de larmes de mon foutu corps ! Comme un gosse.

Puis de manière tout à fait incompréhensible, j'avais ris. Amer mais doux, je riais aux éclats d'un rire qui tentait de transpercé les murs m'entourant. Tout était abstrait, tout devenait absurde lorsque je regardais autour demoi -j'étais complétement perdu au final. Les gens me fixaient j'entendais leurs yeux me dire "Il est complétement fou" oui... ça doit être un peu ça... La follie m'avait prise aux tripes.

J'avais aussi lever le visage, vers le plafond -à ce moment j'aurais tellement voulu qu'une averse gelée comme je les aimes vienne se fracassée sur tête et voir des nuages dansé, j'aurais alors réaliser que ce n'était qu'un rêve parmis d'autres qui m'a fait faire une crise d'anguoisse vraiment drôle, mais il ne pleut pas à travers les plafonds.
Cette putain de crise de fou rire me broyait les cotes et j'en avais perdu toutes sensations dans les bras. C'était juste... Douloureux...

J'avais ri combien de temps...? Je ne sais plus trop, mais je sais qu'une fois totalement épuisé, je m'étais éfondré, à genoux sur le sol. C'était du carrelage, comme dans tous les hopitaux, bleu parce que c'est cool le bleu. C'est comme le ciel... Sans doute pour nous donner l'illusion que même si tout ce qu'on peut nous annoncer ici nous fera plonger, on plonge vers le ciel...

C'est juste triste.

Je sais que je n'avais plus pleurer, les larmes qui avaient couru sur mes joues à l'annonce c'était juste la prise de conscience. Le rire, c'était le choc. J'avais ri uniquement pour ça. C'est juste que sur le moment j'ai trouvé ça assez... ironique. Pathétique peut-être.

Mais j'étais là, à genoux, moi qui m'étais toujours refusé à m'abaisser.

Oui j'étais là. Et j'allais crever.

Je ne l'avais pas vue venir. Je n'avais rien prévue de tout ça.

Moi j'avais prévu de vivre jusqu'à ce que j'en ai marre. Que je balance tout contre un mur et que je décide de mourir. Je n'avais pas prévu que la vie déciderais pour moi du moment de ma mort... C'était con.

Et j'ai continuer de rire, quitte à passer pour un fou auprès du personnel hospitalier, de mes medecins, des autres patients. Soit ! Je serais fou mais c'est drôle tout de même... De se dire qu'au final, on a beau essayer de se convaincre du contraire, on ne contrôle rien. Je n'ai jamais rien contrôler. Là encore je ne contrôle pas. Vais-je mourir dans la semaine ? Le mois ? L'année ?

C'était la question.

Et je crois que pour la première fois de ma vie, j'ai eu peur. Peur de ce que je pourrais laisser derrière moi... Non. Peur de, justement, ne rien laisser derrière moi. De n'être qu'une poussière parmis tant d'autres à avoir vécue sur cette Terre, tellement... futile face au Monde. N'avoir servi à rien. Ne rien avoir accompli. J'avais juste peur.

Peur de mourir seul, dans un lit d'hopital, un jour comme les autres où les autres vivent quelque chose de banal, une vague routine d'une vie sans goût.

Avec le recul, je pense que j'ai louper trop de choses dans ma vie. Il y a eu tellement d'opportunité d'en faire quelque chose de mémorable. Opportunité balayer d'un revert d'égo surdimensionné et trop dangeureu pour moi-même.

Combien y a t-il eu de mains tandus dans le vide car je refusais d'accepter l'aide de quiconque ? Combien y a t-il eu de souvenirs que j'ai préféré effacer car il ne collaient pas à ma façon de vivre ? Combein y aura t-il de personnes, qu'elles soient des connaissances des amis ou de ma famille, à verser des larmes sincères lorsque je me retrouverais sous terre ?

C'est con de se dire que l'on né tout en chair de la terre pour y retourner poussière.

C'est con de se dire que je n'ai jamais dit avant aujourd'hui, avant cette lettre, la moindre insulte.

J'aimerais pouvoir epuiser mon stock. En dire à tout le monde, pour rien, juste "comme ça", ça me défoulerait un peu. Ca relacherait un peu de la pression que j'exerce sans m'en rendre compte sur mes pauvres nerfs. En vérité je pense mériter ce qu'il m'arrive. Je crois que je me suis moi-même programmer à me pourrir la vie au point de me faire crever.

