Salutations cher lecteur ou lectrice. Toi non plus tu ne dors donc pas ? Paraît qu'un orgasme règle le problème, mais bon, après, moi je dis ça je dis rien. Alors bien sûr, si tu lis ça en journée, ça ne s'adresse pas à toi, encore que, qui suis-je pour te dire de ne pas t'adonner aux joies des plaisirs solitaires. Va... Fais donc...
Ouais alors je disais, coucou. Ce chapitre, tel que tu le vois - on se tutoie si ça te dérange pas - fait partie d'un très long document censé être le début d'un OS, m'enfin quand j'en suis à vingt pages et que je considère ne pas avoir atteint ne serait-ce que le huitième de l'histoire totale, je considère qu'on est plus vraiment sur de l'OS, mais plus sur de la fiction, rien de plus, rien de moins. Dans tous les cas, ces vingt pages dorment depuis quatre ans sur mon PC, donc j'ai remasterisé un peu le tout pour te le faire partager, l'idée étant qu'en te le partageant à toi et à tous tes petits camarades lecteurs, j'aurais peut-être la foi de continuer.
D'ailleurs, je vais sûrement publier dans les prochains jours un paquet de ces documents remasterisés qui dorment sur mon PC, juste pour voir si ça vaut quelque chose. Donc maintenant plus que jamais, si tu pouvais me faire part de tes retours, même si ça tient en deux mots, et aller voir ce que j'ai pu publier d'autre sur mon profil (sauf si tu lis ce chapitre alors qu'il vient tout juste de sortir, auquel cas il est fort probable qu'il n'y ait rien d'autre que ça sur mon profil). N'hésite pas non plus à m'envoyer des MP, on pourra devenir potes et avoir de longues conversations à propos de comment la masturbation aide à dormir. Et si tu te considères naze en grammaire/conjugaison/orthographe, n'hésite pas à quand même venir vers moi pour être beta, parce que même si je laisse passer un certain nombre de fautes, ce dont j'ai besoin en priorité, c'est de motivation et de retours globaux sur ce que j'écris.
Cette fiction est un léger UA façon huitième année à Poudlard parce qu'il y avait la guerre, et que la guerre, forcément ça complique les choses quand on veut passer son petit bac L des familles/aspic, et puis Dumby est pas mort, et puis plein d'autres trucs que mon petit coeur d'ado ne supportait pas à l'époque. Mais vu que c'est remasterisé, je vous jure que j'ai drainé la niaiserie rien que pour vous.
Of course Harry Potter appartient à JKR.
Enjoy !
Prologue
–… envoie le souafle à Dean Thomas mais... Non ! Il est intercepté par Blaise Zabini qui fonce droit vers les anneaux. Jolie esquive du cognard envoyé par Jimmy Peakes... il continue tout droit...
Tous les élèves présents dans le stade avaient les yeux rivés sur l'action. Du jaune et du bleu, du rouge et du vert en grandes quantités. Gryffondor contre Serpentard, ou le grand derby de l'année. Aux postes d'attrapeurs, Harry Potter face à Draco Malfoy. Aux postes de poursuiveurs centraux, Ginny Weasley face à Blaise Zabini. C'était le choc des titans. Le match qu'il ne fallait pas louper. Un match qui opposait quelques uns des plus grands prodiges du quidditch qu'ait connu Poudlard, un fait amplement confirmé par le nombre important de recruteurs présents dans le stade.
–… et il semblerait que ce soit maintenant les Weasley contre Zabini, puisque Ginny Weasley arrive à hauteur de Zabini, et lui décoche un coup d'épaule qui en aurait fait tomber plus d'un...
Les yeux de tous les spectateurs étaient maintenant posés sur les deux poursuiveurs qui se martyrisaient depuis le début de la partie commencée trois heures auparavant. Le combat des deux meilleurs poursuiveurs de Pourdlard. Ça n'était un secret pour personne que de nombreux clubs de quidditch se battaient pour les intégrer dans leurs équipes, comme ils se battaient pour Harry. Les liens très forts entre la famille Malfoy et le Lord Noir avait fait que malgré son talent indéniable et son changement de position pendant la guerre, aucun club n'osait approcher Draco.
