Légende des 4 sorciers
par Yokas 78Prologue
C'était le jour de la rentrée, les vacances d'été s'étaient passées sous haute tension. Cela allait faire 2 ans que Voldemort était de retour et plus fort que jamais. Tout le monde sorcier était sur ses gardes. Les grands lieu du monde magique étaient remplis d'Aurors pour assurer la sécurité des sorciers. Le Poudlard Express ne faisait pas exception.
Dans la locomotive rouge, les élèves de Poudlard étaient silencieux, étrangement silencieux. Beaucoup d'entre eux avaient des amis ou des proches qui avait été tuer par Voldemort et ses mangemorts. On pouvait voir des groupes d'élèves discuter de l'actualité et des personnes qui n'était malheureusement plus là.
Peu de personnes le savait mais il y avait dans ce train une arme contre cette horrible terreur. Quatre jeunes qui détient en eux une puissance extraordinaire, cependant ils ignorait.
Chapitre 1 : Le matin de la rentrée
Harry fut réveillée par Ron qui le secouait et lui criait :
Vite on va être en retard!!! On part dans 5 minutes!!!
Quoi ? On n'a pas été réveillés ? dit-Harry d'un ton ensommeillé. Quoi 5 minutes, reprit-il terrifié
Il se leva en trombe sans prêter aucun attention à ce qu'il portait. Justement il n'avait sur lui qu'un boxer noir. Puis il se retourna et vit toute la famille Weasley, mais vraiment toute, Molly, Arthur, Bill, Charlie, Percy et les jumeaux étaient là, assis sur le lit de Ron. Il put voir Hermione s'asseoir sur les genoux de Ron. Ils possédaient tous un petit sourire machiavélique aux lèvres.
Super Boxer, tu l'as acheté où, dit Bill d'un ton amusé.
C'est vrai je veux le même, firent en cœur Fred et George.
Le sport t'as bien modelé, entendit-il.
C'était Ginny, il sentait son regard qui le fixait de bas en haut. Ginny avait énormément changée en 2 ans. Ce n'était plus la petite et timide Ginny. Mais une superbe jeune femme qui le faisait fondre. Elle avait appris à jouer de ses formes généreuses, c'était une vrai experte. Quand il se rendit compte qu'il a regardait trop intensément, il se mit à rougir. Ginny s'exclama alors :
Harry Potter rougit devant moi. Je ne croyait pas voir cela un jour.
Harry s'approcha de Ginny, la regarda droit dans les yeux et lui répondit par un baiser passionné.
Ce n'était pas devant toi que je rougissait mais devant le reste de ta famille qui eux non pas l'habitude de me voir dans cette tenue. Tu sais très bien que tu en as déjà vu plus, fit-il nonchalamment regardant le plafond.
On put alors voir Ginny devenir écarlate et dire :
Je vous jure qu'il rigolait. Hein!! Harry !!! répliqua l'intéressé, donnant un coup de coude à Harry.
Tu ne disais pas ça la dernière fois, murmura-t-il mais dans un murmure suffisamment audible pour être entendu de tous.
Quoi tu rougie aussi, s'exclama Harry le poing en l'air. J'ai gagné.
Bon il faut bien se nourrir avant de partir, intervint Molly.
Puis-je m'habiller avant, demanda Harry.
Biensûr, mon petit.
Maman, j'arrive dans 2 minutes, moi et Harry devont avoir une discussion, dit Ginny.
Mrs. Weasley lui fit un sourire malicieux et s'en alla les laissant seul. Ginny se retourna vers Harry :
On est enfin seul. Harry sais tu quel jours nous sommes ?
La premier septembre le jours de la rentrée pourquoi, répondit-il d'un air innocent, un sourire naissant sur ses lèvres.
Non, fit Ginny faussement vexer. Ca va faire 3 mois que nous sommes ensemble.
Il se rapprocha de Ginny, prit ses hanches entre ses mains et l'attira vers lui. Puis ces bras vinrent ensuite s'enrouler autour de sa taille. Leurs deux corps étaient si proche que l'on aurait put dire qu'il ne faisait plus qu'un. Enfin leurs lèvres se touchèrent pour ensuite laisser place à un long et fusionnel baiser.
Ils furent interrompus par l'arrivée de Ron qui ne prit pas la peine de frapper avant d'entrer :
Harry met un pantalon et arrête un peu de bécoter ma sœur. T'aura tout le trajet du Poudlard Express pour le faire.
Tu peut te taire. Toi et Hermione aviez l'air de bien vous amusez dans le fond du jardin.
Ron prit une moue offusquée et partir claquant la porte derrière lui.
Ginny je sais que tu aimerais rester mais si tu es là je ne pourrai m'empêcher de te sauter dessus.
Pour finir il lui fit un doux baiser et Ginny parti.
