Titre : le colocataire
Auteur : Chidori
E-mail : chidori.kuruma@caramail.com
Genre : ben euh. yaoi, POV de Duo
Couple : 1+2
Source : gundam wing
Disclamer : Bon, les persos ne m'appartiennent pas, je ne fais que les emprunter pour mon plaisir personnel. Voilà, sinon c'est ma première fic alors soyez indulgent.
CHAPITRE 1
La nuit, les voyous prennent le contrôle de la ville. Du coup, il n'y a plus un chat dans les rues. Personne n'est assez fou pour s'exposer au danger. Pourtant je suis là et j'erre dans ses rues désertes. Non, je ne suis pas taré et encore moins suicidaire mais je n'ai pas le choix. Ma copine m'a foutu à la porte. Notre dernière dispute a mis un terme à notre relation. Tu parles d'une relation, je ne l'ai jamais touché. Elle était jamais là et moi non plus. Je me demande ce qui m'a pris de rester avec elle. Peut-être parce que je n'avais nulle part où aller. Ouais, ben, maintenant c'est le cas. Bref, tout ça pour dire que je suis à la recherche d'un hôtel pour la nuit. Pour l'instant, ils sont tous complet. Je regarde autour de moi pour voir où je me trouve et m'aperçois que je suis à l'autre bout de la ville. J'ai même pas capté que j'avais fait autant de chemin. Je dois marcher depuis au moins deux heures pour être arrivé jusque là. Quand je pense que je n'ai encore fait aucune mauvaise rencontre, c'est bizarre. Et voilà, j'ai encore parlé trop vite. Je me sens tiré par ma tresse en arrière. Celui qui vient de faire ça est complètement inconscient.
"Et bien alors ma jolie ! On se ballade toute seule ? Tu voudrais peut-être un peu de compagnie ?"
"Non, merci ! Un pervers de votre espèce ne saurait tenir compagnie à une femme comme moi."
L'homme s'énerve et fait craquer ses poings. Il veut y aller par la force mais il n'a aucune chance. Il ne sait pas à qui il a affaire.
"Dis donc toi, je vais t'apprendre la politesse."
"C'est plutôt moi qui vais te l'apprendre !"
Je me retourne pour lui faire face et là, l'homme pâlit. Primo, il s'aperçoit que je suis un homme. Secundo, mon regard lui glace le sang. Tertio, ., ben, je sais pas vraiment. Bref, il réalise qu'il n'a aucune chance contre moi.
"Dé. Désolé, je m'en vais."
Il feint alors de s'en aller et je baisse ma garde comme un débutant, trop sûr de mon effet. Profitant de cette occasion, il me plante son couteau dans l'épaule puis m'entaille le ventre avec une rapidité étonnante. Je hurle de douleur et tombe, les genoux à terre. Puis, je le vois lever à nouveau sa main, prêt à m'assaillir de coups. C'est la fin. Je ferme les yeux et essaye de penser à quelque chose d'agréable dont j'aurai le souvenir en attendant le coup. qui ne vient pas. J'ouvre les yeux sur le corps inerte de mon agresseur, face contre terre, un flot de sang s'écoulant de sa poitrine. Je relève la tête afin de voir mon sauveur, mais il fait trop sombre et ma vision se troublant, j'ai du mal à le distinguer. En fait, je ne distingue plus rien.
*******************************
Une main familière sur mon front. J'ouvre difficilement les yeux à son contact.
"Hee-chan!"
*******************************
Lorsque je reprends conscience, je m'aperçois que je suis dans une chambre d'hôpital. Je déteste les hôpitaux. J'essaye de me souvenir de ce qui s'est passé. Ah oui, ça y est, j'y suis. J'ai rompu avec l'autre, je suis parti à la recherche d'un hôtel, je me suis fait fracassé par un connard et quelqu'un m'a sauvé. Je suppose qu'il m'a ramené ici. Maintenant que j'y pense, j'ai fait un drôle de rêve cette nuit. Une main réconfortante sur mon front, j'ai appelé cette personne mais je me souviens plus du prénom. Décidément, ma mémoire me joue toujours des tours. Ben vi, parce que, figurez-vous qu'après un accident de. Euh. C'était quoi déjà? Bon, bref après un accident, je suis devenu amnésique et la mémoire ne m'est toujours pas revenue. Tout ce que je sais su à mon réveil, c'était que je m'appelait Duo Maxwell, 20 ans, né un 22 novembre, inspecteur de police et que j'avais une petite amie du nom de San. Voilà, c'est tout ce que j'ai pu savoir. Pourtant, j'ai essayé d'en savoir plus en questionnant San mais elle arrivait toujours à détourner la conversation comme si elle me cachait quelque chose. Si seulement, je pouvais me souvenir de mon passé.
