Disclaimer : Le manga Hetalia ainsi que les personnages ne m'appartiennent pas. Je ne fais que les emprunter
Publicité pour les cuisines Mobalpa.
Casting : La Face Family, avec América, alias Alfred, Canada, alias Matthew, England, alias Arthur, et France, alias Francis.
Bon visionnage...
La cuisine, on peut y travailler
Les deux enfants blonds, l'un à la mèche rebelle, et l'autre avec une mignonne bouclette, arrivés récemment de l'école, se dirigèrent vers la cuisine. Le plus calme s'installa à la table façon moderne, et sorti son livre de maths de sixième, s'attaquant à ses devoirs. Son frère , lui, balança son cartable contre le frigidaire, étalant toutes ses affaires sur le sol. Il chercha dans son bazars un cahier à moitié déchiré ainsi qu'un stylo mâchouillé de tous les côtés. Il se rendit alors compte qu'il avait oublié quelque chose…
« Matthi, tu peux me prêter tes maths ? J'ai oublié mon livre. »
Il souriait comme un idiot. Matthew poussa un long soupir et répondit à son stupide frère :
« Je suppose que je n'ai pas le choix. Viens à côté de moi. J'en ai aussi besoin.
- Youpi! Je t'aime bro '! »
Il s'installa bruyamment à la droite de son jumeau (l'autre côté était occupé par son ours en peluche).
Le pauvre Matthew eut vraiment du mal à travailler. C'était la dernière fois qu'il donnerait un coup de main à son frangin.
On peut y jouer
Les deux petits avaient faim. Le collège avait été fatiguant, ce jour-ci. Ils se dirigèrent vers la cuisine, dans l'espoir de chiper un ou deux biscuits… Mais de drôles de bruits se firent entendre : des gémissements, des grognements, une table qui bouge et qui grince. Ils s'arrêtèrent net devant la porte. Puis la voix de leur père français résonna jusqu'à leurs oreilles :
« Alors, mon lapin ! Il te plaît mon jeu ! Tu vois que je suis meilleur en pratique que en théorie ! »
S'en suivit alors d'un cri de jouissance de leur dady.
« Je crois qu'on va attendre ce soir pour manger... » proposa Matthew, rouge de honte après avoir entendu ces choses choquantes.
Alfred, qui ressemblait aussi a une tomate,, acquiesça, et ils montèrent discrètement dans leur chambre.
On peut y connaître ses premières angoisses
L'heure du thé, la chose la plus importante dans le monde pour un britannique.
Arthur était confortablement installé sur une chaise de la cuisine, tasse de thé et scones devant lui, journal en main.
Pour une fois la maison était calme… mais ce moment de tranquillité n'allait pas durer : d'un coup, un Francis sauvage déboula, un immense sourire aux lèvres. Voyant son amant attablé, il lui sauta dessus et s'écria :
« Mon lapin ! Je suis enceinte !
- Mais… mais… mais… bredouilla ledit lapin. Mais c'est impossible, puisque c'est toujours toi qui fini par me dominer ! »
On y crée
Encore une journée de travail. Francis était fatigué. Il allait rentrer, s'affaler comme un bourrin dans la cuisine, et se servir une bonne tasse de café serré.
Mais une fois passé la porte d'entrée, quelque chose attira son attention
« Matthie ! Encore un pancake ! Vas-y balance ! Ouais ! Dans le mille ! »
Ses fils… dans la cuisine...Le barbu se précipita dans la pièce où se trouvait les jumeaux. Et là, il vit une immense pile de pancakes bancale, avec au sommet une figure de super-man.
Alfred, voyant son papa stupéfait devant une telle création, s'esclaffa :
« Alors papa ! Tu as vu ! Avec Matthi on a créé la tour de Pise version pancake ! Ha ! Ha ! Ha ! Nous sommes génial ! Aïeuh ! »
Francis avait donné une bonne tape sur la tête du petit, dont les larmes ne tardèrent à venir.
« Mais … papa. On a rien fait de mal…Sniff...
