Enfin de retour.

« Enfin... après tout ce temps... j'ai enfin réussi... » s'exclame Frisk, 24 ans, mère célibataire... pour l'instant. Elle peut enfin retourner là-bas, auprès des siens... rien ne peux s'opposer à son bonheur, désormais... est-ce si sûr ? StoryShift AU ! Et Charisk~

Bonjour à tous ! Ceci est ma première fanfiction, alors soyez indulgent , s'il vous plaît !

Et oui, cette histoire se passe dans le monde de StoryShift ! Et bien sûr, du ship (il n'y a jamais assez de ce genre d'histoire) sans plus attendre, je vous laisse lire !

« Plus qu'une... plus qu'une, et je pourrais enfin y retourner... et les revoir... le revoir... »

La lune, haute dans le ciel, éclairait la Terre suffisamment pour que l'on puisse se diriger sans trop de difficultés.

Et en cette nuit de pleine lune, une ombre semblait se déplacer dans le cimentière Ebott, dans le village Eponyme (Pour ceux qui ne le saurait pas, éponyme signifie « du même nom »), au pied de la montagne, là encore, éponyme. Si l'on s'approchait suffisamment, on pouvait distinguer les taits féminin de la figure fantômatique traversant le cimetière.

Cette Jeune femme, répondant au nom de frisk, patrouillait dans la maison de morts en quête d'une chose bien précise... elle semblait scruter chaque tombe, et, quand elle semblait en avoir trouvé une à son goût, elle s'agenouilla devant et marmonnait quelque chose d'incompréhensible pour les observateurs extérieurs. Les gens penserais qu'elle est folle, ou alors qu'elle est tellement occupé dans la journée qu'elle ne pouvait venir ici que la nuit. Mais la vraie raison de sa venue était tout autre.

Les cimetières avaient l'avantage d'être déserté la nuit, et le calme y régnant est éternel.

Frisk, une fois son récit terminé, restait quelques secondes ainsi positionné, avant de se relever avec un grognement de frustration. L'impatience la gagnait. Elle était si près du but. Elle ne pouvait plus attendre de retourner voir sa famille. Sa vrai famille. Mais avant, elle devait accomplir cette mission à bien.

Alors que l'Aube commença à pointer le bout de son nez, frisk s'arrêta devant une dernière tombe, et repris son récit. Elle sembler demander à la tombe une requête, puis s'expliqua en racontant son passé, et son but. Mais à chaque fois, seul le silence lui répondait.

Son impatience commença à prendre le dessus, et le désespoir commença à la gagner. Des larmes commencèrent à couler sur ses joues, et s'agenouillant, elle supplia la tombe.

« Je... je vous en prie... aidez-moi... ils me manquent tous terriblement... et je voudrais tant qu'ils soient libres... pouvoir enfin voir le soleil... sentir le vent contre leur peau.. enfin os pour certains.

Et surtout, surtout... je voudrais le revoir... lui... j'aimerais tant le revoir... et j'aimerais tant... qu'ils se rencontrent enfin... à chaque fois qu'elle me pose des questions sur lui, je ne peux pas m'empêcher d'être triste... s'il vous plaît... donnez-là moi... »

Mais une fois encore, le vent continuait de souffler impitoyablement. Et alors que la tristesse de frisk semblait l'envelopper, une étrange lumière verte apparu au niveau de la tombe.

Redressant le tête, ses larmes séchant et un sourire jusqu'au oreilles, elle pris cette douce lumière

entre ces mains. Cette lumière émanait d'un étrange objet flottant, en forme de cœur.

« M-Merci... ô merci... vous... vous ne serez pas déçus, je vous le promets... je vais m'occuper de votre âme...»

elle sortie de son sac beige, qu'elle avait posé à sa droite, une sorte de bocal, dans lequel elle plaça L'âme verte, qu'elle rangea ensuite dans son sac.

Ce grand sac, contenait 6 autres bocaux, tous contenant un cœur de différentes couleurs.

« 1...2...5...6... et 7 ! le compte est bon ! »

Elle se releva brusquement et sorti du cimetière en trombe, sous le regard surpris des premiers arrivants de la journée, l'aube s'étant bien avancée.


Une fois chez elle, elle ouvrit puis ferma délicatement la porte en faisant bien attention à faire le moins de bruit possible, puis, après avoir posé son sac, sorti les bocaux et les plaça un à un sur la table du salon.

La maison n'était pas très grande, mais cela était suffisant pour y vivre à 3, même si actuellement ils ne sont que 2. La porte d'entrée donnait directement sur le salon, tandis que sur le coté, l'escalier menait à l'étage où se trouvait deux chambres.

Frisk s'asseya sur une chaise puis se mit à contempler les Âmes une par une. Elles les avait toutes récupérés dans les cimetières de la région pendant ces six dernières années. Six trop longues années.