Tu vas surement te dire qu'on dit tous ça lorsque l'on apprend qu'on est condamné mais... Je ne veux pas mourir. Je n'ai pas la moindre foutue envie de quitter cette foutue Terre Boredel de Merde !

J'ai rater tellement de choses... J'en raterais tellement si je pars.

Ca va sans doute te parraitre égoiste -ne changeons pas les bonnes choses après tout- mais je voudrais que tu pleures. Que suis sois triste à t'en taper le front sur ma tombe ! Que ma mort te fasses tellement de mal que j'entenderais tes pleures depuis le paradis... ou l'enfer. De toute façon on sait même pas si toutes ces conneries existent. Je veux juste que tu ressentes un vide quand je ne serais plus là, que t'aies l'impression qu'on te tors l'estomac, qu'on te broye le crâne et qu'une pluie d'acide s'abat sur toi. Quitte à ce que tu sois le seul à me pleurer, du moment que c'est toi...

Je ne sais même pas si je te l'ai déjà dit. Que je t'aime je veux dire. Dans ce cas c'est que j'ai vraiment gâcher ma vie. J'aurais pas dû naitre... Au final, si je suis né uniquement pour faire tourner l'économie de ce payer en achetant des sodas hors de prix et de la nouriture hyper calorique ça servait à rien que je vienne au monde.

Tu vas peut-être pas me croire mais... Je suis bien là. C'est grand et douiller, bien qu'un peu froid. Ouais je voudrais rester ici pour toujours, dans ses bras. Les bras de la mort. Parce que je m'y sens à ma place -mais pas mourir ! juste rester là à profiter. Enfait c'est comme si j'avais vécue juste pour mourir... Nan je veux dire... On nait tous pour mourir, mais moi, c'est comme si, tous ces arrêts sur le chemin de la vie, j'étais passé devant sans les regardés pendant que les autres s'arrêtaient pour voir ce qu'ils y proposaient, sur les stands du destin, moi je continuais d'avancer, droit devant sans jamais me retrouné juste pour arriver au terminus le plus vite possible -je pense qu'inconsciement je me suis moi-même condamné.

Et toi t'étais là. A ma droite ou à ma gauche peu importe. Tu tendais le bras et sasissais un flyers ou deux pour me proposer un autre chemin. Je ne t'ai jamais écouter. Comme si tous ce que tu disais c'était une autre langue. Je ne comprenais pas. Je ne comprenais pas que tu voulais m'aider. Me sauver, faire en sorte que je laisse quelque chose derrière moi à ma mort.

Alors Merci.

C'est un peu tard je pense pour te le dire mais Merci. Merci d'avoir essayer de faire de moi quelqu'un. Merci d'être rester jusqu'à ce que tu n'en puisse plus, de trimballer le cadavre que j'étais destiné à devenir. Merci simpement, d'être toi. D'être là. De lire cette lettre.

Si tu me le permet. J'aimerais te dire une fois encore d'excuser la personne aussi inutile qu'idiote que je suis.

Alors... Désolé Tetsuya. Je t'aime, ne m'oublie pas.

Seijuro"

Il y a dans un cimetière une tombe. Elle n'est pas débordante de fleur. Elle n'est pas la plus belle. Elle n'est pas la plus visitée. Mais parfois on entend comme des coups porter au marbre froid. Et la terre qui la borde est nourrie de larmes, qui lorsqu'elles tombent, résonnent jusque haut dans le ciel.


Quoi ? Déjà fini ? Oui c'était vraiment court et j'ai tuer Akashi alors je suis prête à recevoir des tomates ^^

C'était triste ou pas ? Hein ? Hein ? Je dois savoir ! Laissez une review ! (oui je ressemble à une mendiante, si vous avez aussi un euro ou deux histoire que je m'achète un Kinder merci de me les faire parvenir !)

Bisous baveux de Tatie Gertrude *keurkeur*

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Des fautes ? Où ça des fautes ? Ha ! Là ! Mais fallait le dire plutôt ! Un jour mon prince viendra... et il corrigera toutes mes fautes !