– On ne gaspille pas la nourriture ! »
On peut y manger
Ils mangeaient tous les quatre tranquillement (Alfred. Tranquille… C'est possible?). Francis venait d'apporter les crudités préparés par ses soins. À la vue de la nourriture qu'on lui avait servit, Alfred eut une petite moue de dégoût.
« Je veux pas manger ça. C'est pas bon.
– Comment ça c'est pas bon, grogna le cuisinier. Les légumes sont très bon pour la santé !
– Bah attrapes-les si c'est si bon ! »
Il balança le contenu de son assiette sur son papa, éclatant de rire en voyant ce dernier rougir de colère.
« Alfred, monte dans ta chamb... »
De nouveaux crudités atterrirent sur le visage du pauvre Francis qui avait à présent des rondelles de concombres à la place des yeux.
« Qui a fait ça ! »
Les deux enfants se tournèrent vers leur dady. Celui-ci, d'un air narquois, répondit au regard interrogateur de son amant :
« Je ne vois pas pourquoi le petit serait le seul à s'amuser. »
Alors commença une bataille de nourriture dans toute la cuisine dont le français fut la victime. Les pauvres murs à la base blanc finirent constellés de tâches.
On peut y danser
« J'ai pas compris »
Saleté gamin. Il ne faisait aucun effort. Pauvre Arthur. Devoir apprendre la valse à Alfred, ce qui n'était à la base pas très compliqué, s'avérait une tâche presque impossible.
À côté d'eux, Matthiew était debout sur la table, écoutant attentivement son papa, et accomplissait de façon exemplaire tout ce que lui demandait ce dernier. Et il dansait la valse merveilleusement bien.
L'anglais regrettait de devoir apprendre cette danse au plus… chiant (c'est le cas de le dire).
« Allez, Alfred, fait un effort. Il y a trois temps dans la valse. Un, deux et trois.
– C'est bon, je sais compter. Mais c'est pas ça que je ne comprends pas. C'est les pas.
– Un pas chassé et deux petits pas. Tout ça en tournant lentement. Ce n'est pas compliqué. »
Le petit regarda son dady longuement, un air ahuri sur le visage. Puis…
« J'ai toujours pas compris. »
Ce gamin allait le rendre fou.
Et parfois, on y cuisine
Arthur avait disparu. Francis le cherchait dans toute la maison. Il était allé voir dans les chambres à coucher (tiens, les draps étaient à changer), dans la salle de bain, la salle de jeux des gamins, le garage, la cave, la salle de magie, ect… Mais pas de trace de son lapin. Une idée négative lui traversa l'esprit.
« Non. Il n'est tout de même pas dans la cuis…
BOUM
Et si.
Le français couru aussi vite qu'il pu dans la maison, et arriva enfin dans sa Sainte cuisine. Les murs, le sols, les meubles. Tout avait été carbonisé. L'anglais se trouvait au centre de la pièce, encore étourdi par l'explosion.
Ce fut un grand choc pour Francis. Il attrapa les épaules de son amant, le secoua comme un prunier, puis le regarda sévèrement dans les yeux, et l'engueula :
« Qu'as-tu fais à ma belle cuisine Mobalpa !
– Roh, ça va. Le slogan c'est pas ''parfois on y cuisine'' ? Et bah moi, c'est ce que je fais, je cuisine. »
Une lueur démoniaque apparu dans le regard du barbu. Ça ne sentait rien de bon pour le blond aux gros sourcils.
Il fini attaché au lit tout le reste de la soirée, et dû subir les fantasmes les plus terribles de son amant. Pauvre lapin. Il allait finir avec un beau mal au cul. Honhonhon…
Mobalpa, parfois on y cuisine, mais ne jamais laisser un anglais le faire. Par contre, cuisinez-le, ce lapin...
Première publicité terminé.
A suivre : haribo
Et je remercie la face family de s'être prêté au jeu. Même si ça a dû être dur pour notre cher Arthur (M'en parles pas. Je n'ai pas pu m'asseoir pendant deux jours à cause de tes conneries - Et ça y est. Faut que tu te plaigne, encore et encore. - Parfaitement, nightmarish lassie ! -Mais arrête avec ce surnom, Kaoc'h !)