Mais Blaise Zabini et Ginny Weasley étaient à n'en pas douter les nouvelles coqueluches du quidditch national, deux des nouveaux visages de la nouvelle génération de ce sport, les anciennes ayant été largement décimées durant la guerre. Et ce qui différenciait un Zabini ou une Weasley d'un Potter, c'était leur envie voire même leur besoin de faire partie de ce monde. En outre, Zabini et Weasley passaient leur temps à se battre, à prouver qu'ils valaient mieux que l'autre. Pas par peur qu'ils se volent l'un l'autre leurs places dans un quelconque club, puisque des places dans les plus grands clubs de quidditch leurs étaient dorénavant assurées. Non, plutôt par peur de se faire voler une autre place, convoitée par tout joueur de quidditch ayant un minimum d'ambition. Une place dans l'équipe nationale anglaise de quidditch. Une place d'autant plus importante pour eux que la coupe du monde de quidditch approchait à grands pas.
–Putain mais tu vas me lâcher un jour, Weasley ?! hurla Zabini pour être entendu par dessus le vent, malgré leur vitesse.
–Pas tant que t'auras pas lâché ce souafle !
Ginny vit un léger sourire naître sur le visage de Zabini, et elle comprit qu'elle aurait peut-être dû écouter Lee Jordan aux commentaires pour savoir ce que lui avait préparé Zabini.
–… droit sur Zabini... mais... OH NON ! Il a dévié au dernier moment, c'est Ginny Weasley qui se prend le cognard envoyé pourtant avec brio sur Zabini par Ritchie Coote ! Ronald Weasley est le dernier rempart à Blaise Zabini. Zabini fonce tout droit, alors que Ginny Weasley, déséquilibrée par le coup, se pend maintenant sous son balais après avoir presque chuté. Weasley se prépare, Zabini lance, et... NOOOOON ! Weasley était à trois centimètres de l'attraper, mais Serpentard marque les points. 170 à 110 pour Serpentard. ALLEZ LES GRYFFONDORS !
Trop déçus ou trop joyeux, personne ne remarqua que l'habituel narcissique et arrogant Blaise Zabini était cette fois resté immobile et silencieux, les yeux rivés sur Malfoy qui volait un peu plus haut, comme s'il était inquiet. Personne à part Ginny, pour qui le vent et la chute de sa baguette un quart d'heure plus tôt rendaient la tâche de remonter sur son balai bien difficile sans que personne n'ait semblé vouloir l'aider. Quand Zabini reporta ses yeux sur le terrain, la première chose qu'il vit fut une petite rouquine se débattant pour essayer de remonter sur son balai. Cette fois, un grand sourire moqueur naquit sur son visage, tandis que le faciès de Ginny était partagé entre le mépris et la supplication. Il rit franchement, et dans son envie de se faire désirer, se déplaça vers elle le plus lentement possible, alors que le jeu allait bientôt reprendre. Arrivé à sa hauteur, il passa son bras autour de sa taille assez longtemps pour qu'elle puisse chevaucher son propre balai.
Sitôt ce geste fait, l'ambiance dans le stade changea du tout au tout. Les gryffondors, poufsouffles et serdaigles qui sifflaient jusqu'à présent l'avance des serpentards se turent devant le geste fair-play de Zabini, là où les Serpentards se mirent à siffler. Zabini leva son majeur à son propre public en réponse, indignant l'ensemble de sa maison.
–Tu me revaudras ça, Weasley, lui dit-il en repartant au centre du terrain, sourire suffisant plaqué sur le visage, alors que le souafle venait d'être remis en jeu.
–Dans tes rêves ! hurla-t-elle en le dépassant et en interceptant le souafle juste à côté de lui.
