J'Y CROIS PAS!
Je l'ai fait! Ma première partie ressemble enfin à une première partie !
Dire que j'ai eue le courage de mettre cela... Brrr! Je m'étonne moi même XD.
Bon alors, que trouvons-nous là-dedans ?
Facile! Le début d'une histoire totalement loufoque XD
J'espère que vous ne me tiendrais pas rigueur pour les fautes d'orthographe et autres, ainsi que pour quelques légers changement de personnalités de nos personnages (faut bien que je les arrangent à ma sauces ;) ))
Dans cette histoire, tous les personnages appartiennent à Square Enix, et la musique du début est Mange tes tomates mon amour de Sidonie (j'ai hésité un moment avec I'm alive de Becca, mais j'ai trouvé que Sidonie correspondais mieux ^^)
Je ne dirais pas les pairings à l'avance, histoire de rendre l'histoire plus excitante et de vous faire réfléchir. ^^
Franchement, qui a t-il de mieux que de se mordre les doigt devant son écran d'ordinateur en se demandant "ils vont se mettre ensemble ou pas? Punaise, j'veux trop savoir!"
Chapitre I : Un départ difficile
Partie I
« Manges tes tomates tous les jou… Tic ! »
La main calme qui venait d'éteindre le réveil se leva haut dans le ciel, sauta un moment, accompagnée d'un « dans tes dents le réveil ! » plus joyeux qu'un enfant venant de recevoir son meilleur cadeau de noël. Levé depuis plus d'une heure, cela faisait près de cinq minutes que Vaan attendais devant son réveil-radio, ravi de pouvoir le narguer. Il se leva, et se dirigea vers la cuisine, où il regarda l'heure tourner, toujours aussi excité qu'une puce.
Cela faisait plus de deux jours que notre petit blondinet ne dormais presque plus de la nuit, trop heureux de partir en croisière de luxe, alors qu'il était d'une famille totalement normale, et ne pouvait donc en conséquence même pas rêver de faire un tel voyage. Et s'il pouvait y aller, c'était tout simplement dû à de la chance et une toute petite tricherie de rien du tout.
Diplômé du bac depuis un an, Vaan passait son temps entre son boulot (qui changeait maximum tous les 3 mois, celui-ci se faisait virer pour « fraude » en tout genre), les boites de nuits, son appartement et les petites annonces du quotidien. Et alors qu'il était à son travail du moment (à savoir livreur pour une boite de sous-vêtements) le PDG convoqua tous les employés et leurs annonça la chose suivante :
-Chers employés, j'ai l'honneur de vous annoncer que notre société a été choisie parmi toutes les autres par la société « Cruise & Co » pour décider du grand gagnant d'une croisière autour du monde d'une durée de 1an, avec piscine, cabine de deuxième classe, restaurant, soirées et activités gratuites! annonça-t-il joyeusement.
Aussitôt des clameurs s'élevèrent de la salle.
Vaan, déjà, calculait le coup d'une telle croisière, et se léchait les babines. Une croisière a à peu près 175 000 sans compter les activités gratuites, ça valait largement le coup. Surtout s'il l'on pensait aux affaires de malade qu'il pourrait faire. Il entendait déjà les trésors tinter et les madones pleurer !
-Calmez-vous calmez-vous. repris le PDG. Mes chers amis, dès maintenant, je vous invite à vous inscrire sur la liste des participants. Demain matin, un billet sera tiré au sort pour désigner notre vainqueur ! Et c'est en vous souhaitant bonne chance pour gagner ce voyage, que je vous invite à déposer votre billet dans l'urne que nous venons de placer dans le hall !
Évidemment, Vaan se dépêcha d'y aller, et fut même le premier à déposer son billet, mais il ne se contenta pas que de cela.
