Voici donc le premier chapitre de ma première « potterfiction » ! J'ai bien avancé dans l'histoire mais je ne l'a publierais entièrement que si elle vous plait !

Alors, n'hésitez pas ! Reviewez ! Reviewez !

L'histoire se déroule lors de la sixième année de Harry. Je vous jure que je n'avais pas lu le livre quand je l'ai commencé et que je n'en tiens pas compte ! Cette année sera aussi la fin des aventures de Harry puisque la fin de Lord Voldemort. Je vais pas tout vous dire non plus ! Vous avez qu'à lire !

Moi c'est Licorne, de mon nom de plume, en hommage à un des personnages de cette histoire…

Les autres personnages…vous les connaissez ! Et j'espère ne pas vous apprendre que c'est J.K. Rowling qui les a inventé !lol !

Harry Potter et le secret de la Licorne

Chapitre1 : Rêve ou prémonition, telle est la question

La rue Privet Drive était, en apparence, une rue normale. Elle se composait de ses maisons se ressemblant toutes comme deux gouttes d'eau, de ses fleurs s'épanouissant ou se fanant au rythme des saisons et des jolies voitures (très coûteuses) de ses propriétaires.

Pourtant, dans cette même rue, au 4 Privet Drive exactement vivait un garçon tout sauf normal : Harry Potter. Bien sûr il fallait le connaître pour le savoir et aucun soupçon sur son identité ne pouvait vous venir si vous ne faisiez que passer devant cette maison (sauf si vous croisiez un vol de hiboux). D'ailleurs, un hibou venait de se poser sur le rebord d'une fenêtre à l'étage. Celle-ci s'ouvrit et le hibou rentra naturellement, comme s'il n'attendait que cela…

-On mange ! s'écria tante pétunia.

Harry posa la lettre qu'il venait de recevoir de Mr Weasley et descendit dans la cuisine où le reste de sa famille, sa seule famille (il pouvait le dire maintenant, songea-t-il amèrement) l'attendait. Elle se composait de son oncle Vernon, de sa tante pétunia et de son cousin Dudley Dursley, tous les trois aussi désagréables. Pourtant, ces derniers avaient essayé de faire des efforts après l'avertissement de Tonks, Lupin, Fol-Œil et Mr Weasley à la gare King Cross. Mais le résultat était quand même assez désastreux. Il faut avouer que Harry n'avait pas non plus été d'humeur très conciliante ces temps ci. Depuis la mort de son parrain, il était amer et enclin à s'énerver facilement. Il n'avait même pas répondu aux lettres de ces amis lui souhaitant un joyeux seizième anniversaire. Pourtant, il avait hâte de les retrouver.

-Oncle Vernon, commença-t-il, Mr Weasley va venir me chercher demain matin.

-Mr Weasley ? Pas ce bonhomme roux qui était venu te chercher en passant par la…Hum ! Hum ! Enfin, en passant par… la cheminée ?

Il avait chuchoté cette phrase, si bien que Harry ne la devina plus q'il ne l'entendit.

-Si, c'est lui ! Mais il viendra en voiture !

Le silence régnait à présent dans la cuisine. On n'entendait plus que Dudley en train de mastiquer ainsi que le brouhaha incessant de la télévision, constamment en marche durant les repas. Pétunia avait arrêté de manger, elle regardait son mari avec un air pincé, ce genre de conversation la rendait nerveuse. Puis, semblant réaliser quelque chose, elle se retourna vers Harry et lui dit d'une voix tremblante :

-Ce Mr Weashley…

-Mr Weasley, rectifia Harry.

-Oui, c'est pareil ! J'espère qu'il n'attend pas de nous que nous l'invitions à déjeuner ?

-Non ! Je ne pense pas qu'il n'en ait ni le temps ni l'envie.

Loin de les vexer, ces quelques mots détendirent le couple et la discussion dériva peu à peu vers les perceuses que l'oncle Vernon vendait et les voisins que la tante Pétunia espionnait.