–… interception de Ginny Weasley, qui ne semble pas vouloir faire de cadeau à Blaise Zabini malgré son aide. Ooooh ! Regardez ça ! Elle fonce tout droit vers les buts de Serpentard, alors que Zabini s'est planté pile dans sa lignée, et fonce droit sur elle ! Qui des deux déviera ?! Aucun des deux ne veut faire de cadeau à l'autre. Les cognards foncent à toute vitesse, mais les batteurs des deux côtés les renvoient, laissant tout le loisir à Weasley et Zabini de continuer leur petit duel sans être dérangés... Ils s'approchent de plus en plus... Il faut qu'ils s'écartent... Écartez-vous ! ECARTEZ-VOUS BORDEL DE MERDE, VOUS ALLEZ VOUS TUER ! »
Quatre mètres avant l'impact. Trois mètres. Deux. Un.
C'est Zabini qui dévia violemment, se retrouvant pas la même occasion complètement déséquilibré. Comme l'avait été Ginny quelques minutes auparavant, il se retrouva pendu sous son balai, mais une simple traction lui permit d'y remonter. C'est la clameur de joie de trois maisons qui lui permit de comprendre que Ginny Weasley venait de marquer dix points.
–… magnifique but de Ginny Weasley ! J'ai réellement cru qu'ils allaient se tuer, mais maintenant, on sait au moins que les Serpents ne sont pas suicidaires ! Mais que ?! Harry Potter et Draco Malfoy foncent en chandelle vers le ciel au même instant ! Ils ont tous les deux repéré le vif d'or, reste maintenant à savoir qui sera le plus rapide... Et c'est l'envol des cognards vers le ciel ! Plus aucune trace de Potter et Malfoy là-haut, ils doivent être sacrément haut...
Cette fois encore, il n'y eut que Ginny pour voir le regard inquiet que jeta Zabini au ciel à cet instant précis, alors que Dean Thomas et Adrian Pucey étaient en train de se battre pour le souafle au milieu du terrain. Ginny prit le relais quand Dean se prit un méchant cognard dans la figure. Cormac McLaggen la rejoignit quelques secondes plus tard, et ils se plaquèrent de chaque côté de Pucey pour qu'il finisse par lâcher le souafle.
–… pressing de Weasley et McLaggen, tandis que ni Potter, ni Malfoy ne semblent redescendre...
Pucey finit par lâcher le souafle, mais Ginny faillit hurler quand elle vit que Blaise Zabini était juste en dessous, près à le réceptionner, ce qu'il fit, avant de foncer tout droit vers les buts des gryffondors. Weasley et McLaggen derrière, il ne restait plus qu'un ou deux cognards et Thomas pour l'arrêter, sans compter l'autre Weasley. Du gâteau.
–Potter redescend en piqué ! Malfoy ne suit pas... Où est Malfoy ? Potter tourne et frôle les gradins, mais toujours pas de Malfoy en vue, à croire qu'il est resté là-haut ! Zabini continue de slalomer, mais ça ne servira bientôt plus à rien si Malfoy ne se montre pas pour entrer dans la course au vif d'or... Zabini est au milieu du terrain, et ouh ! Il évite de justesse un cognard très bien envoyé par Peakes. Weasley et McLaggen en profitent pour remonter à sa hauteur...
Blaise continuait de foncer comme si sa vie en dépendait, avant d'entendre une phrase, une seule phrase que Lee Jordan se mit à hurler.
–Qu'est-ce que... Est-ce que... C'est Malfoy... Malfoy tombe. MALFOY EST EN TRAIN DE TOMBER, MALFOY TOMBE, MAIS RATTRAPEZ-LE, BORDEL !
Tout vrilla dans la tête de Blaise. Il lui avait pourtant dit, à Malfoy, de ne pas jouer. Il lui avait dit... Mais Malfoy n'écoutait que lui-même.