Vaan savait bien que de cette manière, il n'avait aucune chance. Et c'est pour cela qu'il s'empressa, dès le soir venu, d'enlever une grosse partie (ou tout, au choix) des papiers dans l'urne par son prénom à lui, augmentant grandement ses chances de gagner. Mais, cela ne fut pas de tout repos. Car certes, mettre les papiers n'était pas une chose bien compliqué en soi, mais pour arriver à l'urne sans se faire avoir, c'était autre chose, surtout quand trois gardes étaient là pour surveiller la porte. Cependant, notre petit tricheur avait plus d'un tour dans son sac. Et c'est sans scrupule qu'il donna un café bourré de somnifère aux gardes de l'urne ! Les caméras, éteintes à l'avance (le vieux Gil s'endormant toujours devant les écrans de contrôle, cela ne fut pas difficile), ne filmèrent donc pas Vaan, un sourire de vainqueur sur les lèvres, remplacer tous les billets par les siens.
Et ce fut sans surprise que le lendemain matin, le PDG tira le nom de Vaan de l'urne !
Voici donc comment notre cher ami aux yeux bleus rieurs ce retrouva à attendre devant son horloge que les 8 heures sonnent. « Tic tac tic tac tic tac … »
Vaan n'en pouvait plus. Incapable d'attendre plus longtemps, il attrapa sa valise pleine à craquer de trucs plus inutiles les uns que les autres, son casque et se dirigea vers sa porte. Il lui restait encore trois heures avant le départ, n'allait mettre que vingt minutes pour arriver au port mais tant pis ! La tentation était trop forte ! Vaan grimpa sur sa moto, sa valise attachée de façon quelque peu suspecte derrière lui, et démarra. Il démarra. Démarra…
-Nooon ! Tu ne peux pas me faire ça maintenant ! J'ten supplie ! Ma chérie, mon amour, ma libellule verte, mon vaisseau aérodynamique, mon rossignol, ma coccinelle orientale !
-Euh, tout va bien jeune homme ? demanda la concierge qui venait de sortir les poubelles.
Vaan la regarda, les yeux remplis de larmes, suppliants.
-C'est horrible madame ! Ma choupinette ne veut pas démarrer, c'est terrible, c'est l'apocalypse, la fin du monde !
La concierge le regarda avec un drôle d'air, s'approcha de lui et lui montra sa clé de contacte.
-Vois-tu Vaan, si tu enfonçais ne serais ce qu'un minimum ta clé, peut-être que ta moto démarrerait un peu mieux. Dit-elle, moqueuse.
Vaan fronça les sourcils, et baisa les yeux vers sa clé. En effet, celle-ci était à deux doigt de tombé par terre. Vaan vira au rouge pendant un moment, puis se repris et sourit d'un air bêta.
-Ah ! Je me disais aussi ! Il y avait un truc qui clochait sous cette histoire.
Et alors qu'il démarrait, indifférent à son étourderie, la concierge le regarda partir en se demandant comme le pauvre petit allait faire pour s'en sortir dans le bateau s'il se mettait à oublier de fermer à clé sa cabine, chose qui arrivait déjà assez fréquemment avec son appartement.
Pendant ce temps, Vaan roulait tranquillement, sans ce soucier de quoi que ce soit, l'incident déjà derrière lui. Il sifflotait tout en roulant, et finit par arriver sans embrouille au port. Mais alors qu'il garait sa moto verte sur le parking réservé aux passagers (histoire qu'ils puissent les retrouver quand ils reviennent, un espace était réservé. Les véhicules sont donc pris en charge par la compagnie pendant un an), un énorme « BOUM ! » le fit sursauter. Il se retourna vivement… et éclata de rire !
Un peu avant cela, perdue au milieu de New-York dans une petite rue prête à craquer, une forme indistincte agitait la main en criant « Taxi ! Taxi ! ». Et alors qu'un taxi s'arrêtait, notre petite forme se mût -soulevant tous ses poids- s'avança… Pour se faire voler la place par une mamie de 80ans qui avait du manger du lion au petit déjeuner tellement elle la bouscula fort… et la fit tomber !
-Mais putain mais c'est pas vrai ! Espèce de vieille folle ! J'te jure que si mes grattes sont pétées j'te maudis jusqu'à la fin de ta vie !
Évidemment, la « vielle folle » n'entendit pas la clameur du pauvre Demyx, qui d'ailleurs était toujours par terre, ses deux valises sur le côté, et ses guitares dans le dos (à savoir une sèche, une acoustique et une électrique).
