Donc, voilà, vous avez sous les yeux ma toute première fic jamais écrite.
Reviewez moi si vous l'aimez, je mettrais les autres chapitres. Oh, et je
répondrais au reviews dans les prochains chapitre aussi. Love Ginny/Harry.
Place maintenant à la lecture.(si vous voulez m'écrire :
dragonia.lucilius@caramail.com).
Cendrillon
Des années. Cela faisait maintenant sept ans qu'elle le connaissait. Des années de rêve sur fond couleur tomate, la couleur qu'elle prenait chaque fois qu'il lui souriait, qu'il lui parlait, qu'il la regardait. Elle avait fini ses études au collège Poudlard et était incroyablement douée avec les créatures magiques. Elle voulait devenir vétérinaire et soigner les goules, les hippogriffes et les farfadets.
Dans le Poudlard Express, Ginny songeait avec tristesse à toutes ces belles années passées au château, toutes ses conversations avec les professeurs et les fantômes. les six années passées à l'espionner, ce garçon qui aurait pu faire d'elle la plus heureuse fille sur Terre. Elle venait de finir sa scolarité, Lui avait déjà obtenu un poste au Ministère au Département des Enquêtes Magiques, Section Défense contre les Forces du Mal. Avec son nom, il n'aurait pas pu trouver meilleur poste que celui-là.
Ginny soupira, essayant de renflouer ses larmes. Toutes ces magnifiques années étaient à présent derrière elle. Mais ce qu'elle regrettait par- dessus tout, c'était d'avoir, comme une idiote, attendu que Lui l'aime et de ne rien lui révéler de ses sentiments. Elle plongea son regard brun et triste dans les montagnes qui défilaient à travers la fenêtre de son compartiment. Sur la banquette, à côté d'elle, se trouvait son petit ami, Colin Crivey.
Colin avait beaucoup changé depuis leur première année au collège. Lui qui, autrefois, était petit, maigrelet et parlait d'une voix aiguë, était à présent un séduisant jeune homme, il avait de magnifiques cheveux d'or, de grands yeux bleus où brillait toujours cette lueur de curiosité. Autrefois, il était toujours stressé, ne pouvant pas tenir en place, et parlant tout le temps de Lui. « Harry a dit ceci.. Harry a fait cela. » mais maintenant, il s'était calmé, parlant toujours avec raison et patient avec tout et tout le monde. Il caressa le bras de Ginny puis, de sa voix grave et douce, il lui demanda :
« Ginny, ça ne va pas ? »
Ginny sursauta légèrement. Son regard était tellement plongé dans le paysage qu'elle avait oublié où elle était. Elle sourit, tristement, et répondit sans tourner la tête.
« Si, si, ça va très bien. C'est juste que..
Tu es triste de quitter Poudlard, c'est ça ? devina Colin.
C'est ça, en quelque sorte.
Ne t'inquiète pas, la rassura Colin. Je crois que c'est la même chose pour tous les septième année. tu vois, moi, j'y laisse aussi mon enfance, et. OH NON ! ! !
Quoi ? demanda Ginny en regardant Colin.
Ce dernier s'était plaqué une main sur le visage.
Qu'est-ce qu'il y a ? s'inquiéta Ginny. Tu es malade ? Ca ne va pas ?
Colin se leva, attrapa sa malle dans le porte-bagages, la fit tomber au sol, l'ouvrit et fouilla tellement fort que tout son contenu se retrouva par terre.
Non. Je viens de me rappeler. Oh non, tout mais pas ça.
QUOI ? ? ? s'écria Ginny, de plus en plus inquiète.
Je viens de me rappeler. mes photos !
Tes photos ? demanda Ginny, beaucoup moins apeurée.
Mes photos de Harry que j'ai mises dans l'album rouge, tu te souviens ? Les photos que j'ai prises de lui depuis notre entrée à Poudlard ? Elles ne sont pas dans la valise ! Oh non, je crois qu'elles sont toujours dans la salle commune !