Il y avait trois cents mètres entre Malfoy et le sol. Trois cents mètres. Il était bien plus haut que les autres joueurs. Trois cents mètres. De là où les autres étaient, il n'était qu'un point qui tombait à une vitesse fulgurante. Là où ils étaient montés, Potter et Malfoy, on ne les avait même plus vus. Merlin seul savait à quelle vitesse il était en train de tomber, et depuis quand il tombait, mais sa chute serait mortelle, et aucun sorcier ne serait assez précis pour pouvoir l'arrêter à l'aide d'un sort.
Tout le monde s'arrêta de jouer. Les gardiens, les poursuiveurs, les batteurs. Ils s'arrêtèrent. Harry Potter aussi s'arrêta. Le silence dans le stade était palpable. Quelques voix hurlaient de ça de là. Certaines personnes s'étaient levées. Hermione Granger faisait partie de celles-là, comme si se lever avait la vertu de rendre une chute moins rapide, moins douloureuse. Moins mortelle.
Quelques sorts fusèrent, incapables d'atteindre leur cible. Certains tentèrent d'ensorceler le sol pour que la chute soit sans risque, mais le terrain était protégé de telle sorte qu'aucune magie ne pouvait le modifier, et que rien ne pouvait être créé en son sein.
La robe de sorcier de Draco l'enveloppait complètement tandis qu'il fendait l'air, inconscient. De loin, telle que sa robe volait, il ressemblait à une larme.
–Rattrapez-le... murmura Lee Jordan en désespoir de cause dans son micro, comme si personne ne l'entendait à cet instant précis.
Personne n'aimait Draco Malfoy. Mais personne n'avait jamais voulu le voir mourir. Personne. Et surtout pas comme ça. Pas là. Pas en plein match de quidditch. Parce que ce serait affreux de voir ça, puis d'être dégoûté d'un sport qu'on a toujours aimé parce qu'un type qu'on a jamais aimé est mort en y jouant. Un type doué. Vraiment doué. Parce que Draco Malfoy était doué. Draco Malfoy savait voler. Il savait tomber, rattraper son balai. Alors à cet instant précis, tout le monde avait deux certitudes. Draco Malfoy allait mourir, et ce n'était pas sa faute.
Au milieu de ce stade immobile, il n'y eut plus qu'une personne à bouger. Blaise Zabini avait recommencer à réfléchir. Il lâcha le souafle et entama de faire le tour du stade plus vite qu'il ne l'avait fait pour prendre de la vitesse, le tout en perdant de l'altitude. Il avait atteint une telle vitesse que quand il fila en ligne droite pour rattraper Malfoy qui n'était plus qu'à une vingtaine de mètres du sol, plus personne n'aurait su dire qui il était s'il ne l'avait pas vu faire le tour du stade avant ça. Il n'était plus qu'un trait flou, vert et argent. Il n'était plus qu'une flèche qui n'avait pas le droit de louper sa cible.
L'impact fut d'une violence hors du commun. Le bruit sourd qui en découla était composé du choc entre leurs deux corps, des os s'entrechoquant, le cri étouffé de Zabini ceinturant Malfoy et sentant plusieurs de ses os se briser sous la vitesse et l'impact. Il avait lâché son balai. Il savait déjà bien avant que faire ça serait dangereux pour lui. Mal maîtrisé, il savait aussi que faire ça aurait pu lui coûter sa propre vie en plus de celle de son meilleur ami. Il le savait, mais il l'avait fait. Et c'était trop tard pour tout recommencer, maintenant. Trop tard pour essayer de le rattraper d'une autre manière. Trop tard pour empêcher Malfoy de jouer. Trop tard pour le forcer à aller à l'infirmerie. Peut-être que si une douleur lancinante ne l'avait pas pris dans tous ses membres, il aurait été empli de remords. Parce qu'il avait vu l'état de Malfoy ces derniers temps. Il l'avait vu, mais il n'avait rien fait.
