Bonjour a tous ^^. la fic que je vais publier est un texte que j'ai commencé étant gamin (il y a déjà quelques années). c'est par hasard que je l'ai retrouvé il y a quelques jours, et j'ai décider de la publier (y a pas de raison qu'elle reste enfouie dans ces vieux papiers.). Rien n'aura été changé, si ce n'est que la mise en page, de manière a rendre le texte plus agréable a lire. Elle s'inspire des deux premiers Golden Sun, jeux dont j'étais très friand a l'époque (je suis toujours fasciné par ces jeux). Attention, ce n'est pas du pur Golden Sun, car je n'ai repris de l'univers que les personnages, et beaucoup d'éléments du jeu, sans reprendre le monde. Sur ce, je vous souhaite une bonne lecture ;)
Prologue :
Il y a bien longtemps, les dieux offrirent aux humains un pouvoir incommensurable. Ils pensaient pouvoir établir justice et égalité, afin d'améliorer la vie de hommes, mais il en fut autrement. Les humains se retournèrent contre leurs mécènes, et créèrent plus d'injustice sur cette terre. Ils créèrent même un déluge qui dura quarante jours et quarante nuits. Affaiblis par cet échec, les dieux décidèrent de priver les hommes du pouvoir, en le scindant en quatre éléments : le feu, la terre, l'eau et l'air. Ils décidèrent d'enfermer ensuite la source de ces pouvoirs dans des phares indestructibles et dans des lieux où aucuns humains ne pouvait aller. Quelques années plus tard, quatre enfants purs d'esprit, se révélèrent encore en possession de ce pouvoir. ils se nommaient Vlad, Garet, Ivan et Sofia. découvrant cela, les divinités les enleva, et leur montra comment se servir de ce pouvoir. ils devinrent les quatre gardiens des phares. Cependant, cela réveilla d'ancien désirs de puissance chez les autres mortels, qui se mirent a chercher en vain les quatre phares. Seul Pheonixia et Salamandar réussirent la ou les autres avaient échoués. ils fragilisèrent les phares, mais moururent sous la puissance des quatre Gardiens. Cependant, de la Psynergie s'échappa de la brèche créée, et contamina quelques humains. Les dieux chargèrent alors les enfants de trouver tout ceux en possession de pouvoir. C'est ainsi que naquit La Confrérie Du Soleil D'Or. Des hommes cherchent encore aujourd'hui les phares, mais ils ne les trouveront pas encore, car les dieux ne le veulent pas.
XXI° siècle, de nos jours.
"Je... dois.. avertir... la confrérie... Je dois... avertir... la Confrérie..."
L'homme courait. la forêt était sombre a cet heure si tardive de la nuit. ce n'était pas par amour de la forêt qu'il était allé la bas. Il avait sentit un signal psynergique, et il avait été voir. Pour ses protégées. rien ne devait leur arriver, sinon il ne pourrait plus se regarder en face. il avait été atirré dans un piège. rien que quand il avait vu le regard de l'autre homme, il avait sentit la haine, la folie, la puissance. le reste, il ne se souvenait plus. il se rappela qu'une voix avait crié de l'attraper, et il avait commencé a courir. Les chiens sur ses talons étaient proches, il pouvait presque sentir leur souffle sur ses chevilles. il se retourna, et fit soulever la terre afin de créer une barrière. et il recommença a courir. il lança a l'aveugle, un sort qui fit s'élever les racine des arbres, ce qui fit trébucher bon nombre de chiens. Voyant qu'il n'allait pas s'en sortir, il puisa dans ses dernières forces, et lança un séisme localisé. puis, il grimpa dans un arbre, afin d'avoir les quelques secondes nécessaire pour transmettre le message. Seulement, une douleur a l'épaule le fit tomber du tronc qu'il était en train d'escalader. une main puissante le plaqua au sol, et un objet froid se cala contre sa tempe.
"Si tu tente quelque chose, il ne restera rien de toi."lança froidement une voix grave.
Il tenta quelque chose. Il envoya un signal psynergique, et une douleur dans sa tête le terrassa. la main le lacha, et il tomba par terre, la vie s'échappant de son corps.
Autre part
"NOOOOOOOOOOOOOOOON !". je me réveilla en sursaut, sous l'effet du cauchemar. Encore eux, encore lui. le tueur du rêve me faisais peur, pas quelque chose de puéril, non, quelque chose d'instinctif, d'animal. Cet homme, je le voyais depuis quelques mois, dans ces cauchemars. Encore secouée par le rêve, j'allumais la lumière, et alla dans ma salle de bain. je me passais un coup d'eau sur le visage, et repartis dans mon lit. On toqua a ma porte.
"Cylia, ça va ?
- Oui m'man, c'est rien.
- encore un cauchemar ?
- c'est bon, je suis grande t'inquiète pas. va te rendormir."
