Bonjour ! Voilà une fic' qui est né d'un rêve (ou plutôt d'un fantasme) sur un des personnages de One Piece. Je vais essayer de faire en sorte que ce ne soit pas juste de la romance et que ça bouge un peu mais avec les amies que j'ai... Elles me donnent que des idées romantiques ! Oui Manon c'est de toi que je parles ! Bref petite dédicace à mon Azasha (oui tu seras une colombe et non un poisson)

Disclaimer : Tout est à Oda sauf Mioko mais quand je le tuerais tout ses personnages seront à moi ! *voit tout les fans de One Piece qui sont prêt à me jeter des pierres moi y comprise* Ou peut-être que je vais me contenter d'écrire ma fic' bien gentillement... Maintenant vous pouvez lâchez ces pierres !

Pairing : Je vous les dirais dans le prochain chapitre :)

Sinon bonne lecture et je m'excuse d'avance pour toutes les fautes qui ont sûrement dû fleurir dans mon récit.


Chaque nuit, tu es là. Tu es présent au cœur de mes rêves. Et pourtant toi et moi on ne s'est jamais rencontré, ni même vu. La première fois que j'ai rêvée de toi, j'avais 12 ans. J'en ai maintenant 17 et ce même rêve revient me hanter chaque nuit. Ce qui me pousse à rêver de toi ? Je n'en ai aucune idée. Pourtant, dans ce rêve nous paraissons si proches, si complices. Et moi, si amoureuse... Ce sentiment d'amour envers toi subsiste même le jour, loin de tout rêve. Oui. Je t'aime. Je ne te connais pas mais je t'aime. Je ne sais même pas ton nom mais je t'aime passionnément. Et toi te souviens-tu de ces rêves quand tu te réveilles ?

Ce soir encore, je me couche avec hâte mais aussi avec peur. J'ai hâte de te voir mais j'ai peur de la fin du rêve. J'ai peur du moment où tu me quitte. Tous les soirs, tu me brise le cœur en partant sans dire un mot. Pourtant je n'ai rien fait de mal. Alors pourquoi pars-tu ?

Je soupirai en repensant à mon rêve pour la énième fois. Tout en sachant ce qui m'attendait, je me couchai et m'endormit. Le rêve se déroula encore une fois :

J'étais avec mes meilleures amies. M'arrêtant devant une vitrine où une magnifique robe attira mon attention, je ne remarquai pas qu'elles avaient traversées la rue. Je couru les rejoindre.

Je fis la grossière erreur de ne pas regarder des deux côtés, avant de traverser.

Je ne vis la voiture foncer sur moi à une vitesse effroyable que trop tard.

Je voulu partir mais je ne pus esquisser le moindre geste.

J'entendais mes amies crier et je criai avec elle.

Je pensai que ma dernière heure était arrivé.

C'était sans compter sur lui.

Il surgit de nul part, m'agrippa par la taille et me tira hors de portée de la voiture qui poursuivit sa course folle. L'inconnu me déposa sur un banc puis reparti sans un mot.

En état de choc, je mis un petit moment à réagir :

« -M... Merci... Merci infiniment. Attendez, qui êtes-vous ? Je ne vous ai jamais vu par ici. Vous êtes nouveau dans la ville ?»

-Ça ne te regarde pas, me répondit-il sur un ton glacial. Contente-toi de t'estimer heureuse d'être en vie et de te mêler de tes affaires. »

Je restai stupéfaite. Cet homme arrive, me sauve la vie puis il me parle comme si j'avais essayé de le tuer. Il est déroutant, c'est le moins que l'on puisse dire...

Tout en regardant mon sauveur s'éloigner, je sentis naître en moi un sentiment nouveau.

L'amour.

-1 semaine plus tard-

Kidd était encore en retard… A moins que ce ne soit moi qui me suis trompé sur le lieu du rendez-vous…

En tout cas, il n'était pas là !

Il m'avait pourtant bien de l'attendre devant le Mermaid Café à 14h.

Je regardai l'heure sur mon téléphone.

14h41.

Qu'est-ce que je disais, il était vraiment en retard.

Eh bien, si c'est comme ça…

Je vais y aller seul.

Aussitôt dit, aussitôt fait.

Tandis que j'entrais, je me fis la réflexion que cette journée était placée sous un mauvais signe.

D'abord, mon lapin, Peanuts, qui était sorti de sa cage et qui avait fait tomber la table basse sur lequel était posé la cage de ma colombe, Azasha, qui s'explosa par terre d'une façon magistral ensuite le sandwich que j'avais mangé et où j'avais mis, je ne l'avais remarqué que trop tard, du jambon périmé depuis une semaine et maintenant il y avait Kidd qui me posai un lapin.

Quelle bonne journée en perspective !

