CHAPITRE 1 | rating T | AU Moulin Rouge ! | Sherlock créée par Steven Moffat et Mark Gatiss
Le scénario du film a été écrit par Baz Luhrmann
Christian est remplacé par John ! Quant aux autres personnages... vous verrez bien.
NOTE : Allez ! Je me lance dans une autre fic sur plusieurs chapitres. Basée sur Moulin Rouge ! de Baz Lurhmman, un film que j'affectionne beaucoup. J'hésitais entre du Johnlock et du Moriatson... je vous laisse la surprise. J'ai un peu peur de poster cette fic... J'ai pas un très bon style et les libertés scénaristiques sont très nombreuses... Je tenterai de ne pas vous décevoir.
Ce premier chapitre ne bouge pas trop, c'est un peu une introduction donc :)
Bonne lecture !
- Jerry
There was a boy
A very strange echanted boy.
They say he wandered very far, very far,
Over land and sea.
A little shy
And sad of eye,
But very wise, very wise was he...
Until one day,
One lucky day he passed my way,
And while we talked of many things
Fools and kings,
This he said to me:
"The greatest thing
You'll ever learn
Is just to love
And be loved
In return."
- Nat King Cole
1900
Un cabaret. Un bal populaire. Régenté par Mycroft Holmes.
Le royaume des plaisirs nocturnes. Là où les riches et puissants rencontraient les jeunes et belles créatures du bas-fonds.
La plus belle d'entre elles, était celle que j'aimais.
Le splendide diamant.
The man i loved is … dead.
1899
Je suis arrivé à paris un an auparavant. C'était l'été de l'amour, et je ne connaissais encore rien de Holmes et de son manoir des plaisirs.
Je venais tout droit de Londres. Écrivain, j'avais abandonné mes études de médecine, j'avais fuit mon service militaire pour trouver la paix, la liberté !
Je n'y pouvais rien, j'étais un rêveur. Un poète de pacotille qui voulais vivre pour l'amour, vivre pour la beauté. Vivre pour de bon.
Le monde, à cette époque, était le théâtre d'une révolution bohème. A peine avais-je entendu cela, que je m'enfuyais de ma sinistre Londres pour y prendre part. Je ne savais pas vraiment où j'allais, ni même pourquoi j'avais si envie d'y aller. J'étais fougueux et j'avais besoin d'être là.
J'arrivais en train à Paris, avec rien dans les poches. Une valise, cette machine à écrire qui m'était si chère, et toute la bonne volonté du monde. Cette ville, ville de l'amour, me semblait être la plus belle du monde. Les gens de tous horizon grouillait dans les rues, tout le monde parlait ce délicieux langage qu'était le français – que j'avais encore du mal à maîtriser.
Tout ce que j'avais pu entendre étant enfant sur cette ville, tout semblait si irréel, l'Angleterre ne me manquait même pas.
Je voyais autour de moi de jeunes gens, des étoiles dans leurs yeux, de l'amour dans l'air. tous semblaient épanouis, heureux.
Le ciel dégagé, les bâtiments si haut, les bonnes femmes qui criaient à leurs enfants, juste en bas, de remonter immédiatement. Tout à Paris me paraissait parfait. Oh je n'y resterai pas longtemps, peut-être avais-je eu tort d'être si enthousiaste? Mais Paris pour moi c'était signe de libération. C'était ici que je trouverais ce que je cherche.
Le village sur la colline, Montmartre, m'attendais. Mon père m'avait une fois parlé de cette endroit comme étant un village où règne le vice. Je n'arrivais pas à croire cette foutaise, je ne le ferai jamais. Il avait plus que tort.
La première fois que je passais l'imposante porte de Montmartre, j'avais la désagréable impression de me faire dévorer par la ville. Comme si tout ce que j'étais en dehors des frontières de ce lieu n'était ici désormais plus rien. Je n'étais plus moi, j'étais eux. Je ne faisais plus qu'un avec la foule de gens extravagants qui passaient, qui partaient, qui venaient, qui vivaient.
Je n'avais plus à exister, on le faisait à ma place, ailleurs. Ici dans ce lieu de perdition, on était plus qu'un parmi les autres. On perdait l'usage du temps, on divaguait dans la rue, on se perdait dans nos pensées. On péchait, on s'aimait, on perdait notre identité. Plus rien ne nous arrêtait, nous étions perdus et pourtant c'est ce que tout le monde cherchait.
Mais quand on était cette foule, quand on en faisait partie, on se distinguait. On était tous de la même famille de bâtard. Une portée de chiots mal-aimés dont personnes ne voulait. Tous un peu différents, mais tous réunis par le lieu.
Nous étions les enfants de la révolution.
j'étais englouti par le rassemblement, à admirer cette agglutinement, à voir un peintre par ci, un musicien par là. Le paradis sur terre. Ils étaient là, mes bohèmes.
J'avais quitté ma belle Londres, pour vivre une vie de misère, pour écrire la vérité ! Pour écrire sur la beauté ! La liberté ! Et par dessus tout … l'amour. Cette ridicule obsession qui m'habitait comme aurait dit le patère.
Il n'y avait qu'un problème : je n'avais jamais été amoureux.
Toute ces idées se mélangeaient dans ma tête, tout passait si vite, la nuit était déjà presque là, ma clef d'appartement dans la poche, déjà presque ruiné par cette journée.
(voilà... j'espère franchement que ça vous a plu. Personnellement je trouve ça un peu nul mais une amie m'a demandé de le poster. N'hésitez pas à poster une review, ça me ferait plaisir, histoire d'améliorer la fic! Merci d'avoir lu! Je posterai la suite d'ici pas longtemps...)
