Bonjouuuuur! ^-^

Voilà, c'est ma première fic, du moins la première que je poste sur ff .net donc si quelqu'un passe par ici et lit ces mots: s'il vous plaît, soyez indulgents! ^^' Surtout que personne ne l'a relu...

Genre: romance, yaoi (relation entre hommes)

Rating: T, pour un langage peut-être un peut violent parfois... Enfin, pas dans le premier chapitre je crois. ^^'

Disclaimer: CSI ne m'appartient pas, évidemment, je crois que vous êtes au courrant! Sinon, l'histoire est de moi et aussi trois personnages que j'ai inventés qui apparaîtrons plus tard...


Prologue

"-J'arrive pas à y croire...

-Hm?

-Que tu te sois marié...

-Nick, je...

-Et pire!

-Nick...

-Que tu ne m'ais rien dit!

-Nick!

-Au moins en tant qu'amis...

-Nick, putain...

-Non mais sérieusement tu...

-Nick, bordel de merde, tu vas m'écouter?

-Quoi!

-Je ne te l'ai pas dit parce que je n'en ai pas eu l'occasion!

-Et les portables? Tu sais, l'invention révolutionnaire pour appeler ou envoyer des messages...

-Je ne l'ai pas fait pour les autres je ne vois pas pourquoi...

-"Je l'aurais fait pour toi", n'est-ce pas? Tu ne vois vraiment pas?

-Nick, tu le sais très bien: on ne se doit rien. Tu ne représente pas plus que les autres à mes yeux et puis je comptais vous l'annoncer, c'est juste que j'ai pas eu le temps de le faire."

Alors là, c'en est trop. Je suis au bord des larmes. Mais pas question de le montrer à l'autre salaud.

"-Ouais, t'as entièrement raison, on ne se doit rien. Rien de plus qu'avec les autres. Alors on arrête.

-Quoi?

-Tu m'as très bien entendu. On arrête tout. Désormais, nous sommes de simples amis. Oh, désolé, j'avais oublié, c'est ce qu'on a toujours été n'est-ce pas?

-Nicky, le prends pas comme ça...

-Ne me touche pas!" J'essaye de me calmer, respire à fond. Je ne dois pas pleurer. "Arrête la voiture.

-Nick je...

-Arrête la voiture, je veux descendre.

-Nicky, s'il te plait, calme toi! C'est ridi...

-ARRÊTE CETTE PUTAIN DE VOITURE!

-Ok, mais calme toi, s'il te plait. Laisse-moi au moins te ramener chez toi.

-Pas la peine, je vais prendre un taxi. Au revoir mon POTE, à demain."

Et voilà. Après un dernier regard, l'autre part en me laissant au bord de la route. D'accord, c'est moi qui ais insisté pour descendre, mais c'est pas une raison! Et puis il aurait au moins pu me ramener chez moi... Ou insister un peu plus! Bon, d'accord, je suis pitoyable: c'est moi qui lui ai dit de partir. J'aurais seulement voulu qu'il ressente vraiment quelque chose pour moi, quelque chose de plus que de l'amitié. Après tout, ça fait bien trois ans qu'on est ens... Enfin, un peu plus qu'amis et ça fait trois ans que je supporte cette fameuse phrase: "On ne se doit rien, tu couches avec qui tu veux, je couche avec qui je veux, compris?" Ah. Je ne me suis pas présenté. Avec tout ça, j'ai oublié l'essentiel: Nick Stokes, police scientifique de Las Vegas. L'autre connard, c'est Warrick Brown. Je suis sûr que vous vous en fichez royalement mais je suis bisexuel, ce qui explique je me sois retrouvé à sor... A coucher avec mon meilleur ami. Sauf que, même si j'aurais bien aimé que l'on soit plus que des "sex-friend", lui a continué à avoir des petites amies, des relations concrètes avec d'autres filles et il s'est finalement marié. Mais le pire sûrement, c'est que, outre le fait qu'il ne m'ait pas prévenu de son mariage, moi, son soit-disant meilleur pote, il n'avait même pas l'intention d'arrêter notre... "relation", si je puis dire. Et finalement, on s'est disputés... Oui, bon, d'accord, je lui ais gueulé dessus et je suis sorti de la voiture en laissant mon sac dans son coffre. C'est à dire: pas de portable, pas de fric, pas de clefs de maison ni de voiture... Je vous entend de là "mais il est débile ou quoi? Il aurait au moins pu garder son téléphone et ses clefs!" Mais c'est vrai, je fait souvent des choses stupides comme celle-ci. J'entend klaxonner derrière moi et par un pur réflexe humain complètement idiot me retourne pour voir mon ex-pas-vraiment-ex-parce-qu'on-était-pas-vraiment-ensemble-d'après-lui ralentir à côté de moi.

"-Aller Nick, fait pas l'idiot, monte, je te ramène à la maison."

J'hésite quelques secondes mais je fini tout de même par monter.

"-Je te préviens, ça ne veut pas dire que je t'excuse ou qu'on continue notre... amitié et plus si affinité."

Il ricane. Il se foutrait pas un peu de ma gueule là?

"-Bien sûr chaton."

Oui je confirme, il se fout bien de ma gueule. C'est quoi ces airs étonnés sur vos visages? C'est le surnom? C'est vrai que je vous ai pas dit. Ce mec semble prendre un malin plaisir à me faire espérer et il n'est pas modeste sur les mots doux, croyez-moi. Enfin, en privé, évidemment. Mais ce n'est pas comme ça qu'il me mettra dans son lit. Pas cette fois. Alors je me tourne vers la vitre et je ne prononce plus un mot jusque chez moi.

Donc, je me prépare à sortir de la voiture mais je me rend compte qu'il vient d'éteindre le moteur et qu'il commence à sortir.

"-Qu'est-ce que tu fous là?

-Je te ramène chez toi, quelle question.

-Je croyais avoir été clair. C'est fini Warrick.

-Nick, sérieusement je...

-Non. Je refuse de me faire avoir encore une fois. Et puis t'as une femme non maintenant? Je suppose qu'elle sera entièrement capable de te satisfaire comme il se doit.

Sans attendre sa réponse, je récupère mon sac et traverse le parking. Je ne peux plus retenir mes larmes alors j'accélère le pas. C'est à se moment là que je l'entend m'appeler. Il est tout proche mais je ne dois pas me retourner. Si je le vois maintenant je vais sûrement replonger. parce que Warrick est ma drogue. Parce que je l'aime depuis tellement d'année maintenant. Il ne reste plus que quelques petits mettre à parcourir lorsque je sens une main attraper mon bras. Je ne veux pas qu'il me voie aussi pitoyable alors je baisse la tête mais il relève mon menton et alors je cède. Je me jette dans ses bras et continue de pleurer. De son côté, Warrick caresse mes cheveux en me chuchotant que tout ira bien. Mais je sais bien que c'est un mensonge. Et soudainement, comme si je me réveillais, je le repousse et cours jusqu'à mon immeuble. Avant de claquer la porte, je murmure plus pour moi que pour lui:

"-C'est faux. Tout ira mal et tu le sais. C'est fini. Fini."

Puis je monte chez moi à toute vitesse, prend la peine de fermer ma porte à clef et me jette sur mon canapé. Je pleure à chaudes larmes. Je ne saurais dire combien de temps je restais là à pleurer mais je fini par m'endormir.


Voilà, c'était le prologue!

Juste pour prévenir, les chapitres ne seront jamais plus long que ça!

Dites-moi ce que vous en pensez, même si c'est pour me dire que c'est nul! =D

Byyye! ^-^