REEDUCATION - PROLOGUE
Salut tout le monde !
Alors, c'est une fiction que je n'avais absolument pas prévue d'écrire, surtout que je travaille sur beaucoup d'autres en ce moment... Oui la désorganisation et toujours la désorganisation dans ma vie. Mais bon, que voulez-vous que j'y fasse, l'inspiration s'est imposée d'elle même xD Breeeef tout ça pour dire que c'est une fiction que je compte bien mener jusqu'à son terme parce que je sens que je vais m'éclater à l'écrire et j'espère que vous vous éclaterez à la lire ! Je donnerai quelques explications quand au contexte et aux personnages principaux que j'ai choisi à la fin du premier chapitre.
Sur ce je vous laisse avec ce très très trèèèèès court prologue ! Bonne lecture !
Et n'oubliez pas la petite review qui me motivera~
Kisses
Les personnages ne m'appartiennent pas, mais ne vous en faites pas ; je bosse sur un plan machiavélique eheeh XD - J'déconne hein !
Comment tout cela avait commencé déjà ? Se demandait Aomine. Ah oui... Sa mère...
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"-J'en ai marre de te voir cloitré dans ta chambre sans rien faire jour après jour Daiki ! Ca ne peux plus durer ! S'insurgeait-elle une nouvelle fois les poings sur les hanches.
-Oui oui maman... "
Un mois que Daiki séchait pratiquement tous ses cours, ne participait plus aux entraînements, ne voyait plus ses amis, à faire le minimum syndical et encore ! Et la nonchalance avec laquelle il venait de répondre fut la goutte d'eau qui fit déborder le vase.
"-Tu veux vraiment jouer à ça Aomine Daiki ?" Les épaules de l'étudiant se tendirent en entendant sa mère employer son nom complet. C'était généralement mauvais signe.
"-Je sais que ça a été dur pour toi, mais tu ne peux pas continuer comme ça indéfiniment, elle poursuivit, tu vas te reprendre en main, et très vite ! A partir de la semaine prochaine je m'arrangerai pour que tu ailles aider Sayu à l'hôpital. Ça te remettra surement les idées en place."
Sur ce, Aomine Satomi sortit de la chambre, prenant soin de claquer la porte derrière elle. Autant ne pas faire les choses à moitié si elle voulait faire passer le message à son abruti de fils.
