N.T : Je trouve cette histoire super belle, j'ai voulu la traduire en français dès que je l'ai finie. 15 h après la publication originale. En plus ce serait imaginé d'une véritable expérience. Une petite pensée pour l'auteure ?
Disclaimer : Rien ne m'appartient. Hetalia est à Himaruya-sensei et l'histoire est à The Krystal Cat. Je ne possède même pas le langage français.
"Je te hais!" Les mots résonnaient dans la tête de Yao encore et encore. Il serra ses oreilles en essayant de les bannir. Il était trop tard, il avait déjà dit ces trois mots horribles à Kiku. Il secoua la tête, debout rapidement de son bureau, et regarda le plafond. Combien de temps s'était-il écoulé ? Combien de temps avait passé depuis ce qu'il avait dit à Kiku ?
Il prit une profonde inspiration et s'assit sur le pied de son lit, les mains jointes sur ses genoux. Sa tête était penchée, et des larmes silencieuses coulaient sur son visage. Pourquoi ne pouvait-il pas retourner en arrière, pourquoi l'avait-il dit? Il retomba contre son lit. On frappa à la porte, ce qui le fit sortir de sa transe.
Il s'assit et se redressa sa chemise. "Qui est là?" Sa voix se brisa, il essuya les larmes de son visage.
"C'est moi ..."
"Kiku? Quoi? Qu'est-ce qu'il y a ?" Yao se redressa, comme s'il s'y attendait, pour ouvrir la porte, à la place il entendit le bruit de quelqu'un s'appuyant le dos sur le mur pour pouvoir glisser. Il soupira en se levant, alla à la porte et fit la même chose.
"Je voulais m'excuser ..."
"Pour quoi? C'est de ma faute."Yao soupira de nouveau pour ce qui semblait être la millionième fois ce soir-là. "Je suis vraiment désolé Kiku. Je ne pensais pas. Je ne voulais pas dire ce que j'ai dit."
"Je sais, mais c'est de ma faute."
"Kiku tu n'es pas à blâmer." Yao écouta le silence pendant une minute et se leva. "Kiku?"
"Je suis encore ici."
Yao sourit et ouvrit la porte, heureux de voir son frère debout en face de lui. "Je suis vraiment désolé."
"C'est ma-"
"Non, tu n'es pas à blâmer." Yao tint son doigt fermement contre ses petits frères lèvres, les larmes présentes sur le visage des deux garçons, avant de se pencher et d'enlacer le plus petit des deux. "Il est normal de pleurer. J'ai été un imbécile. Je suis désolé."
