Disclamer : Bleach n'est pas de moi mais Tite Kubo. Si elle m'appartennait, la Soul Society serait juste là pour faire joli et ce ne serait qu'histoire de Vizards et d'Arrancars... x) ! Sinon, c'est juste une petite one shoot sur une chanson de Kyo (Ouah, toute ma jeunesse !) pour rompre un petit peu avec ma looooooongue et tarabiscotée fanfic en cours... Ulquiorra étant un de mes personnage préféré, il y aura sûrement d'autres one shoot à venir... Bonne lecture, et j'attends toutes vos reviews bonnes ou mauvaises avec impatience !


Pardon pardon pardon pardon. Hier, j'ai tapé mon texte à trois heures du matin. Sur Wordpad ( j'ai un nouvel ordinateur, et il n'y a que ça dessus). J'ai fini tard donc, et contrairement à mon habitude, je n'ai pas vérifier le texte en preview avant de le poster... -S'incline humblement- Pour la peine, Kakelle, je te dédicace cette fic . Encore pardon d'être si stupide .

A Tear for You

Plonger en moi,

Je m'ouvre une dernière fois ,

J'ai touché le fond, j'ai perdu ma voix

Plongée en moi, elle a délié les sons...

Pourquoi ? Cette femme est si faible ... Il avait un regard tellement distant et objectif sur le monde qui l'entourait, mais jamais il ne s'était penché sur son propre cas auparavant. Il ne pouvait admettre qu'une seule de ses larmes le pousse à intervenir, le pousse à émettre une action en réponse tout simplement. Il se voulait comme avant. Froid et distant. Mais la douleur qui l'avait lancé à se moment là... Cette douleur venu du trou où se trouvait autrefois son coeur.

Même changé de nom, pour pleurer mes larmes ...

Depuis quand se permettait-elle de pleurer, d'avoir mal à sa place ? Pourquoi lorsqu'il s'était fait réprimmander pour l'avoir secourut, avait-elle accourut pour le soigner ? Jamais il ne l'y avait autorisé !...

J'ai tatoué son âme,

Chaleur d'une femme !...

Mais dans chaque pore de sa peau, il y avait encore la douce et diffuse chaleur des soins, comme cette douce lumière qui éclairait son visage alors qu'elle rejetait l'existence même de ses plaies. Oui, comme une lumière.

J'ai appris à naître,

Elle cogne dans ma tête !

Son nom ... Ne cessait de le tourmenter.

Plongée en moi,

Elle a ouvert le fond

Sa voix comme un sillon pour guider mes pas

Ses paroles futiles ... Ne l'exaspérait même plus.

J'ai tatoué son âme sous ma peau glaciale

Sa peau semblait douce et chaude... La sienne était froide et grise.

J'ai appris à naître,

Comme dans ma tête !

Ses pas l'entraînaient au-loin ... Il n'y prêtat même pas la plus petite attention.

Ce soir, nous deux corps se mêlent

Fiers, d'une étreinte parfaite

Et, si elle veut

La vie,

je

Lui donne

la mienne ...

- Hé ! Pourquoi tu fredonnes, Ulquiorra ?

En face de lui, au milieu du couloir, Grimmjaw le dévisageait d'un air à la fois méprisant et énervé. Il allait répondre quand il s'aperçut de sa main posée du bout des doigts sur la poignée de la porte... La porte d'Orihime. Il la retira fugitivement. Personne. Personne ne devait pouvoir contempler le trouble qui agitait son monde intérieur. Et surtout pas ce "barbare", cet "imbécile sans délicatesses aux manières de sauvage avec sa coiffure ri-di-cu-le" comme il ne l'appellait qu'en lui même. Derrière la porte, on entendait Inoue chanter "la chanson du dîner". Une chanson qui ne peut être retranscrite ici, mais on peut vous dire qu'il est question de poivrons qui dansent et d'une sauterelle qui demande un steak saignant.

- Pour rien.

Partir. Se retourner, vite. Il ne fallait surtout, mais surtout pas qu'il le voit ... Sourire.


Merci pour toutes vos reviews,qui me font très plaisir ! Je prépares une autre one-shoot sur Ulquiorra... A suivre !