Disclaimer de ses morts : La licence Jojo's Bizarre Adventure est la propriété d'Hirohiko Araki, qui a mit en place cet univers d'une main de maître.
Aussi, la Mort, les Insultes et les Blessures sont ou seront présentes à travers ces pages. A vos risques et périls.
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Nous sommes en 1695, et l'Âge d'Or de la Piraterie est en cours. Des quatres coins de la Terre, des personnes remarquables se lancent dans une quête de richesses et de célébrité. Néanmoins leurs aventures se terminent souvent dans le sang et les larmes.
Le héros de cette histoire est un jeune adolescent britannique. Comme tout les jeunes de son âge, il rêve de voguer sur les flots. Et un jour, le jeune Georges Joestar se fit embaucher comme mousse sur le Sound of Silence, un navire marchand. Mais notre histoire ne commence pas sur ce navire. Notre histoire commence après...
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L'anglais se réveille dans un endroit inconfortable. Il met du temps à se rendre compte qu'il a des fers aux pieds, et alors qu'il fait cette découverte, on l'interpelle.
« Salut le nouveau. T'es réveillé on dirait. »
L'homme qui lui parle ainsi est un jeune d'à peu près son âge. Il parle anglais avec un accent reconnaissable, celui de la France.
« Jimmy Punchline, pour te servir. Bienvenue sur le Mad World, où tu vas être transporté pour être vendu comme esclave je ne sais où. Comme moi, et tout les types dans cette cale. »
Georges panique un peu, mais se ressaisit vite. Le sang des Joestar coule en lui, après tout. Il n'a pas peur de ce destin.
« Georges Joestar, enchanté. Tu viens de quel navire, toi ?
-Le Trompettes de la Renommée. Un beau bâtiment français. Mais- »
Jimmy n'a pas le temps de finir sa phrase, car trois hommes entrent dans la cale. Deux d'entre eux sont des soldats, et le troisième a l'air d'être un chercheur, un truc du genre.
Les soldats inspectent les prisonniers, puis se tourne vers le chercheur, qui se met à parler.
« Il m'en faut deux, de bonne constitution de préférence. Et n'oubliez pas, prenez-les jeunes. »
Georges et Jimmy ont à peine le temps de comprendre ce qui se passe que les deux soldats les assomment et les traînent en haut des escaliers.
«Doucement ! Doucement, voyons... »
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Lorsque les jeunes hommes se réveillent, ils sont attachés par des chaînes au centre d'étranges cercles.
« Georges Joestar troisième du nom et Benjamin Guillaume de Costentin... Bon choix, Bruford, bon choix... »
A être continué !