Il pesta contre son manque de chance puis se releva avec difficulté. Il faut dire que cela faisait plus de trente minutes qu'il essayait d'avoir un taxi, et que chargé comme il l'était, aucun ne s'arrêtait devant lui. Et alors qu'il en était toujours à insulter la pauvre veille dame, une belle décapotable rouge imprimée de flammes qui semblaient plus vraies que nature s'arrêta devant lui.
-Alors c'est comme ça que tu compte arriver à l'heure ? lui lança le conducteur.
Demyx releva vivement la tête vers son interlocuteur, une réplique bien méchante saillante à son humeur du moment sur les lèvres. Mais quand il vit les cheveux roux en pétard de son meilleur ami, lunettes de soleil sur le bout du nez comprises, il se retint de justesse. Un sourire s'esquissa sur ses lèvres.
-Et bien, vois-tu, j'crois bien que les taxi-man du coin ont une dent contre les musiciens, parce que sinon, je serais partis depuis plus de 20 minutes.
-AhAhAh ! Tu vois, je crois pas vraiment que ce sont les musiciens qu'ils n'aiment pas. Simplement tes trois guitares peut-être…, le taquina Axel.
-Tu vois ! Exactement ce que j'avais dit ! s'exclama Demyx.
Ils éclatèrent de rire.
-Bon allez, blagues à part, tu m'emmènes ?
-Humm, qui est celui qui a déclaré hier soir vouloir aller au port par ses propres moyens ?
-Oh, allez ça va ! Et puis, j'te signale que tu gènes la circulation avec ta bagnole de pompier là !
Axel le regarda par-dessus ses lunettes avec un air mi-étonné mi-outragé.
-Je te signale que ma « bagnole », c'est une décapotable ROUGE. Et puis, si je gène tant que cela, t'a qu'à te dépêcher de mettre tes affaires à l'arrière ! dit-il en lui montrant l'arrière.
-Yeeaaah ! Merci Axel tu gères !
-Allez, me remercie pas et grouille-toi, j'ai pas envie de me choper un PV moi.
Tout frétillant, Demyx se dépêcha de mettre ses affaires (aussi rapidement que lui permettaient ses valises) et monta à l'avant… sa guitare acoustique avec lui. Axel le regarda embrasser la pochette de la guitare, soupira puis démarra sa décapotable.
Ils roulèrent jusqu'au port sans trop de problème (et oui, si l'on excepte le fait que Demyx ait voulu jouer de sa guitare dans la voiture, le trajet s'était plutôt bien passer), se garèrent et sortirent leurs affaires. Demyx ouvrit de grands yeux en voyant le paquetage de son ami.
-Mais comment veux-tu vivre pendant 1ans, avec si peu d'affaires ?
-Vois-tu, comparé à certains énergumènes paresseux en manque de cellule grise, je pense bien m'acheter des vêtements pendant le voyage, et ne suis pas assez fou pour prendre mes trois guitares. Se moqua Axel.
-Hé ! Ça va hein ! Je peux pas survivre sans mes grattes moi !
Il le défia du regard, puis partit avec ses « bagages » dans les bras, sous le regard amusé de son meilleur ami.
Et alors que lui-même se mettait à avancer, un énorme « BOUM ! » le fit sursauter. Il tourna la tête vers la source du bruit (tout comme Demyx d'ailleurs) et écarquilla les yeux d'horreur.
Alors alors?
A votre avis, qu'est-ce que ce "BOUM!" qui fait si peur à Axel mais rire Vaan (en même temps, lui, un rien le fait rire XD )
Si possible, je voudrais qu'en plus de votre petite review, vous me disiez vos idées de ce que c'est (si vous en avez) histoire que je me marre un peu ;)
Vous avez même le droit de dire que c'est une bombe qui vient d'exploser sur le bateau, rien à foutre ^^
Trouvez des idées inventive, en incluant n'importe quel personnage de KH ou FF, c'est vous qui voyez, moi je suis preneuse.
Et qui c'est, peut-être que vous aurez raison ;)
J'attends avec impatience des reviews de votre part concernant cela et des commentaires sincères sur ma fic ^^