Ginny se replongea dans la contemplation du paysage, encore plus boudeuse qu'au départ du train. Colin s'inquiétait plus de l'état de ses photos que de celui de sa copine . Il était toujours comme ça. Ginny ne le supporterait pas plus longtemps. Et une heure plus tard, elle péta les plombs.
Cendrillon
Des années. Cela faisait maintenant sept ans qu'elle le connaissait. Des années de rêve sur fond couleur tomate, la couleur qu'elle prenait chaque fois qu'il lui souriait, qu'il lui parlait, qu'il la regardait. Elle avait fini ses études au collège Poudlard et était incroyablement douée avec les créatures magiques. Elle voulait devenir vétérinaire et soigner les goules, les hippogriffes et les farfadets.
Dans le Poudlard Express, Ginny songeait avec tristesse à toutes ces belles années passées au château, toutes ses conversations avec les professeurs et les fantômes. les six années passées à l'espionner, ce garçon qui aurait pu faire d'elle la plus heureuse fille sur Terre. Elle venait de finir sa scolarité, Lui avait déjà obtenu un poste au Ministère au Département des Enquêtes Magiques, Section Défense contre les Forces du Mal. Avec son nom, il n'aurait pas pu trouver meilleur poste que celui-là.
Ginny soupira, essayant de renflouer ses larmes. Toutes ces magnifiques années étaient à présent derrière elle. Mais ce qu'elle regrettait par- dessus tout, c'était d'avoir, comme une idiote, attendu que Lui l'aime et de ne rien lui révéler de ses sentiments. Elle plongea son regard brun et triste dans les montagnes qui défilaient à travers la fenêtre de son compartiment. Sur la banquette, à côté d'elle, se trouvait son petit ami, Colin Crivey.
Colin avait beaucoup changé depuis leur première année au collège. Lui qui, autrefois, était petit, maigrelet et parlait d'une voix aiguë, était à présent un séduisant jeune homme, il avait de magnifiques cheveux d'or, de grands yeux bleus où brillait toujours cette lueur de curiosité. Autrefois, il était toujours stressé, ne pouvant pas tenir en place, et parlant tout le temps de Lui. « Harry a dit ceci.. Harry a fait cela. » mais maintenant, il s'était calmé, parlant toujours avec raison et patient avec tout et tout le monde. Il caressa le bras de Ginny puis, de sa voix grave et douce, il lui demanda :
« Ginny, ça ne va pas ? »
Ginny sursauta légèrement. Son regard était tellement plongé dans le paysage qu'elle avait oublié où elle était. Elle sourit, tristement, et répondit sans tourner la tête.
« Si, si, ça va très bien. C'est juste que..
Tu es triste de quitter Poudlard, c'est ça ? devina Colin.
C'est ça, en quelque sorte.
Ne t'inquiète pas, la rassura Colin. Je crois que c'est la même chose pour tous les septième année. tu vois, moi, j'y laisse aussi mon enfance, et. OH NON ! ! !
Quoi ? demanda Ginny en regardant Colin.
Ce dernier s'était plaqué une main sur le visage.
Qu'est-ce qu'il y a ? s'inquiéta Ginny. Tu es malade ? Ca ne va pas ?
Colin se leva, attrapa sa malle dans le porte-bagages, la fit tomber au sol, l'ouvrit et fouilla tellement fort que tout son contenu se retrouva par terre.
Non. Je viens de me rappeler. Oh non, tout mais pas ça.
QUOI ? ? ? s'écria Ginny, de plus en plus inquiète.
Je viens de me rappeler. mes photos !
Tes photos ? demanda Ginny, beaucoup moins apeurée.
Mes photos de Harry que j'ai mises dans l'album rouge, tu te souviens ? Les photos que j'ai prises de lui depuis notre entrée à Poudlard ? Elles ne sont pas dans la valise ! Oh non, je crois qu'elles sont toujours dans la salle commune !
Ginny se replongea dans la contemplation du paysage, encore plus boudeuse qu'au départ du train. Colin s'inquiétait plus de l'état de ses photos que de celui de sa copine . Il était toujours comme ça. Ginny ne le supporterait pas plus longtemps. Et une heure plus tard, elle péta les plombs.