Voici le première chapitre de ma nouvelle fic: It Started With A Kiss. C' est un DMHG. Simple précision, ce qui est en italique est un point de vue omniscient à la scène contrairement à la normale où c' est du poit de vue de Hermione. Pour cette fic, comme vous devez l' avoir remarqué, le nom des chapitres correspond au titre de LA chanson qui me fait penser à ce chapitre ( confus hein?). Donc cette chanson est:

When You Were Young de The Killers-- www . youtube . com / watch?vh66CSeBILY

Bonne Lecture

Désolé pour les fautes, j' avais corrigé mon texte mais j' ai pas posté le bon. Dsl je recommence lol.

Chapitre 1

Je jetais un rapide coup d'oeil à l' horloge accrochée au mur de brique de la voie 9 3/4. La gare était bondée aujourd'hui. Un nombre incalculable de gamins, accompagnés de leurs parents, de leurs valises gigantesques et de leur bric-à-brac inutile, s'y trouvait.

C' était ma toute dernière année à Poudlard. C' était aussi la septième et dernière fois que je me retrouvais ici, entourés de tous ces bambins agités et impatients.

Cette année, j' avais été nommée préfète-en-chef. Harry et Ron avait tenté de paraître heureux pour moi mais le coeur n'y était pas: ce ne serait plus pareil. On ne dormirait plus dans les mêmes dortoirs, ne s' amuserait plus ensemble dans la salle commune et il n'y aurait plus de sorties nocturnes interdites.

Car à présent, je devrais passer mon temps dans les appartements destinés aux préfets-en-chef que je devrais partager avec mon homologue masculin. D' ailleurs, une question me trottait dans la tête: Qui était ce garçon avec qui j' allais devoir vivre toute l' année?

Le train se mit à cracher de la fumée et un sifflement strident retentit. Je ne vis aucuns de mes amis mais montai quand même à l' intérieur d' un wagon. Des dizaines d' élèves se bousculaient dans le couloir, à la recherche d' un compartiment.

La lettre que j' avait reçu stipulait qu'un espace avait été réservé dans le train, spécialement pour les deux préfets-en-chef. Un écriteau contenant la consigne « préfets-en-chef, ne pas déranger » avait été placardé sur la devanture d' un compartiment à quelques mètres de moi. Je me frayai un chemin parmi les élèves, traînant ma valise derrière moi.

J'ouvris la porte. Je poussa un bref cri de surprise et plaquai ma main sur ma bouche. Mes bagages s' écrasèrent au sol. Un jeune homme très grand et très musclé était à moitié allongé sur la banquette de droite, un magazine dans les mains.

Ses cheveux mi-longs d'un blond très clair retombaient nonchalamment sur ses yeux d' un bleu profond qui contrastaient avec la blancheur singulière de sa peau. Drago Malefoy. Mon ennemi de toujours. Quand il me vit, un sourire narquois s 'étira sur ses lèvres.

- Je te fais autant d' effet que ça, Granger!

- Non...Euh...Non...Pas...Du...

Il avait raison, il était devenu magnifique et le pire, c'est qu'il le savait. J' entrepris d' accrocher mes valises aux étagères prévu à cet effet. Mais j' étais beaucoup trop petite et je faillis me faire écraser trois fois par mes bagages. Malefoy lui ne bougeait pas.

- Granger, tu es une naine et tu peux rêver, je ne t' aiderais pas.

- Malefoy, tais-toi et apprend.

Je posai un pied sur la banquette de gauche et un autre sur la sienne. Je pliai les genoux et attrapai un de mes sacs, me relevai et le hissai sur l' étagère. Je continuai ce manège une dizaine de fois. Pendant tout ce temps, il ne quitta mon corps des yeux. Je sentais son regard sur chaque parcelle de mon corps.

« Notre vilain petit canard s'est transformé en un cygne on dirait. Et pas n' importe quelle cygne! Un cygne canon et super bien foutu!! » pensa alors Malefoy.

Je sautai de mon perchoir et me planta devant lui, les mains sur les hanches. Il leva les yeux vers moi.

- Alors, tu vois je n'ai pas besoin d' un imbécile comme toi, je peux me débrouiller seule.

- Qu'est-ce que tu viens de dire! s' exclama-t' il.

- Tu es un imbécile, répondis-je en détachant chaque syllabe comme avec un enfant de cinq ans.

Soudain, il bondit me plaquant contre le mur le plus proche, ses bras de chaque côté de ma tête. J' entendis mon coeur qui battait très fort.

- Retire ce que tu viens de dire immédiatement!

- Sinon quoi? demandais-je.

Il se rapprocha dangereusement de moi, un lueur étrange animait son regard. Je pris peur, me cabra.

- Sinon Granger, tu le regretteras.

