Titre: Un tombeau à Azkaban
Auteur: Doryan
Genre: Romance, créature.
Note: De retour avec une nouvelle fic et un nouveau couple star xD, j'ai eu l'idée dans mon bain et depuis elle me lâche plus, donc je l'ai écrite!
Résumer: Harry à besoin d'information que Lucius Malfoy détient, pour ça il prévoit de s'infiltrer dans la prison d'Azkaban. Ce bâtiment est aussi vieux que le château de Poudlard et n'a pas toujours été une prison. Comment est-elle devenue une prison d'ailleurs? HP/SalazarS, Slash. Histoire Vampire/calice. (les Hocruxes n'existe pas)
Note2: Les personnages ici présents appartiennent à JKR.
Note3: Les homophobes, passez votre chemin.
Merci et bonne lecture.
« Fourchelangue.
Prologue.
L'ordre du Phénix me met sur le côté quand il s'agit de la guerre, je leur sers juste de renseignement… Mes rêves sont les seules choses qui les intéresses, Snape s'étant fait démasquer le mois passé, ils n'ont plus que moi pour prévoir les agissements de Voldemort.
C'est moi, à la fin, qui devrais l'affronter, et personne n'a pensé à me préparer.
J'ai décidé récemment (dans ma chambre minuscule au 4 Prive Drive) d'agir de mon côté. Il me faut d'abord trouver une source d'information. J'ai pensé à de nombreuses personnes, mais elles ne sont pas toujours bien placées ou encore elles sont inaccessibles. C'est en citant l'entourage de Voldemort que j'ai trouvé mon future complice forcé, Lucius Malfoy. Celui-ci est en prison depuis son arrestation. Accéder à la prison d'Azkaban n'est pas vraiment un problème en soit, quand on est un animagus, je n'en suis pas un… Négocier les informations avec Lucius n'est pas un problème non plus, j'ai mon idée là-dessus. Sirius m'a expliqué l'année précédente pendant les vacances comment devenir un animagus, mais je n'ai pas vraiment eu le temps de m'exercer. Il est mort en passant l'arcade qui se trouve dans les sous-sols du ministère. J'ai encore du mal à m'en remettre, mais je me dois de tenir le coup pour lui et mes amis.
Je suis assis en méditation sur mon lit, celui-ci est trop petit pour moi et ne contient qu'une fine couverture brune et miteuse. Ma forme animale est floue, mais je peux aisément deviner sa race, un félin, un gros félin.
Je suis interrompu par la voix aigu de ma chère tante qui exige ma présence pour faire la vaisselle, ils ont encore mangés sans me prévenir pour être sur qu'il ne me reste plus rien. Je vais de nouveau passer une nuit avec l'estomac vide. Je descends sans leurs jeter un coup d'œil et me dirige comme un automate vers la cuisine pour faire ma tâche. Chose faite, je reprends mes activités dans ma chambre.
C'est en milieu de nuit que je commence enfin à ressentir les effets, mon corps pique légèrement et certains membres de mon corps se déplacent. Pas très longtemps, deux trois minutes et c'est fini. En ouvrant les yeux, je ne remarque rien… j'ai peut-être rêvé. Je m'étire un peu pour éviter les courbatures et tourne m'a tête pour voir si Hedwige est rentrée de sa chasse, pas encore. Mais une chose m'interpelle sur la vitre, mon reflet est différent, un truc s'agite à mon postérieur. Je tords ma colonne vertébrale pour pouvoir observer cette nouveauté, une longue queue noir à poussé au dessus de mes fesses ce qui oblige mon bas de pyjama à descendre légèrement.
C'est un bon début, je me concentre pour qu'elle disparaisse et reprends mes exercices. Cette évolution m'a encouragé à continuer toute la nuit, et même les nuits suivantes.
Il m'a fallu deux semaines pour y arriver, et plusieurs migraines, mais j'en suis enfin capable! Et qu'elle surprise, une panthère noir, pas très discret je vous l'accorde, mais c'est suffisant pour m'aider à rentrer dans cette foutu prison et soutirer ce qui me faut à ce mangemort.
Je n'ai prévenu personne bien sur, je ne veux pas inquiéter mes meilleurs amis et encore moins alerter l'Ordre du Poulet, comme j'aime l'appeler.
Je suis en chemin pour la prison, je n'ai eu aucun mal à la trouver, c'est un livre sur son histoire que j'ai acheté dans une des librairies de la rue de Traverse qui m'en a informé.
C'est une cape foncé assez large pour me recouvrir, que j'ai pris dans ma malle, qui m'a aidé à passer inaperçu.
Par contre, pour rejoindre l'endroit, j'ai du laisser ma valise à la chambre que j'ai loué dans un hôtel au centre de Londres moldus. Je prends des transports en commun moldu pour m'approcher le plus possible de l'îlot, car oui cette satanée prison se trouve sur un îlot en Ecosse(1). Pour le reste du chemin, j'utilise mon balai qui est masqué sous ma cape.
J'ai à peine un pied à terre que je suis une panthère noir, mon balai prêt d'un arbre pour mon retour, seule ma baguette reste dans ma mâchoire. Je dois être prudent, il me faut connaître la prison et ses alentours très rapidement.
Il est minuit et tout parait calme, je m'élance avec souplesse vers l'entrée qui est gardée par des Détraqueurs. Ils n'ont pas l'air de ce préoccuper de moi. Je passe devant eux et entre dans la prison, les grilles étant ouverte. Le rez-de-chaussée est vide, il n'y a pas âme qui vive. L'endroit est lugubre, les murs en décomposition sont à moitiés moisis, ce qui renforce l'odeur de renfermé, c'est une vrai horreur pour mon odorat de félin. Je suis soulagé quand j'atteints enfin les escaliers pour avoir accès aux étages supérieurs. Dans les premiers niveaux je ne trouve que des Détraqueurs et des cellules pas souvent occupées.
