Univers : One Piece
Auteur : Drawinshe
Rating : K~T (très sûrement M à venir !)
Disclaimer : Les personnages ne m'appartiennent paaaas merci Oda!
Note de l'auteur : Salut la populace! Ça fait longtemps hein? Je sais je sais, j'ai encore une histoire en standby mais j'ai pas d'inspiii! D: Mais vous inquiétez pas que j'oublie pas hein! Bon, alors voici un début d'histoire que j'viens d'écrire à l'arrache juste là tout de suite, j'suis déf donc j'vous promets rien, et aussi j'ai pas relu parce que la flemme me possède. C'est juste un coup comme ça, que j'aimerais bien continuer en fait! Mais dîtes-moi si ça vous intéresse ou quoi, ou si y a des problèmes avec mon écriture qwq allez, bonne lecture!
Chapitre 1
Lorsqu'il se réveilla, ce fut à cause d'une sensation glaciale et peu confortable, au niveau de ses poignets. Il entrouvrit les yeux, et heureusement pour ceux-ci la pièce était plongée dans la pénombre. Une fois bien conscient, il chercha quelques repères autour de lui, mais ses trouvailles se limitèrent à un sol froid et dur sur lequel il était assis, et ses mains et pieds enchaînés. Alors qu'il essayait de retrouver ses souvenirs, un bruit métallique attira son attention. Il était pourtant sûr de ne pas avoir bougé, il en déduit donc facilement qu'il n'était pas seul dans la pièce. Seule question dans son esprit désormais: qui était l'autre personne ? Était-ce un ami, un ennemi, un parfait inconnu ?
« C'est quoi ce bordel ? entendit-il, non-loin de lui. »
Légèrement confus, il réussit à comprendre que cette voix ne pouvait provenir que d'un certain nakama.
« Marimo ?
- Love-Cook ? »
Tous deux soupirèrent doucement d'aise, étant heureux ni d'être seul, ni d'être en présence d'un ennemi.
Soudain, alors que le blond allait commencer à parler, tout ce qui sortit de sa bouche n'était qu'un gémissement de douleur.
« Oï, ça va ?
- Ouais, 'fin je pense… Je crois que je suis blessé quelque part entre mon estomac et mes côtes.
- C'est grave ?
- Comment je pourrais le savoir ? railla-t-il. On est dans le noir, on sait pas pourquoi on est là, on sait pas ce qui s'est passé, on sait rien de rien et toi tu me demandes de détailler ma blessure ? J'suis pas Chop-
- Oh, ferme-là, sourcil en vrilles.
- C'est toi qui a commencé, tête d'algue.
- Je voulais juste savoir si je pouvais me réjouir plus tôt que prévu de ta mort.
- Hin hin. »
Le silence était retombé. Les deux garçons se demandaient ce qu'ils faisaient là, ils essayaient de reconstruire le puzzle de cette histoire.
Voilà ce qu'ils savaient : Ils étaient enchaînés, mauvais signe. Il n'y avait qu'eux ici, ils ne savaient donc pas ce qui était arrivé au reste de leurs compagnons. Ensuite, l'un d'eux était plus ou moins gravement blessé, ce qui prouve qu'un combat a eu lieu. Et pour conclure, ils étaient dans un endroit très peu chaleureux, et qui semblait dénué d'objets, seulement eux et leurs liens.
« Ça sent la merde tout ça. fit remarquer Zoro.
- Non, tu crois ?
- Oh, ta gueule. »
Le jeune homme aux cheveux verts réfléchissait – ce qui était un bel effort de sa part- à un moyen pour les sortir de ce pétrin, mais tout ce qu'il trouva fut de forcer comme un dégénéré sur ses entraves.
Sanji souffla, il savait d'ores et déjà que cela ne mènerait à rien.
« T'as une meilleure idée peut-être, crétin de Cook ?
- Oui, attendre que quelqu'un fasse son apparition au lieu de perdre son énergie dans une utopie.
- Tss. »
Soudain, un cliquetis se fit entendre à quelques mètres d'eux. Un visiteur…
Sur le Sunny, l'équipage était en stress.
Chopper faisait des allers retours entre plusieurs de ses compagnons, essayant de les soigner au plus vite.
Robin soignait le bras de Nami, ensanglanté, pendant que la rousse pestait contre leurs attaquants qui avait maintenant déguerpis, emportant deux personnages 'plus ou moins important dans l'équipage' – ce sont ses dires. Usopp se faisait traité en même temps que Franky par le petit renne, qui était dans tous ses états, alors que Brook était dans un coin, tentant de détendre ne serait-ce qu'un peu l'atmosphère avec un air de violon. Luffy était juste assis parmi ses nakamas, à peine blessé et semblant réfléchir sérieusement.
« Bordel mais ils auraient pas pu se défendre, aussi, ces deux crétins ?
- Nami, Sanji était inconscient et Zoro s'était fait lier les jambes et bras avant de se faire assommer… protesta légèrement le médecin du bord.
- Et alors ?! »
Ne voulant pas se faire battre à mort avec le bâton magique de la navigatrice, le renne préféra se taire et retourner à ses premières occupations. Après quelques instants, il annonça son verdict à ses blessés (rien de grave donc, les séquelles seraient très légères).
Robin proposa à tout le monde de s'installer dans la cuisine, et de réfléchir posément à la situation. Elle fit apparaître un bras qui tint la porte à tout le monde, et ils firent comme dit.
Des pas s'approchèrent d'eux, et un bruit de serrure se fit. Ils avaient laissés la porte principale ouverte, ce qui leur apportait un flot de lumière. Un homme, au centre, était bien mieux habillé et se tenait plus professionnellement que les deux autres personnes situés de chaque côté de lui. Ce fut sans étonnement que le 'chef' commença à parler :
« Alors, bien dormi ? demanda-t-il sur un ton qui n'attendait pas de réponse.
- Ouais. Magnifique. Manquait plus qu'une petite couverture et un thé chaud et ç'aurait été parfait. rétorqua le bretteur.
- On a un petit blagueur à ce que je vois. »
L'homme se rapprocha un peu et s'accroupit assez élégamment, pour un tel mouvement. On put distinguer quelques mèches noires tombants devant ses yeux d'un gris métallique, et il semblait imberbe. Il était plutôt beau gosse, aussi –tout détail à son importance.
« Alors, ici nous avons un homme aux cheveux verts, et un garçon au sourcil bizarre…
- Laisse mon sourcil tranquille ! Et puis pourquoi cette algue mérite le titre 'd'homme' et moi 'de garçon' ? On a le même âge j'vous signale.
- Oh, excusez-moi, je ne voulais pas vous importuner. sourit-il. C'est juste que vous semblez bien plus androgyne que votre ami ici présent.
- Dans ta gueule !
- On t'a sonné toi ? Imbécile. râla le blond, envers l'autre qui riait.
- Passons. Savez-vous pourquoi vous êtes ici ?
- Nah. répondirent-ils à l'unisson.
- Eh bien, moi non-plus. J'espérais que vous pourriez m'expliquer votre présence. »
Et c'est sur ces mots qu'il disparut, avec ses deux acolytes n'ayant pipés mot, et claqua la porte, les laissant replonger dans l'obscurité.
« Il est bizarre.
- Ouais. »