Dans un grand manoir, une chambre sombre, un petit filet de lumière or traversant de grands rideaux velour noir. Il terminait sa course sur le visage pâle d'un jeune homme. La jeune fille assise à côté de lui le regardait depuis un long moment. Puis il bougea, ouvrit les yeux, la regarda et pour finir, prit le visage de la jeune fille dans ses mains et l'embrassa fougueusement. Elle lui rendit mais cependant il était encore plus passionné. Il la fit basculer sur le lit, lui prit les poignets et la plaqua contre le matelas. Il les recouvrit de la couverture. Il l'embrassa dans le cou, descendant lentement vers son ventre…
Levez-vous monsieur, monsieur c'est l'heure, vous allez être en retard, c'est aujourd'hui la rentrée !! dit l'elfe de maison pencher au dessus de son lit.
L'adolescent encore endormis se leva et tenta de se remémorer le visage de la demoiselle de son rêve. Mais il était caché dans une légère ombre. Il ne pouvait se rappeler que ses yeux, d'un vert intense qui entourait un anneau de feu marron rougeâtre.
Il se mit alors une claque mentale et décida d'aller prendre une douche. Il s'enferma dans la salle de bain, regarda dans le miroir, il y voyait ce jeune homme de 16 ans, blond au yeux bleu. Il enleva son boxer noir et se mit dans la douche. Il alluma l'eau chaude, ferma les yeux et entre dans un rêve éveillé. Il revit soudain cette fille, elle était assise sur le lit, la tête dans ses mains, les genoux remonté sur la poitrine. Elle était secoué par des sanglots. Il s'approcha d'elle sans rien dire. Il voulut la prendre dans ses bras mais elle le repoussa et s'écria :
- Lassez moi !!!
Soudain il sentit la froideur du carrelage sur son doux visage et sortit alors de son rêve. Il entendit un cri qui lui glaça le sang, c'était le cri de sa mère. Il descendit précipitamment les escaliers pour y voir sa mère étendu, une mare de sang l'entourant. Son père était là, un poignard à la main, un sourire maléfique aux lèvres et un regard dément. Il regarda son père, sa mère puis le poignard ensanglanter seul lien entre ces deux être. Il repartis sans un mot la haine l'envahissant peu à peu puis fini le chemin jusqu'à sa chambre en courant, les larmes roulant sur ses joues. Il le haïssait.
Quelques heures plus tard, il fit ses bagages, descendit les escaliers, fit un doux baisée sur la joue froide et sans vie de sa mère, sorti du manoir quitta le jardin et regarda pour une derniers fois son ancienne vie. Il allait donc la quitté a jamais.
A quelques kilomètre, une jeune fille se réveillait, elle était en sueur. Elle avait passé une nuit très agité. Elle possédait la rare capacité de s'introduire dans les rêves mais elle détestait cela. Pourtant la nuit dernière, elle était entrée par accident dans les songes d'un jeune Homme. Cependant c'était inhabituel, jamais elle ne s'était autant impliquée. Elle s'était retrouvé dans une chambre inconnue fixant ce jeune homme qui dormait à côté d'elle. Elle ne savait pourquoi mais ce jeune garçon l'attirai bien que son visage lui soit flou. Il commença alors à bouger et se retourna vers elle, lui sourit et lui fit un baiser. Elle avait l'impression de le connaître depuis des années et se questionna sur la signification. Car depuis son enfance on ne cessait de lui raconter qu'elle était l'un des élément du très importante légende qui pourrait sauver le monde et qu'un jours des signes arriveraient. C'est pour cela que depuis l'âge de 3 ans elle pratiquait la magie intensivement. Son père adoptif n'avait pas son mot à dire, il l'obligèrent même à déménager par mutation du département relation moldue/sorcier français au britannique, cette année pour la rapproché de la protection de Dumbledore et pour réunir les autres éléments de la légende. Elle allait donc aujourd'hui prendre son train et commencé une sixièmes année a Poudlard.
Aloésia Duchet, telle était son nom, prit et ouvrit le livre qui était posé sur son bureaux " La légende des 4 sorciers ". Elle l'avait lu des millions de fois, il parlait de cette légende dont elle devait être une des instigatrice. Elle commença à la lire la préface :
" Au temps de Merlin, il y avait quatre autres personnes de grande importance dans le monde magique et moldu. Lancelot, Guenièvre, Arthur et Morgane qui étaient de puissant esprit et qui assemblé et unit dans une futur incarnation formerait la plus grande énergie magique de l'univers. Cette puissance pourra démettre, dans les prochaine années sombres, de ses pouvoirs tout individu maléfique. Ils pourront chacun être reconnu grâce à un objet ayant appartenu un l'une de ces légendes. Ils devront être réunis et initiés avant la pleine lune de mi-mai où les ténèbres s'abattront sans aucun espoir de victoire.
Telle est ma parole, Merlin "
Elle entendit son père l'appelé, referma le livre et descendit les escaliers. Tout ses valises était dans le coffre de la voiture, il ne manquait plus qu'elle.
Elle allait enfin rentrée à Poudlard.
