Titre: Qu'un simple pari
Couple: Yuki/Shuichi
Disclamer: C'est personnages ne m'appartiennent pas.
Note: C'est ma première fics, alors dites moi vos commentaires.
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Qu'un simple pari?
Cela faisait déjà une semaine qu'il était partit et IL n'était toujours pas venu le chercher.
«Cette fois, se dit le chanteur, c'est sa faute. Qu'il vienne!»
Il devait pourtant arrêter de se voiler la face, il savait qu'il ne viendrait pas. Pourquoi Yuki Eiri, célèbre écrivain, viendrais le chercher, lui un chanteur pleurnichard et collant? Il l'aimait et il croyait que lui aussi, sinon pourquoi l'avoir gardé aussi longtemps auprès de lui? Il espérait quand même qu'il vienne et avoir ainsi une preuve qu'il représentait quelque chose pour l'écrivain, qu'il n'était pas juste un poids mort. Pire encore, un simple jouet pour satisfaire sa libido… C'est déprimé et en retenant ses larmes qu'il sortit de la douche. Il s'habilla et s'enferma de nouveau dans sa chambre.
La petite sœur de Shuichi, Maiko, s'inquiétait énormément pour son frère. Le Shuichi qu'elle connaissait, une petite boule rose et dynamique, n'était plus. Elle connaissait la raison de sa tristesse et c'est déterminé qu'elle voulu se rendre à l'appartement de Yuki. Elle ne put tout de fois allée plus loin que l'entrée, car quelqu'un cogna à la porte. C'était Yuki! Il était finalement venu. Elle le fit entrer et enleva le manteau qu'elle venait de mettre.
- Shuichi est là? Demanda l'écrivain.
- Oui, dans sa chambre.
- …
- Es-ce que je peux savoir ce qui vous a décidé à venir? Demanda Maiko.
- Disons que c'est un genre de pari.
Sur ces mots, il monta à l'étage, laissant une Maiko perplexe.
Après être entré dans sa chambre, Shuichi c'était effondré sur son lit en larmes.
- Je suis si naïf! Il ne viendra pas.
À ces mots, ces pleures redoublèrent d'intensité.
- Qu'est-ce que j'aie à lui offrir, je ne suis qu'un boulet pour lui. Juste un stupide gamin pleurnichard et collant. Dit-il entre deux sanglots.
- C'est bien vrai.
«Cette voix, c'est… pensa Shuichi en se relevant.»
- Yu-yuki?!
- Non, c'est la fée clochette, Dit-il exaspérer.
- C'est pas drôle, dit Shuichi en s'essuyant les yeux et en essayant de prendre une voix normale.
- …
Le jeune chanteur était maintenant assis sur le lit et essayait d'enlever les traces laissées par les larmes qu'il avait laissé couler. Instinctivement, il prit un air de chien battu et s'entendit au pire.
- Pourquoi t'es venu ici?
- Baka.
- Réponds, s'il te plaît.
Shuichi savait que son amant n'était pas très doué pour exprimer ses sentiments, mais il pouvait bien le faire une fois pour lui, pour le rassurer.
-S'il te plaît, retenta Shuichi avec une voix suppliante.
Yuki savait qu'il devait lui dire. Il sentait la peur de son amant, il devait le rassurer. Il regarda Shuichi. Il avait les yeux rouges et l'éclat de ses yeux était terne. Il l'avait profondément blessé.
«Je suis encore la raison de ces larmes.»À ces mots, le cœur de l'écrivain se sera dans sa poitrine. «C'est pourtant différent cette fois, je suis allé trop loin. Je ne veux pas le perdre! Pas lui.»
- Shu-chan, commença l'écrivain.
Les yeux de l'interpellé s'instillait d'espoir.
- Je voudrais que tu reviennes à la maison, laissa-t-il tomber.
C'était tout ce qu'il voulait entendre et fut extrêmement heureux. On ne pu entendre qu'un Yuuukiiiiiiiiiiiiiiiiiiii!!! sonore et un BANG!, signe que le chanteur y avait été un peu fort.
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