J'entendis des bruits de pas s'éloigner. je regardais l'heure. 3:24. bon dieu qu'il était tôt, et je savais que je n'allais pas être en état de me rendormir. heureusement qu'on était dimanche. je repensais sans cesse a l'individu qui était mort. que disait il déjà ? ces rêves avait l'air d'être si réels parfois... mais bon... de toute façon, de tel pouvoirs ne pouvaient pas exister naturellement. 7:00, 8:00. j'entendis ma mère se lever, et s'habiller. le bois de l'étage grinçait légerement, sous la pression de ses pas. le bruit de la porte du placard qui s'ouvre, celui du tiroir que l'on tire, puis qu'on referme et enfin celui de la porte que l'on ferme... Qu'est ce que j'aimais ces petits bruits. j'avais l'impression que le monde ne tournait qu'autour de ces bruits, parmi le silence de la maison. Le bruit de la cafetière, celui d'une tasse que l'on prend, puis après un léger silence, le bruit d'un objet que l'on met dans le lave-vaisselle. le bruit d'une porte qu'on ouvre, d'une portière qui se ferme, et la voiture qui démarre. ma mère travaillais a l'hôpital de Chartes, comme médecin, d'ou le faite qu'elle travaille le dimanche.
Il était 10:12 quand je décidais enfin de me lever. Je pris un rapide déj' et m'affala sur le canapé. 17 ans, déjà... le temps passait vite. un jour tu te trouve encore a l'école, et celui d'après, t'es a la fac. pas décider a sortir en ville, comme a mon habitude, (en effet, je suis une fille plutôt discrète sans trop d'amis), je décida d'allumer la télé. mon téléphone vibra a ce moment la. Piers m'appelait. je décrocha :
"Allo, Piers ?
- Yep. tu fais quoi aujourd'hui ?
- rien... sérieux, je dors encore un peu.
- ça te dirais un ciné ?
- ouais, bof... si tu veux... on va voir quoi ?
- On verra bien. Tu viens ?
- Oui, j'aurais au moins quelque chose a faire. a quelle heure ?
- Ba, viens vers 11 heure 30, place des épars
- OK. a tout a l'heure.
- a tout'."
et il raccrocha. Je partis dans ma chambre afin de prendre ma douche, et me changer. la maison était si silencieuse... Mon père n'était déjà plus là quand je suis née... je vivais seule avec ma mère, et on se débrouillais pas trop mal. et il y a eu Piers. on se connaissait depuis tout petit, on a fait toute notre vie ensemble. on est même sortis ensemble une fois. je l'ai quitté il y a pas mal de temps. on a des caractères si différents... Lui le super social, drôle, sérieux au boulot, mais si détendus dans son temps libre... et moi, la plus calme, la plus réservée, celle qui a besoin de beaucoup de solitude pour se sentir acceptée... on était vraiment très différent. je sortis de la maison après avoir vérifié l'alarme, et envoyé un message a ma mère.
A 11h15, sur la place des épars, rodaient bon nombre de touriste, clients de boutiques, étudiants... Piers était assis près des jets d'eaux, entouré de quelques amis.
" 'lut. dis je timidement
- Ah..! la voila ! fit il en me prenant dans ses bras musclés.
- salut Cylia. dit Alex, un type que je ne connaissais que de vue.
- Hello Cylia. lança Lina, qui tournait un peu trop autour de Piers, et qui me rendait jalouse pour rien. on était plus ensemble, qu'est ça me ferait, s'il se mettait avec quelqu'un d'autre que moi ?
- Yo ma vieille. fit Julien, un très bon ami
- 'lut Cycy. lança Pavel, qui était un type que je ne pouvais pas supporter, a cause des surnoms qu'il donnait a tout le monde.
- Bon ba je vois que tout le monde est la... qu'est ce qu'on fait ? demandais je
- les séances ne commence qu'a 15 heures, on a un peu le temps de faire les boutiques. qu'en pensez vous les gars ? demanda Lina
- Va pour le shopping."
C'est comme cela que nous nous retrouvions lâchés dans la ville de 11heure a 14heure en nous nous retrouvant que pour manger au subway. Puis, vers 15 heure, nous allâmes au cinéma.
après le film, je m'excusa auprès du groupe, et me dirigea vers les toilettes. quand j'en sortis, ils étaient en train de discuter tranquillement autour d'une table de café. j'allais me dirigé vers eux, quand je les vis. un groupe d'hommes traversait la rue. ce n'est pas temps le groupe qui me fit tilter, mais l'homme qui les dirigeait. L'homme du rêve. je regardais mon groupe d'amis, et je suivis ces hommes. ils passèrent devant le lycée Marceau, longèrent la petite venise, puis remontèrent dans la vieille ville, par les jardins de la cathédrale. ils entrèrent dans le studio d'art des jardins, et je les perdis de vue. j'entrais a leur suite, mais ils avaient disparus. il n'y avait pourtant aucune issus ! ou étaient ils ? des voix attirèrent mon regard vers une trappe a demi camouflée sous un drap. il devait mener aux catacombes de Chartres
"satanés gardiens ! on peut pas les tenir tranquille deux minutes !
