Voici ma deuxième fan-fiction. J'espère que vous allez l'aimez autant que la première.

Le problème de LUN. s'est réglé tout seul, vous allez enfin pouvoir comprendre ce que j'ai ecrit ! ^^^


Chapitre 1 : Un bébé ?

Isabella Marie Swan, Bella, est une grande danseuse classique très connu en Europe, notamment en France. Elle est partie faire son sport étude en France, pour ne jamais revenir à Forks sa ville natal. Ses parents Charlie et Esmée se sont séparé lorsque Bella avait 1 an. Il y a 2 ans, Esmée c'est remarié avec un certain Carlisle. Bella n'avait pût allé au mariage à cause de la première d'un gala. Depuis, elle n'avait jamais eu l'occasion d'aller à Forks rentre visite à sa mère et sa nouvelle famille.

POV Bella.

Pleine de sueur, j'entrai en trombe dans les coulisses. Je venais de terminer la première de mon nouveau spectacle dont j'étais l'héroïne. Je sortis mon portable de mon sac. Deux appels manqué et un message vocal, les deux appels étaient ma mère, je décidai, donc, d'écouter le message plus tard. Je nettoyai mon visage de tout le maquillage que j'avais mis pour ce spectacle. Il fallait 3 couches de fond de teint pour que la peau n'apparait pas blanche sur scène, que le contour des yeux soient le plus noir possible pour que les yeux ressortent, que les lèvres soient rouge sang pour qu'elle puisse apparaître sur scène. Je me démaquillais le plus possible, afin de pouvoir sortir dans la rue sans avoir honte. Je mis 15 minutes pour me démaquillais, et je n'avais toujours pas enlevé mon costume de scène. J'entrepris d'abords d'enlever mes pointes, mes orteils étaient presque en sang avec tout les efforts que j'avais fait en 2 heures de temps. J'enlevais ensuite mon tutu, puis mon juste-au-corps et m'habillai enfin, en tenue de soirée. Mettre des talons aiguilles allait être un véritable supplice pour mes pieds, mais j'étais obligé d'aller à la soirée qui se tenait en mon honneur. Alice, ma sœur ainée, mon manager, et mon styliste personnel m'avait préparée une robe bustier blanche. Elle avait vraiment bon goût. La robe était blanche, elle était bouffante d'en-dessous de ma poitrine jusqu'au milieu de mes hanches où elle s'arrêter, une bande serré maintenait ma poitrine en place, et entre le maintenu et le bouffant un large ruban noir qui descendait le long de ma robe. Avec cette robe magnifique, des escarpins noirs avec des talons aiguilles de 10 centimètre, et une pochette noire avec quelques diamants. J'allais être parfaite comme disait si souvent Alice. Lorsque j'eus fini de m'habiller, Alice entra. Elle voulait absolument me coiffer. Pendant qu'elle actionnait le fer à friser, elle me raconta que le metteur en scène était comblé par mon exploit ! Tout le monde avait adoré ! Elle me raconta tout les compliments que les spectateurs avait fait à Alice pour les costumes. Alice était très connu dans le monde entier pour ses créations, pourtant elle était toujours à mes côtés, à faire les costumes des spectacles des quelle le pouvait. Cette dernière me tira de mes pensées lorsque qu'elle sorti un cri strident !

- Alice, pourrait-tu ne pas hurler dans mes oreilles ?

- Mais, Bella ! Tu est parfaite ! Même sans maquillage !

Je me regardais dans le miroir, c'est vrai que Alice faisait toujours des miracles avec moi. Je me trouvai d'une banalité affreuse, mais dès qu'Alice s'occupait de moi, je me trouvai belle. Je sortis mes affaires personnelles pour les mettre dans ma pochette : clés, gloss, portable. Portable !

- Alice, maman m'as appelé tu ne saurais pas pourquoi ?

- Euh … Non. Dit-elle en rougissant.

Je n'en dis pas plus, je savais que Alice craquerais un jour ou l'autre.

- Bon, allez c'est parti ! Dis-je, souriante !

