Un jour, une famille m'accueillera

Prologue

Je me nomme Harry et voici l'histoire de ma vie.

Du plus loin que je me souvienne, j'ai toujours été dans cet orphelinat, attendant qu'un couple aimant m'adopte. Mais étant timide ainsi que trop petit et maigre pour mon âge, ils ne me donnaient qu'un vague regard puis s'intéressaient à un autre enfant. Lorsque j'eu 10 ans, il ne me restait plus aucun ami, tous étaient partit avec leur nouvelle famille. Pour calmer ma peine, les éducateurs, c'étant un peu attaché à moi durant les années passer, m'ont acheté une souris pour me tenir compagnie. Deux semaines plus tard, je l'ai retrouvé disséquer, surement par les plus vieux, les rebelles de l'orphelinat.

Lorsque j'eu onze ans, Loraine, la directrice, me convoqua dans son bureau et m'expliqua comment j'étais arriver dans son établissement :

Le premier Novembre, je reçu la visite d'un policier. Ils t'avaient trouvé en pleur sur le trottoir. Les seuls mots écrit sur ton petit berceau étaient « Mon Harry ». Ce devait être un message, puisque un bout de la feuille semblait être arraché. Moi ce que j'en pense, c'est que tes parents ont eu un accident et en sont morts, et la personne chez qui tu as été confié ne voulait pas de toi.

Après qu'elle ait dit ces mots crus, je sentis une larme glissé sur ma joue…. Les seules personnes qui avaient voulu de ma personne étaient mes parents et ils sont surement morts en ce moment même. Voilà la seule pensée qui me trottait dans la tête.

Après ça, je devins renfermer. Je ne voulais plus être adopté, de toute façon, qui voudrait d'un garçon aussi vieux ?

Quatre ans plus tard, je vis une femme enceinte d'environ six semaines entrée dans l'orphelinat. Elle alla directement dans l'aile des plus âgés, où j'étais.

Lorsqu'elle arriva finalement, je laissai mon côté antipathique de côté pour aller lui demander ce qu'elle faisait ici alors qu'elle attendait déjà un enfant !?

Elle se retourna vers moi et, alors que je lui avais parlé d'un ton cassant, m'envoya un regard doux et me demanda gentiment où il y aura un endroit où elle pourrait s'assoir, parce qu'à six mois et demi de grossesse, il était difficile de rester debout trop longtemps.

Après l'avoir amené dans notre salle de repos et qu'elle ce soit installer, elle me dit :

« - Je réponds à ta question si tu réponds aux miennes par la suite, ça te va ?
- Hemm, oui, oui…
- Très bien. »

Même si elle venait de me rencontrer j'avais l'impression qu'elle me connaissait depuis toujours.

« - Alors je t'explique, premièrement, je dois te dire que j'ai deux raisons, une un peu plus futile que l'autre.
- Dites toujours….
- Depuis que je suis toute jeune, j'ai extrêmement peur d'accoucher, mais je voulais absolument avoir un enfant, donc me voilà, enceinte jusqu'au cou, morte de trouille et sans personne pour m'aider.
- Sans personne pour m'aider ? Vous voulez dire que cet enfant n'aura pas de père ?
- He bien oui, je n'ai jamais réussis à m'attacher à un homme, ils m'ont fait trop de mal durant ma jeunesse.
- Je ne comprends pas trop, mais si vous le dites.
- Aller, je continue !

- Alors, comme je le disais plutôt, étant seul, j'ai peur de mourir et de n'avoir personne comme héritier, pour pouvoir continuer de faire vivre ma famille et pour pouvoir s'occuper de mes biens.
- Donc vous voulez adopter un orphelin, mais si vous mourrez il le redeviendra… Vous êtes idiote ou quoi ?
- C'était ma raison futile. Puisque de tout façon, je n'ai pas grand chance de mourir en accouchant. Je te raconte la véritable raison :
J'ai toujours voulu avoir deux enfants grandissant à des âges complètement différent, je suis amoureuse du défi, comme tu peux le voir. Mais malheureusement, je suis une vieille peau de 37 ans, et je si veux attendre 10 ans entre mes deux enfants, je serai trop vieille et ma grossesse pourrait entrainer des complications. J'ai décidé que je n'aurai qu'un enfant venant de mes entrailles, que je voulais adopter… Et que je te choisissais.
- Mais, mais, vous n'avez même pas pris le temps de regardé les autres enfants.
- Oui, mais je peux lire de l'intelligence dans tes yeux, puis tu es le seul à avoir véritablement fait attention à moi. »

Ému, je ne pus rien rajouté; depuis le temps où j'avais perdu espoir…

Et je répondis finalement à la question « et de tout façon, qui voudrait d'un garçon aussi vieux ? » : Elle, Léonie Marchand, ma Mamulie.

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Merci d'avoir lu ce début d'histoire.
Désoler si il y à des erreurs, je me corrige le plus possible, mais j'ai encore des difficultés :/
Je ne suis pas la meilleur pour faire des chapitre de 5000 mots ou plus, donc les chapitres suivant seront tous un peu cours (mais tout de même plus long que celui-ci, qui est un prologue). J'espère que l'histoire vous plaira tout de même.