"Ah, vous êtes réveillez!"
Une charmante infirmière s'approche de moi.
"Vous avez reçu un sacré coup. Heureusement que votre ami vous a trouvé. Vous souvenez-vous de ce qui s'est passé? Ami? Qu'est-ce qu'elle raconte là?"
"Oui. Un voyou m'a agressé."
"Bien! Votre nom?"
"Duo Maxwell. "
"Age?"
"20 ans"
"Profession?"
"Inspecteur de police."
"Tout est correct!"
"Comment ça tout est correct?"
"Votre ami a rempli le dossier pour vous et je vérifiais si vous n'aviez pas une amnésie partielle."
"Excusez-moi, mais auriez-vous le nom de mon ami?"
"Mais, bien sûr. Heero Yui."
Tiens, c'est bizarre, ce nom me dit quelque chose. Je ne connais pourtant personne en dehors de San et de mes collègues de bureau.
"Pourriez-vous me le décrire?"
"Pas très grand, brun, cheveux en bataille, les yeux de couleurs. Mmmh. Comment bien définir cette couleur? Ils étaient d'un bleu si profond. Attendez, j'y suis, cobalt. Il est bien proportionné et musclé. "
Je vois. Ca doit être un beau gosse, elle bave rien qu'en le décrivant.
"Ah! J'allais oublier. Il était asiatique, je dirai japonais. Voilà, vous voyez qui c'est?"
Bon, je n'ai pas envie de mentir mais je n'ai pas envie de répondre non plus.
"Dites, quand est-ce que je pourrais sortir?"
"Pas avant un bon bout de temps. Pourquoi ? Dois-je prévenir quelqu'un?"
"Non!"
Elle s'apprête à sortir quand je la stoppe par une dernière question.
"Où sont mes affaires?"
Elle se tape la main sur son front et sort une enveloppe de sa poche.
"Suis-je bête ? J'allais oublier. Votre ami les a emporté et m'a laissé ceci pour vous. "
Elle me tend l'enveloppe dont je me saisis immédiatement. Une lettre de mon sauveur.
"Merci."
"Mais de rien. Si vous avez un problème, vous n'avez qu'à appuyer sur ce bouton et je viendrai immédiatement."
"Ok."
Je déchire l'enveloppe alors que l'infirmière me laisse seul. Je sors la lettre et lis :
Heero Yui
2, avenue Deathscythe hell[1]
Bon? Plus chaleureux comme mot on fait pas. Pas de « bonjour », pas de « au revoir », pas de « bon rétablissement ». Je me demande qui est ce type. Je suis sûr d'avoir déjà entendu ce nom quelque part, mais où ? Voyons. Heero Yui. Où est-je bien pu l'entendre ? Ah ! Rien à faire, j'arrive pas à me souvenir. De toute façon, je ne le saurai pas avant de sortir d'ici alors autant arrêter de me torturer l'esprit avec ça. Je pense que je vais avoir du mal à tenir en place durant les jours qui vont suivre.
À SUIVRE.
Ca y est j'ai réussi. J'ai enfin pu surmonter ma flemmardise et taper le premier chapitre de cette fic qui traîne sur un brouillon depuis juillet 2002. Ouais, j'ai encore la suite à taper, mais cette fois-ci, je suis bien partie. Bon dites moi ce que vous en pensez afin que je sache si je dois changer quelques trucs pour la suite ou stopper ma carrière en tant qu'auteur de fan-fic. Si il y a des similitudes avec une autre fic, faites le moi savoir. Je ne les lis pas toute donc on ne sait jamais. Merci d'avance.
[1] Bon, ok, je sais c'est nul mais j'ai pas trouvé mieux.