Cette nuit là, Harry fit un drôle de rêve. Il voyait une femme, l'image était flou et il n'aurait su dire à quoi ressemblait son visage, mais il vit que ses cheveux était foncés, sûrement brun, et qu'elle portait une magnifique robe dont les larges manches (il n'en avait jamais vu de semblables) touchaient le sol. Elle marchait, calmement, et se retrouva devant une large porte en bois. Un homme se tenait devant et lui barra le passage. Elle le fixa de ses yeux clairs et murmura quelque chose, le regard du garde se figea alors dans une expression de terreur et il recula laissant la femme entrer. Derrière cette porte, il y avait une vaste salle avec des murs en pierre. Il n'y avait pas de fenêtre mais un immense lustre qui produisait une lumière blanche. La femme jeta un bref regard circulaire et s'arrêta sur un groupe de personnes vêtu de noir qui bavardait autour d'une petite table en bois. En l'entendant entrer, ils sursautèrent et se retournèrent, les uns après les autres. Quand enfin tout le monde l'eu reconnu, ils s'agenouillèrent (leurs visages exprimant un mélange de crainte et de profond respect), tous, sauf un. Elle s'avança vers la personne en question. Il se tenait immobile, droit comme une statut et Harry le reconnu immédiatement. Dès qu'elle fut assez proche, elle le fusilla du regard.

-Alors Lucius, on est sortit de prison ? On se croit supérieur à tout le monde ? On ne me salue même pas ? Ce n'est pas très gentil dis donc !

Elle avait un ton supérieur, presque arrogant. On voyait qu'elle était sûre d'elle et de ses pouvoirs.

-Je n'est qu'un seul maître, et ce n'est certainement pas vous !grogna-t-il.

-Endoloris !

Ce n'était pas la femme qui avait prononcé ce sortilège impardonnable mais un homme, caché dans l'ombre. Lucius tomba à genoux sous le choc de la douleur, il essaya de ne pas hurler mais quelques cris lui échappèrent.

-Pardonnez moi mon maître ! Je croyais que…

-Tu croyais mal !

L'homme avait une voix glaciale et, malgré la dureté de ses propos, mielleuse et arrogante. Il fixa de ses yeux de serpent son serviteur, gémissant au sol, semblant prendre plaisir à ce spectacle. Il resta quelques secondes ainsi, puis, soudainement il se retourna vers la femme qui se tenait toujours au même endroit, les bras croisés, l'air offensé.

-Je n'ai pas besoin de toi pour me faire respecter !

-Mais j'estime que te manquer de respect est un manque de respect envers moi, Licorne.

-Licorne ? Licorne ? Je ne m'appelle plus Licorne mais Jeudusort ! Je suis déjà obligée de prendre mon nom de jeune fille avec tellement de gens alors si toi aussi tu t'y mets !

Elle semblait être sur le point de dire autre chose mais l'homme, qui commençait à s'agacer, la coupa.

-Pourquoi es-tu ici ?

A cette question, le visage calme de la femme devint profondément triste.

-Je suis là pour te demander d'arrêter avant qu'il ne soit trop tard, Tom, c'est le dernier conseil que je te donne. Je vais accepter le poste dont je t'ai parlé et j'habiterais là bas. Je ne veux plus jamais…

Mais alors tout se brouilla, et la cicatrice de Harry, qui le brûlait depuis que l'homme était apparut, brûla de plus belle jusqu'à ce que Harry se réveille, en proie à une douleur horrible.

Harry se réveilla, tremblant. La douleur, au lieu de s'estomper, était plus vive que jamais. La main sur le front, Harry repensa à son « rêve ». Il lui était déjà arrivé de faire ce genre de rêve où il voyait Voldemort lorsque celui-ci ressentait une émotion particulièrement violente : colère, haine, joie…Mais celui là était étrange, d'habitude Harry voyait tout à travers les yeux de Voldemort mais cette fois il avait suivi la scène d'un point de vue extérieur. De plus un nouveau personnage était entré en scène, la femme de Lord Voldemort (décidemment, il avait du mal à ce faire à cette idée !). Il n'avait jamais entendu dire que Tom Jeudusort était marié, pourtant sa femme devait être quelqu'un de connue et de très puissante pour oser lui parler ainsi, car Harry le connaissait assez bien pour savoir qu'il n'avait ni de tolérance ni de pitié pour personne.

Malgré ces troublantes révélations, Harry se rendormit vite. Ce genre de rêve le fatiguait et demain s'annonçait être une longue journée.

Alors ça vous plait?

Je sais, ce chapitre est très court. Les autres seront plus longs.

Le chapitre 2 est déjà tout prêt mais je ne le mettrais que si j'ai assez de reviews ! (Mais c'est pas du chantage !lol !).

A plus tard, j'espère, pour d'autres chapitres,

Licorne