Malfoy est introuvable… Ca fait bien trois heures que je fouille les lieux et je commence à décourager. Il c'est peut-être échappé à leurs insu… qu'elle chiotte si c'est le cas!
Je suis dans les sous-sols, maintenant, il n'y a pas âme qui vive.
Totalement découragé, je reprends ma forme humaine. Baguette à nouveau dans la main, je ne peux l'utiliser pour m'éclairer au risque de me faire repérer. L'air me paraît lourd et l'ambiance me glace, il fait vraiment très froid et je commence à regretter ma fourrure. Je frotte frénétiquement mes bras pour me réchauffer. Je me demande pourquoi je poursuis ce chemin, si Malfoy était ici, il serait mort de froid depuis longtemps, même les Détraqueurs ont l'air d'avoir déserté les lieux. Malgré tout, je persiste et continu, on sait jamais si c'est juste un leurre et que plus loin la température est déjà plus douce. Après le deuxième tournant et dix minutes de marche dans cette endroit, je décourage définitivement et préfère retourner sur mes pas, mais un bruit sur ma gauche m'interpelle, une vielle porte en bois, elle est à moitié pourri et détruite, qu'on pourrait la croire tenu au chambranle par magie. Je me rends bien compte que je suis trop curieux pour mon bien, mais ça ma toujours bien aidé. Je mens un peu, mais là j'ai vraiment besoin de trouver Malfoy sénior et surtout un endroit chaud! Plus éclairé ça serai bien aussi?
Je m'approche et je vois que celle-ci s'ouvre entièrement, ça ne me rassure pas spécialement, mais je continue et passe la porte. Il y a une faible lumière à l'intérieur, c'est une bougie allumée au milieu d'une pièce vide, très étrange. Merde si il y a une bougie ici c'est que quelqu'un est passé par là… récemment, et risque de revenir la chercher. Quand je me retourne pour partir, la porte se claque avec un bruit sourd. Là, je panique! Je me retourne et prends la bougie pour m'éclairer, mais je ne fais pas vraiment attention et me coupe avec le chandelier qui soutient la bougie, et qui possède de nombreux piques sur son contour.
« Aie!
Par reflexe je mets mon doigt en bouche avant de me rappeler que je suis un sorcier. Le temps que je ferme ma plaie, quelques goutes se sont déjà étalés sur le sol, mais ça me dérange pas, et d'un sort « récure vite ». Tout est en ordre. A mon plus grand étonnement une partie de mon sang sur le béton est aspiré par le matériau avant que je puisse tout nettoyer. Je me relève précipitamment et me déplace rapidement vers la porte pour essayer un « Alomora », mais rien… Le sol commence à trembler et je me colle au mur pour ne pas tomber. Je ne tiens pas debout, je me soutiens au mur pour pouvoir me mettre assis et ainsi rester stable. Je n'ai plus qu'une envie, sortir de cette enfer et tant pis pour Malfoy! Dans le tremblement, des morceaux du plafond en pierre se détache et tombe. J'ai à peine le temps d'en voir un gros au-dessus de moi, que ma vue s'assombrie au contact du choc.
« Qu'Est-ce que tu sens bon… Mmm. Un vrai délice, ta magie, ton sang, toi…
Je me retrouve sur un sol froid toujours assis contre le mur, quelqu'un me caresse la joue, une main froide, très froide, c'est celle-ci qui m'oblige à ouvrir les yeux. Je vois flou un moment. Mon esprit est encore dans le brouillard, je n'arrive pas à me souvenir où je suis. Un gros mal de crâne…
« Besoin d'un coup de main?
La langue qu'utilise l'homme en face de moi est dure à comprendre, c'est de l'anglais, mais un ancien anglais il me semble. Quand je retrouve mes esprits, je pousse la main d'un geste lent sans être impolis. Suis-je encore à Azkaban et qui est cet homme en face de moi? Maintenant que je me souviens de tout et que ma vue c'est rétablie, je regarde autour de moi pour voir les débris du tremblement, un énorme trou se trouve en plein milieu de la pièce ce qui la rend moins accessible. Pour finir, mes yeux se pose sur l'homme, un homme de grande taille, aux traits sévère, aristocratique et aux cheveux noir jusqu'aux épaules. Habillé de vêtements moyenâgeux, longue robe verte en velours, ornée de décorations de fils d'argent. Certaines filles pourraient le qualifier de beau et riche. Moi, il m'a l'air juste snob. Une image mentale de Draco Malfoy m'est apparut.
« Pouvons-nous passer aux présentations mon jeune ami?
Il me tend sa main en souriant. Je rougi légèrement pour mon manque de réaction et lui tends la main. Surtout que c'est plus tôt inquiétant de rencontrer un homme aussi bien vêtus dans un lieu pareil…
« Harry Potter.
« Salazar Serpentard, je suis enchanté de vous connaître. Dit-il en accentuant son sourire carnassier.
Il profite de mon choc pour placer ma main au prêt de ses lèvres pour y poser un baisé.
Nouveau prologue! Dite moi si ça vous plait! C'est important pour la motivation!
Bisou
Doryan.
(1) totalement inventé, je ne sais vraiment pas ou elle se situe et je sais plus si on en parle dans le livre.