Auteur : Chidori
E-mail : chidori.kuruma@caramail.com
Genre : ben euh. yaoi, POV de Duo
Couple : 1+2
Source : gundam wing
Disclamer : Bon, les persos ne m'appartiennent pas, je ne fais que les emprunter pour mon plaisir personnel. Voilà, sinon c'est ma première fic alors soyez indulgent.
CHAPITRE 1
La nuit, les voyous prennent le contrôle de la ville. Du coup, il n'y a plus un chat dans les rues. Personne n'est assez fou pour s'exposer au danger. Pourtant je suis là et j'erre dans ses rues désertes. Non, je ne suis pas taré et encore moins suicidaire mais je n'ai pas le choix. Ma copine m'a foutu à la porte. Notre dernière dispute a mis un terme à notre relation. Tu parles d'une relation, je ne l'ai jamais touché. Elle était jamais là et moi non plus. Je me demande ce qui m'a pris de rester avec elle. Peut-être parce que je n'avais nulle part où aller. Ouais, ben, maintenant c'est le cas. Bref, tout ça pour dire que je suis à la recherche d'un hôtel pour la nuit. Pour l'instant, ils sont tous complet. Je regarde autour de moi pour voir où je me trouve et m'aperçois que je suis à l'autre bout de la ville. J'ai même pas capté que j'avais fait autant de chemin. Je dois marcher depuis au moins deux heures pour être arrivé jusque là. Quand je pense que je n'ai encore fait aucune mauvaise rencontre, c'est bizarre. Et voilà, j'ai encore parlé trop vite. Je me sens tiré par ma tresse en arrière. Celui qui vient de faire ça est complètement inconscient.
"Et bien alors ma jolie ! On se ballade toute seule ? Tu voudrais peut-être un peu de compagnie ?"
"Non, merci ! Un pervers de votre espèce ne saurait tenir compagnie à une femme comme moi."
L'homme s'énerve et fait craquer ses poings. Il veut y aller par la force mais il n'a aucune chance. Il ne sait pas à qui il a affaire.
"Dis donc toi, je vais t'apprendre la politesse."
"C'est plutôt moi qui vais te l'apprendre !"
Je me retourne pour lui faire face et là, l'homme pâlit. Primo, il s'aperçoit que je suis un homme. Secundo, mon regard lui glace le sang. Tertio, ., ben, je sais pas vraiment. Bref, il réalise qu'il n'a aucune chance contre moi.
"Dé. Désolé, je m'en vais."
Il feint alors de s'en aller et je baisse ma garde comme un débutant, trop sûr de mon effet. Profitant de cette occasion, il me plante son couteau dans l'épaule puis m'entaille le ventre avec une rapidité étonnante. Je hurle de douleur et tombe, les genoux à terre. Puis, je le vois lever à nouveau sa main, prêt à m'assaillir de coups. C'est la fin. Je ferme les yeux et essaye de penser à quelque chose d'agréable dont j'aurai le souvenir en attendant le coup. qui ne vient pas. J'ouvre les yeux sur le corps inerte de mon agresseur, face contre terre, un flot de sang s'écoulant de sa poitrine. Je relève la tête afin de voir mon sauveur, mais il fait trop sombre et ma vision se troublant, j'ai du mal à le distinguer. En fait, je ne distingue plus rien.
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Une main familière sur mon front. J'ouvre difficilement les yeux à son contact.
"Hee-chan!"
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Lorsque je reprends conscience, je m'aperçois que je suis dans une chambre d'hôpital. Je déteste les hôpitaux. J'essaye de me souvenir de ce qui s'est passé. Ah oui, ça y est, j'y suis. J'ai rompu avec l'autre, je suis parti à la recherche d'un hôtel, je me suis fait fracassé par un connard et quelqu'un m'a sauvé. Je suppose qu'il m'a ramené ici. Maintenant que j'y pense, j'ai fait un drôle de rêve cette nuit. Une main réconfortante sur mon front, j'ai appelé cette personne mais je me souviens plus du prénom. Décidément, ma mémoire me joue toujours des tours. Ben vi, parce que, figurez-vous qu'après un accident de. Euh. C'était quoi déjà? Bon, bref après un accident, je suis devenu amnésique et la mémoire ne m'est toujours pas revenue. Tout ce que je sais su à mon réveil, c'était que je m'appelait Duo Maxwell, 20 ans, né un 22 novembre, inspecteur de police et que j'avais une petite amie du nom de San. Voilà, c'est tout ce que j'ai pu savoir. Pourtant, j'ai essayé d'en savoir plus en questionnant San mais elle arrivait toujours à détourner la conversation comme si elle me cachait quelque chose. Si seulement, je pouvais me souvenir de mon passé.