M'affalant de tout mon poids sur une chaise, je balayai la salle d'un regard.

Il y avait une belle décoration, une bonne ambiance et s'il y avait eu Kidd cela aurait été parfait.

Celui-là il va m'entendre !

Je me demande comment il s'y prend pour gâcher tous nos rendez-vous…

Ça m'apprendra à avoir un rebelle en guise de petit ami.

Balayant de nouveau la salle, mon regard s'arrêta sur quelque chose.

Ou plutôt quelqu'un.

Celui qui était assis dans le fond de la salle.

Ce n'était pas…

Oui, c'était bien lui.

Au fond de la salle, était assis l'homme qui m'avait sauvé il y a de ça une semaine.

Je m'approchai rapidement de la table et lui demanda tout en tirant une chaise pour m'asseoir :

« - Est-ce que cette place est libre ? »

Mon sauveur marmonna quelque chose d'intelligible.

Ben je crois que je vais prendre ça pour un oui…

Je m'assis tranquillement sur la chaise puis détailla le jeune homme qui était assis en face de moi.

Il était vraiment beau.

Ca personne ne pouvait le nier.

Je suivis plusieurs fois le contour de ses lèvres, fixa ses beaux yeux puis refit le tour de tous ses traits.

Cela devait faire un quart d'heure que je le fixai quand il leva les yeux vers moi.

« - Tu comptes me regarder encore longtemps comme ça ? »

Je rougis violemment.

Pourquoi il fallait que je tombe amoureuse des hommes qui n'ont aucune classe.

C'est frustrant.

« -Dis. Comment tu t'appelles ? Lui demandai-je, curieuse.

-Ca ne te regarde pas. »

Non mais quelle amabilité…

« -C'est juste que j'aurai aimais connaitre le nom de celui qui m'a sauvé la vie, lui rétorquai-je.

-Et si tu commençais d'abord par me dire le tien ?

-D'accord… Moi c'est Araba Mioko et j'ai dix-sept ans. Ça te va ? Tu vas me dire ton nom maintenant ? »

Il s'approcha de moi, et me glissa à l'oreille :

« -Non.

-Mais ce n'est pas juste moi je t'ai dit le mien !

-Oui mais je ne te l'ai pas demandé : je te l'ai juste suggéré alors je ne te doit rien. »

1 à 0 pour mon sauveur…

« -Si je ne peux pas savoir ton nom, je pourrais au moins savoir ce que tu fais dans cette ville.»

Le jeune homme fit mine de réfléchir, puis sembla se décider :

« -Non. »

Mais c'est qu'il est têtu, le bougre !

Je commençai à boire mon jus de fruit qu'un serveur m'avait apporté tout en pensant que je n'arriverais jamais à le faire parler.

Voyant mon air désespéré, il soupira et ajouta :

« -Bon. D'accord… Je vais te dire ce que je fais là. J'ai déménagé donc j'ai vais aller au lycée ici. »

Je continuai de siroter paisiblement mon jus de fruit quand une question me germa dans la tête.

« -Au fait, t'a quel âge ?

-Ben, dix-sept. Pourquoi ? »

Je failli m'étrangler avec mon jus de fruit.

Je m'exclamai :

« -Quoi ?! M…Mais…Mais on va être dans la même classe !

-On dirait.

- Tu ne peux pas parler un peu ! Tu m'énerve ! Criai-je excédée.

-D'accord. Alors que veux-tu savoir sur moi ?

-Mais je ne sais pas, moi. Ce que tu aimes faire, ton but dans la vie,… Les choses comme ça.

-Alors… Mon passe-temps favoris est la dissection. Sinon j'aime bien faire la sieste sur mon ours blanc cannibale. Mon but dans la vie est de percer à jour tous les secrets de l'organisme en disséquant des personnes. A propos, tu ne voudrais pas me servir de cobaye ? »

Dissections. Ours blanc. Disséquer des personnes. Cobaye.

Excusez-moi mais là ça fait trop d'informations bizarres en une seule fois.

Si on associait ce qu'il venait de dire au sourire sadique et cruel qu'il avait aux lèvres en disant ça, ça faisait vraiment peur.

A ça, je ne pu répondre qu'une seule chose :

« -Tu te fous de ma gueule ?

-En partie, oui.

-Comment ça en partie ?

-Ben… Mon ours il n'est pas cannibale et si je ne découvre pas tous les secrets de l'organisme ce n'est pas grave.

-Ah… »

Quelle réponse pertinente me diriez-vous.

Désolé mais j'étais trop choquée pour dire autre chose.

Si quelqu'un vous disiez qu'il adorait disséquer, vous lui auriez répondu quoi ?

Je fus tirée de mes pensées par le bruit d'une chaise qu'on pousse.

En relevant la tête, je vis le jeune homme debout.