- tu a tort de t'énerver Agatio. fit une voix féminine.
- Quand même ! il a réussis a rester silencieux celui la.
- Maitre ! on vient de localiser la destination du message.
- Ou ça ?!
- malheureusement, il est parvenus la ou il devait aller, et nous ne pourrons pas aller débusquer la confrérie. mais cependant, nous pourrons poster des hommes près d'une ferme des alentours pour surveiller.
- OU ?!
- a la ferme des trois chênes. a quelques kilomètres d'ici.
- une ancienne ferme fortifiée... il on bien choisit leur planque. même toi tu ne pourras pas faire grand chose Agatio.
- il faut pourtant tenter quelque chose. juste au nom de Salamandar et de Pheonixia.
- oui, je sais. Et si nous... attend, je sens quelque chose. une présence magique. Quelqu'un nous observe !
- Capturez le mes frères !"
Merde, je suis faite repérée. je commençais a sortir discrètement de la pièce, et courut. Au moment ou je sortais, la trappe s'ouvrit, et deux hommes en sortirent. manque de chance, il n'y avait personne sur le parvis de la cathédrale. cependant, je me retourna quand j'arrivais dans les rues marchandes, plus agitée. les deux types ne me suivaient plus. je décidais de retourner vers le cinéma, et voyant que Piers et sa clique était déjà partit, j'envoyai un message. il me répondit aussitôt. il me demandait de le rejoindre a la gare. arrivée la bas, je lui racontait tout. il décida de me raccompagner chez moi. il resta avec moi jusqu'a ce que ma mère revienne. pendant qu'on était que tout les deux seuls chez moi, nous avons discuté de tout, et de rien, on a pris ma guitare, et on a gratter un peu. bref, on a passé du temps ensemble. quand ma mère est revenue, ma mère et Piers sont allés dehors. quand ma mère est revenue, son air avait l'air plus grave que quand elle était revenue. la soirée se passa sans grand événement, mais la mine de ma mère ne changea pas. je montais me coucher.
je rêvait encore. il y avait ce type... encore lui... un autre homme se trouvait a ces cotés. ils étaient devant une maison que je connaissais. je ne me souvenais plus a qui elle appartenait, j'avais mes souvenirs embrumés
"Ainsi donc, c'est la qu'habite Amandine.
- oui maitre. la fille se trouve avec elle.
- bien..."
l'homme alluma une boule de feu dans sa main, et la jetta sur la maison. et je me rappela a qui elle était. c'était la mienne.
je me réveilla en sursaut, encore une fois. une chaleur étouffante avait envahie ma chambre, et un crépitement se faisait entendre. je sortis en vitesse de ma chambre, et je vis que la maison prenait feu. je descendit vite dans la chambre de ma mère, mais sa porte était bloquée. je courut chercher de l'eau, mais je devais traverser les flammes pour aller dans la cuisine. Je voulu sortir, mais la porte était verrouillée, et cela était pareil pour les fenêtres. je montait vite dans ma chambre afin de voir si je pouvais passer par la fenêtre, mais l'escalier était déjà la proie des flammes. j'entendis une poutre se détacher, et je leva la main, et ferma les yeux, par réflexe. un jet d'eau détourna la poutre incandescente, qui s'écrasa a quelques centimètres de moi. je fus hésitante pendant un moment, et finalement, je me dirigea vers les escaliers, et essaya de réitérer l'exploit, mais cette fois si, rien ne se passa. je n'avais pas le choix, je devais passer coute que coute, car je commençais a étouffer sous la fumée. je me brula en passant a travers les flammes, et j'accédais a l'étage encore sur pour l'instant. l'escalier s'écroula quand je rentrais dans ma chambre. l'air était déjà un peu plus respirable, et je pris une veste, un jean, un tee-shirt et mon portable et me dirigea vers la fenêtre. par chance, elle n'était pas fermée, mais le sol se trouvait facilement a trois mètre en dessous de moi. Une explosion retentit, et le souffle me projeta dehors. Mon pied faisait un angle bizarre avec ma jambe, et mon bras m'élançais douloureusement. je posa ma main sur mon bras, pour sentir les os, et une lueur bleu enveloppa le membre, et soulagea ma douleur. je fis de même avec ma jambe, mais avec moins de succès. je m'évanouis sous le coup de la douleur encore trop forte, avec le bruit des sirènes.
Mon ancienne vie venait de m'être prise.
J'espère que vous avez aimé ce chapitre, la suite va être encore mieux. Enjoy