Il attrapa une de mes mèches de cheveux et en respira délicatement son parfum. Mon coeur battait de plus en plus vite. Soudain, quelqu'un entra et Malefoy se rassit d' un bond. Une femme ronde venait d' entrer dans le compartiment, un lourd chariot rempli de friandises l' accompagnait.

- Vous voulez quelque chose les enfants? demanda-t' elle alors.

- Non rien, répondis en même temps que lui.

Nous nous toisâmes alors. La femme reparti aussi vite qu' elle était venu. Je craquai en premier, détournai le regard et attrapai mon sac à main. J' en sorti mon i-pod flambant neuf.

Je voyais bien qu'il brûlait de me demander ce qu' était cette étrange objet mais il ne le fit pas. Par dignité sans doute. J' installai les écouteurs à leur place et mis en marche le lecteur. Je me pelotonnais contre la vitre, les jambes repliées sur le côté. Bercée par la musique, je m' endormis aussitôt.

Il l'a regardait dormir. Qu'est-ce qu'elle était belle! Il aurait donner cher pour qu'elle soit dans ses bras. Pouvoir la toucher, pouvoir la serrer contre lui. Mais tout cela était impossible. Une Gryffondor et un Serpentard.

Il se leva, caressa doucement son visage d' ange. C'est alors qu'une idée horrible lui vint à l' esprit. Une idée qui allait lui permettre de se venger pour ses paroles blessantes de tout à l' heure, et de satisfaire ses moindres désirs...

oOoOoOoOoOoOoOoOo

Je me réveillai brusquement. Cet idiot de Malefoy venait de me lancer un paquet de chips, fermé bien entendu, en pleine figure.

- Malefoy, ça te dirait de respecter le sommeil des autres!!

- Non, et puis de toute façon, Granger faut que tu t' habilles.

Lui-même arborait déjà une longue robe noire aux bordures vertes et argentés. J' attrapai ma robe et fit un geste vers la sortie. Il ne croyait tout de même pas que j' allais me changer devant lui tout de même.

- Change toi aussi ici, j' en ai vu d' autres.

- Tu ne te retourneras pas?

- Bien sûr que non.

Je le toisais d' un air suspicieux mais il paraissait sincère. Il se retourna. Je commençai à défaire les boutons de ma chemise blanche.

Sans qu'elle ne le vit, Malefoy tapota trois fois la banquette du train avec sa baguette magique.

Soudain, il y eut une violente secousse et je fus projeter sur Malefoy qui malheureusement, s' était retourné juste au mauvais moment. Nous nous retrouvâmes assis sur la banquette, moi à califourchon sur lui.

Il ne bougeait plus. Une seconde secousse vint faire s' écraser mes lèvres contre les siennes. Je voulus me retirer mais il me tenait fermement et se mit à m' embrasser. Alors, autour de moi, tout disparut. Il ne restait plus que lui et moi.

Clik, Hermione n' entendit absolument rien et Malefoy se dépêcha de le ranger.

Soudain, il me relâcha et je me levai prestement. Comment avait-il oser m' embrasser? Non que je ne l' avais pas apprécié.

- Qu'est-ce que tu viens de faire? murmurais-je horrifié.

- Tout le plaisir était pour moi, tu embrasses à merveille Granger.

Rouge de fureur, j' attrapai mes vêtements et m' éloignai vers la porte.

- Granger!

Je me retournai, lui faisant face. Son regard parcouru mon cou, puis mes épaules et s' arrêta sur ma poitrine.

- Tu ferais mieux de te rhabiller, je crois. Bien qu' ici le spectacle ne gêne personne...

Je suivis son regard et découvris à mon plus grand damne que ma chemise était entièrement ouverte, laissant apparaître mon soutien-gorge et mon ventre plat. je me retournai, tentai de la rattacher et sorti du compartiment en claquant la porte derrière moi.

A l' intérieur, Malefoy se mit à rire. Son plan fonctionnait à merveille et elle ne se doutait de rien.

oOoOoOoOoOoOoOoOo

Je me dirigeai vers les toilettes et m' y enfermai. Je me plaquai contre la porte tentant de me calmer. Mon coeur battait à une vitesse plus qu' affolante. Je me mis à respirer doucement tout en me changeant.

D' accord, j' avais un peu changer pendant les vacances. J' avais réussi à dompter ma crinière et à rendre mes cheveux ondulés et soyeux. Je m' était mis au sport ce qui m' avais bien musclé et mes formes étaient devenus plus féminine.

Cela suffisait-il vraiment à me rendre intéressante aux yeux de Drago Malefoy, le garçon le plus mignon de tout Poudlard! Une pensée m' arracha un petit cri de peur: j' allais vivre avec lui toute l' année...


Alors qu' en dîtes-vous? Je veux tous vos avis. Tous tous tous: les gentils comme les méchants. Voili, Voilou a+ les p'tits choux!! Encore désolé