La soirée se passa comme d'habitude. Compliment, compliment, compliment, contrat, compliment, compliment, compliment, et etc. Je fus l'une des première à m'en aller, avec Alice prétextant que j'étais fatigué à cause du spectacle. J'entrais dans ma voiture, une mini cooper rouge sang, accompagné de Alice. Je lui avais demandé de conduire, j'avais trop peur de tomber de fatigue, elle prit alors le volant. N'ayant rien à rien, je sortis mon portable pour enfin écouter le message vocal de ma mère :

« Allo Bella, c'est maman. J'ai quelque chose de très important à te dire. Ça fait des mois que je voulais t'en parler, mais je n'osais pas. Rappelle-moi. Essaye de m'appeler quand je serai réveillé ! Bisous. Tu me manques. »

Il était 01h37 à Paris, est ,donc 16h37 à Los Angeles. Forks avait à peu près cette heure à 1 ou deux heures près. J'aurai pus appeler, mais nous arrivions à notre appartement. Je décidai de rappeler plus tard. J'entrai dans l'appartement au dernier étage d'un immeuble très VIP. Plusieurs stars française habitaient là. Je m'allongeai de tout mon long sur mon lit. Alice arrivait encore pleine d'energie.

Bon, autant le faire tout de suite. Voici ton emploi du temps de la semaine prochaine. Lundi : Interviews pour plusieurs magazines français entre 8h et 10h, de 10h à 12h photo-shoot pour ces derniers. Donc soit belle ! À 14h on reprend avec une invitation à un défilé en pleine air de Coco Chanel jusqu'à la fin de l'après-midi. Mardi : répétition pour la dernière de ton gala gala dès 9h …

Elle continua ainsi jusqu'à 3heure du matin. Je me déshabillai pendant qu'elle énuméra chacun de mes rendez-vous, me mis en nuisette et glissai dans mes draps. Jusqu'à ce 3h je m'efforçai de restai éveillé, mais à Jeudi, je crois, je sombrais dans les bras de Morphée.

La semaine se passa sans aucuns soucis, Sauf que j'arrivai jamais à prendre les appels de ma mère. Nous étions dimanche aujourd'hui. J'avais toute la journée devant moi. Heureusement que je ne travaillai jamais le dimanche. Mais ce dimanche là, j'aurai largement préféré travaillai que prendre, enfin, l'appel de ma mère.

- Allo ?

- Bella ! Comment vas-tu ? J'ai essayé de t'appeler toute la semaine ! Je sais bien que tu as un emploi du temps chargé mais quand même, ne pas pouvoir accorder 5 minutes à sa mère !

- Oui, maman, je vais bien. Et toi ?

- Oui.

- Bien, que veux-tu me dire de tellement important.

- Euh... Ben … Écoute, Bella sa fait 8 mois que j'hésite de t'en parler. J'avais peur de ta réaction. Je suis enceinte, Bella. J'arrive bientôt à terme, et j'aimerais que tu vienne me voir moi, et le bébé.

- …

- Bella ?

- Oui, maman. Euh … C'est fantastique ! Si tu es heureuse de cet événement, je le suis aussi, maman. Je viendrais ne t'inquiète pas.

- C'est vrai ! Tu me rassure. Alice ne t'en a pas parler car je voulais te l'annoncer moi-même. Ne lui en veut pas, d'accord ?

- Ne t'inquiète pas pour ça.

- Bon il est tard, je vais me coucher. Bisous, je t'aime.

- Moi aussi, maman.

Il était 15h en France, il était donc minuit là-bas, à peu près. J'allai être grande sœur avec 22 ans de différence, ma mère une quatrième fois maman a 43 ans ! Oh mon Dieu. Pourquoi avait-elle douter de ma réaction, j'étais heureuse pour elle. OK. J'avais bloqué au début mais c'était merveilleux.

- Alice, C'est bien après-demain ma dernière pour le spectacle ?

- Oui. Pourquoi ?

- Mercredi, on part à Forks !


Voili, voilou. J'espère que vous avez aimez !