Le deuxième impact se fit quand, propulsé par la vitesse, Blaise fit rempart à Draco, et sentit son dos et sa tête heurter bien trop violemment le mur en bois qui bordait les gradins.
Le dernier, enfin, quand ils touchèrent le sol, ou plutôt quand ils s'y écrasèrent.
Les seules personnes qui bougèrent alors furent les professeurs courant dans les gradins pour aller aider les deux victimes. Dans les tribunes, tout le monde s'était levé, mais personne n'osait parler. Il y eut tout de même Lee Jordan, pour dire tout haut ce que tout le monde était trop figé pour prononcer.
–Bordel de merde...
La première joueuse à se précipiter sur eux fut Ginny Weasley. Quand elle toucha terre, elle se mit à courir à toute vitesse vers les deux Serpentards. Le premier qu'elle put atteindre fut Malfoy. Du sang s'écoulait de sa bouche, mais également de son nez, de ses yeux et même de ses oreilles sans qu'elle ne puisse rien y faire, et ses yeux étaient ouverts, mais désespérément vides. Elle fit ce que son père lui avait enseigné. Elle plaça, à la manière des moldus, son index et son majeur à la base de son cou, et elle se pétrifia quand elle ne trouva aucun pouls. Elle voulut crier à l'aide, mais aucun mot ne passa la barrière de ses lèvres. Elle se précipita alors sur la seconde victime, Zabini. Elle passa une main sous sa tête, et pria Merlin pour qu'il se réveille, ce qu'il fit après quelques secondes.
Il attrapa la main libre de Ginny et la serra de toutes ses forces, avant de se mettre à hurler de douleur, sentant chacun de ses os brisés se réveiller. Elle tenta de le réconforter, de lui dire que tout allait bien, que tout allait s'arranger, mais elle-même n'y croyait pas vraiment. Elle crut rêver quand elle vit des larmes envahir les yeux de Zabini. Elle crut rêver une seconde fois quand elle vit la seconde main de son rival s'approcher de son visage et se poser sur sa joue, puis quand elle entendit la voix soudainement presque enfantine de Zabini, aussi faible qu'un murmure.
–Est-ce que je suis mort ?
Elle voulait lui dire que non, bien sûr que non, mais il avait déjà fermé les yeux, la douleur prenant le pas sur sa conscience. Sa main était retombée au sol, inerte. Elle lâcha la tête du poursuiveur, mais sur sa propre peau pâle, elle vit tellement de sang qu'elle eut la soudaine impression de n'en avoir jamais vu autant. Alors, en désespoir de cause, elle se mit à hurler. A hurler qu'on vienne les aider. A hurler que Malfoy était mort. A hurler encore qu'il fallait venir, vite. A hurler que s'ils ne venaient pas, alors Zabini crèverait aussi.
Ouais j'avoue, j'ai eu la flemme de me relire juste avant la publication, parce que je l'avais déjà relu plein de fois avant et que du coup j'en pouvais plus, mais c'est toujours juste avant publication que je vois les fautes que je voyais pas sur mon traitement de texte, alors y a sûrement quelques coquilles, sorry.
Il va se passer plein de trucs de fou au prochain chapitre, genre avec des extraterrestres, et des vaisseaux extraterrestres, et des failles spatio-temporelles extraterrestres, même à un moment, les extraterrestres croisent des extraterrestres et flippent leur mère, alors si j'étais toi, je mettrais cette fiction dans mes favs, mais c'est en toute objectivité hein, pas du tout parce que c'est ma fiction et que je suis une grosse forceuse en ce qui concerne la pub. D'ailleurs, en toute objectivité, si j'étais toi, je laisserais un pavé de trois cents lignes en review.
Trêve de plaisanterie, merci beaucoup d'avoir lu, bonne continuation, dis bonjour à ta grand-mère de ma part !
Et comme le dit si bien Tyler, the Creator : J'aime la laitue, hmmm.