Mais après tout ce temps, la phase un de son plan était enfin complétée. Elle pouvait maintenant enclencher la Phase deux, sa préférée.

« Enfin... » pensa-t-elle. « je peux enfin... y retourner... ahaha ! »

« OUI ! ENFIN§ J'AI REUSSI ! » cria-t-elle.

Mais aussitôt cela prononcé, elle se couvrit la bouche, espérant que personne n'ai entendu, tout spécialement elle.

Après avoir écouté quelques instants, Elle soupira de soulagement en ne remarquant aucun bruit, puis s'affala sur son canapé, épuisé de son escapade nocturne et laissa le sommeil s'emparer d'elle.

« Maman ? Maaaman ! Réveille-toi ! Il est l'heure! »

Frisk se réveilla soudainement, sentant que l'on la secouait. Elle ouvrit les yeux et s'aperçut immédiatement de son réveil. En effet, une petite fille était assise à coté d'elle, entrain de la secouer

et de lui dire de se réveiller.

« oui ! C'est bon, je suis réveillé ! » dit-elle sur un ton joueur. «Quel heure est-il, chérie ? »

« Maman, tu sais bien que j'ai du mal à lire l'heure sur les pendules... mais la grande aiguille a dépassé le 12, je crois que c'est tard, non ? »

« dépassé le d...?! » frisk se leva d'un bond. « flûte ! J'ai dormi trop longtemps ! Tu dois avoir faim ! Pourquoi ne pas m'avoir réveillé plus tôt ? »

« bah.. tu avais l'air si paisible... comme tu dors mal en ce moment, je ne voulais pas te déranger... »

dit-elle, culpabilisante.

« oooh... tu es adorable. Merci pour cette attention, mais tu sais, je vais bien... allez, va dans ta chambre et descend le sac que j'ai préparé. »

« ce sac ? Ça veut dire que... » la petite fille poussa un cri d'exitement et commença à sautiller sur place. « on y va ?! Ça y est ?! On va enfin aller dans L'Underground, rencontrer tout le monde et...et... voir papa ?! »

« oh que oui ! Tu verra, tu va adorer cet endroit ! », partageant la joie de sa fille.

La jeune fille filla directement vers sa chambre, montant l'escalier à une vitesse fulgurante !

« j'ai hâte d'avoir autres choses que des humais comme compagnie ! »

Ce commentaire doucha un peu l'enthousiasme de frisk, mais bon, que voulez-vous ? Elle y était habituée.

-Mont Ebott-

« regarde ! Juste ici ! La caverne ! » fit remarquer frisk à sa fille.

La caverne disposait d'un grande entrée, qui, malgré sa taille, étaient difficilement distinguable dans la végétation. Cette caverne n'était pas très profond ni très haute. Par contre, elle était basse. Très basse. Car un milieu de cette caverne, entouré par des lianes, se trouvait un immense trou, dont la profondeur était tel que l'on ne pouvait pas voir le fond. Frisk s'arrêta au bord du trou et regarda à l'interieur.

« Et voilà... après tout ce temps... j'y suis revenu... »

sa fille, elle, semblait plutôt nerveuse, presque effrayé. «euh... tu... tu es sûr que l'on doit s-sauter dedans... ? ça... paraît profond... »

« ne t'inquiète pas, ce n'est pas si profond qu'il n'y paraît. » puis ele s'agenouilla devant sa fille, et ajouta, en la regardant dans les yeux : « Charisk (désolé, je n'avais pas d'autres idées), écoute-moi. Tu sais que maman t'aime, très fort n'est-ce pas ? Qu'elle ferait tout pour te protéger, et ne te ferait pas prendre de risques inutiles, n'est-ce pas ? »

Cette dernière acquiesca de la tête énergiquement.

« très bien. Donc, tu peux faire confiance à maman, quand elle te dit que ce n'est pas dangereux. »

Frisk détestait mentir, surtout à sa propre fille. Mais c'était le seul moyen pour qu'elle accepte de sauter.

« Qu'est-ce que je suis entrain de faire ? Je demande à mon enfant de sauter dans un trou de plusieurs mètres, qui peut se révéler fatal. Suis-je folle ? »

elle fut interrompue dans ses pensées par quelqu'un tirant sur son shirt.

« qu'est-ce qu'on attend, alors ? »

La volonté de Charisk pour effectuer ce saut la surpris grandement. « Mais d'un certain coté, elle a toujours été très déterminée. En même temps, elle a de qui tenir...»

elle prit sa fille dans ses bras, puis fit dos au trou.

« j'espère que je ne suis pas entrain de faire une grosse erreur... » pensa-t-elle. Elle regarda une dernière fois sa fille. « prête ? »

« prête » répondit-elle sans hésitation. Et avec ça, elle se laissa tomber en arrière, plongeant dans les abysses de la montagne.