« -Désolé mais je dois y aller. J'ai rendez-vous avec le proviseur de lycée pour finaliser mon inscription. »

Il commença à partir puis une fois arriver à la porte, il se retourna et ajouta :

« -Au fait mon nom est Trafalgar Law. »

Sur ces mots, il sorti.

C'était une vraie apparition divine.

Ou diabolique, si on prenait en compte le fait que notre vrai conversation tournait autour de la dissection.

- 3 mois plus tard -

Law me fit entrer chez lui.

L'entrée débouchait directement sur un salon des plus luxueux.

J'observai attentivement la pièce.

D'un côté de la pièce, il y avait un canapé en cuir blanc assorti au mur.

A l'opposé, se trouvait un écran plasma immense.

Embellissant la pièce, une magnifique table en verre trônait au milieu.

Une immense baie vitrée devait sûrement offrir une magnifique vu sur le jardin mais actuellement les stores était fermés.

Un tapis noir et blanc ornait le sol.

Un lustre noir éclairait la scène.

Le tout était vraiment magnifique !

Profitant de mon émerveillement, Law m'attira à lui, m'embrassa fougueusement et me glissa à l'oreille :

« -J'ai envie de toi toute entière.

-Mais je suis déjà toute à toi.

-Prouve-le.

-Il suffit de demander. »

Je commençai à l'embrasser timidement puis de plus en plus passionnément et remplis de désir.

Il m'allongea sur son canapé et me monta dessus.

Nos baisers passionnés se transformait en baiser enflammés.

Plus les secondes passait, plus nos corps avait envie l'un de l'autre.

Il commença à m'embrasser le cou en faisait descendre ses baisers petit à petit tandis que je me mordais la lèvre inférieure de plaisir.

Il glissa ses mains sous mon tee-shirt, puis commença à le remonter.

Le téléphone de Law commença à sonner.

Ses mains continuèrent de monter mon tee-shirt.

Le téléphone sonna une fois.

Law avait enlevé mon tee-shirt et m'embrassais le bas du cou.

Le téléphone sonna une deuxième fois.

Il s'était mis torse nu et m'embrassais désormais le haut de la poitrine.

Au bout de la troisième sonnerie, Law soupira :

« -Désolé Mioko mais si ils insistent autant ça doit être important.

-Oui je comprends. »

Il se leva et alla décrocher.

Pendant qu'il téléphonait, je m'attelais à arrêter le sang qui coulait dans ma bouche car je m'étais tellement mordu la lèvre pour ne pas gémir que celle-ci saignait.

Mais je préférais saigner que de gémir devant un homme même si c'était celui que j'aime.

Quelques minutes plus tard, quand Law revint, il était méconnaissable.

Ses yeux gris remplis de désir il y a de ça dix minutes étais à présent envahis par la haine.

Il donna un coup de pied dans la table basse en verre qui se brisa.

Law se dirigea vers la porte d'un pas énergique vers la porte.

Je courus le rattraper et m'agrippa à son bras.

« -Law ! Qu'est-ce qu'il s'est passé ?

-Lâche-moi ! »

Comme pour ponctuer sa phrase, il me gifla de sa main libre.

La force de l'impact me fit tomber par terre au beau milieu des bouts de verre.

Je ne sentis même pas les bouts de verre pénétrer ma peau.

La seule chose qui m'importait était la douleur à ma joue.

Il m'avait frappé.

Law m'avait frappé.

Je portai une main à ma joue tandis que des larmes sillonnaient mon visage.

Law, quand à lui, fixait sa main, hébété.

Quand il réalisa l'étendue de son geste, il se figea davantage.

L'espace d'un instant une lueur de regret passa dans ses yeux gris mais la haine reprit bien vite sa place et se rappelant le pourquoi de sa haine, il courut jusqu'à la porte et sortit à vive allure tandis que moi je restais par terre, dans l'incapacité d'esquisser le moindre geste.

Me laissant aller à la douleur physique mais surtout morale, je fondis en larmes.

Je me réveillai en sursaut, des larmes coulant le long de mon visage.


Voilà pour le premier chapitre ! Avouez que vous y avez cru au LEMON. Et si vous deviez mettre une notes mettez de préférences celle que vous voulez avoir au bac (oui c'est bien une vanne d'Arnaud Tsamère. Je suis une grande fan de lui !) Soyez tolérant sur les reviews s'il vous plaît !

Et pour finir je vous offre en exclusivité la blague la plus nulle au monde :

C'est un schroumph qui tombe et qui se fait un bleu !

HAHAHAHAHAHAHA ! Quoi ? C'était pas drôle ? Oui je sais. C'est ça la définition du mot "nul".

Allez on rigole bien et sur ce, on se revoit au prochain chapitre !