"Ah, vous êtes réveillez!"
Une charmante infirmière s'approche de moi.
"Vous avez reçu un sacré coup. Heureusement que votre ami vous a trouvé. Vous souvenez-vous de ce qui s'est passé? Ami? Qu'est-ce qu'elle raconte là?"
"Oui. Un voyou m'a agressé."
"Bien! Votre nom?"
"Duo Maxwell. "
"Age?"
"20 ans"
"Profession?"
"Inspecteur de police."
"Tout est correct!"
"Comment ça tout est correct?"
"Votre ami a rempli le dossier pour vous et je vérifiais si vous n'aviez pas une amnésie partielle."
"Excusez-moi, mais auriez-vous le nom de mon ami?"
"Mais, bien sûr. Heero Yui."
Tiens, c'est bizarre, ce nom me dit quelque chose. Je ne connais pourtant personne en dehors de San et de mes collègues de bureau.
"Pourriez-vous me le décrire?"
"Pas très grand, brun, cheveux en bataille, les yeux de couleurs. Mmmh. Comment bien définir cette couleur? Ils étaient d'un bleu si profond. Attendez, j'y suis, cobalt. Il est bien proportionné et musclé. "
Je vois. Ca doit être un beau gosse, elle bave rien qu'en le décrivant.
"Ah! J'allais oublier. Il était asiatique, je dirai japonais. Voilà, vous voyez qui c'est?"
Bon, je n'ai pas envie de mentir mais je n'ai pas envie de répondre non plus.
"Dites, quand est-ce que je pourrais sortir?"
"Pas avant un bon bout de temps. Pourquoi ? Dois-je prévenir quelqu'un?"
"Non!"
Elle s'apprête à sortir quand je la stoppe par une dernière question.
"Où sont mes affaires?"
Elle se tape la main sur son front et sort une enveloppe de sa poche.
"Suis-je bête ? J'allais oublier. Votre ami les a emporté et m'a laissé ceci pour vous. "
Elle me tend l'enveloppe dont je me saisis immédiatement. Une lettre de mon sauveur.
"Merci."
"Mais de rien. Si vous avez un problème, vous n'avez qu'à appuyer sur ce bouton et je viendrai immédiatement."
"Ok."
Je déchire l'enveloppe alors que l'infirmière me laisse seul. Je sors la lettre et lis :
Heero Yui
2, avenue Deathscythe hell[1]
Bon? Plus chaleureux comme mot on fait pas. Pas de « bonjour », pas de « au revoir », pas de « bon rétablissement ». Je me demande qui est ce type. Je suis sûr d'avoir déjà entendu ce nom quelque part, mais où ? Voyons. Heero Yui. Où est-je bien pu l'entendre ? Ah ! Rien à faire, j'arrive pas à me souvenir. De toute façon, je ne le saurai pas avant de sortir d'ici alors autant arrêter de me torturer l'esprit avec ça. Je pense que je vais avoir du mal à tenir en place durant les jours qui vont suivre.
À SUIVRE.
Ca y est j'ai réussi. J'ai enfin pu surmonter ma flemmardise et taper le premier chapitre de cette fic qui traîne sur un brouillon depuis juillet 2002. Ouais, j'ai encore la suite à taper, mais cette fois-ci, je suis bien partie. Bon dites moi ce que vous en pensez afin que je sache si je dois changer quelques trucs pour la suite ou stopper ma carrière en tant qu'auteur de fan-fic. Si il y a des similitudes avec une autre fic, faites le moi savoir. Je ne les lis pas toute donc on ne sait jamais. Merci d'avance.
[1] Bon, ok, je sais c'est nul mais j'ai pas trouvé mieux.
