Disclaimer : rien n'est à moi, tout est à Takeshi Obata et Tsugumi Oba.
Avertissement : après maintes hésitations entre un rating T et M, j'ai préféré mettre M. LightxL, donc homophobes s'abstenir.
Note de l'auteur : une petite fanfic écrite pour me changer les idées après avoir vu la fin de Death Note… n'ayant vu que l'anime, je ne sais absolument pas si mon texte respecte le manga (qu'il faudrait absolument que je me procure, au passage.) Désolée d'avance si ma fanfic présente des contradictions avec l'anime, mais je n'ai pas regardé une deuxième fois le passage qui correspond à la période à laquelle se déroule mon histoire.
Bref, c'est un petit LightxL de trois chapitres. L est nommé Ryuzaki, parce que L, à l'écrit, ça le fait pas trop TT
J'ai remarqué l'absence totale de scénario plein de rebondissements dans cette fanfic… et alors ? Le scénario est assez complet dans l'anime, pas besoin d'en rajouter une couche. De plus, j'ai remarqué que ma fanfic oscille entre romance (moi qui déteste les trucs mièvres et guimauve...) et drame, peut-être, et un peu humour sans doute…
Cette fanfic a été écrite peu avant que je ne pense à la publier sur ce site, et j'avoue qu'elle présente des points communs avec des fics déjà présentes... ce n'est pas volontaire du tout mais moi-même ça me dérange (raison pour laquelle j'ai hésité avant de la publier.) Si ça offense quelqu'un, et bah...
N'hésitez pas à reviewer, que les critiques soit positives ou négatives elles servent toujours ! (ou pas.)
La première scène se déroule après la fin de l'épisode 17, lorsque Light apprend qu'il va être enchaînée à L vingt quatre heures sur vingt quatre. Dans cette histoire, ils reprennent immédiatement le travail, commençant cette nouvelle vie enchaînés l'un à l'autre.
CHAIN OF HOPE
Partie 1
Son poignet commençait sérieusement à l'élancer. Malgré tout, Light se forçait à afficher un air détendu, pianotant nonchalamment les touches de l'ordinateur. Chacun de ses gestes faisait cliqueter la chaîne, lui rappelant qu'il était, malgré les apparences, toujours prisonnier de Ryuzaki. Il ravala ses soupirs. Il trouvait cette solution excessive. Et encore, ce n'était que le début. Il jeta un regard dépité sur sa montre. Deux heures. Deux heures qu'ils étaient liés l'un à l'autre, et il avait déjà l'impression que cela durait depuis des mois.
Il entendit un tintement résonner. C'était le douzième en deux heures. Agacé, Light concentra ses esprits sur l'écran de l'ordinateur, ignorant Ryuzaki qui mangeait une part de tarte à la fraises, la bouche barbouillée de crème Chantilly. C'était… révoltant, de songer qu'un tel détective puisse se laisser aller ainsi.
-Light, tu as faim ?
Light jeta un regard dégoûté à l'assiette remplie de sucreries que Ryuzaki tenait précautionneusement entre deux doigts. Rien que de voir tout ce sucre et d'imaginer le nombre de graisses saturées que contenait ces gâteaux, il avait envie de vomir. Il déclina l'offre d'un simple hochement de tête.
-Comme tu voudras.
Ils continuèrent ainsi leur travail, Light plongé dans un mutisme obstiné, Ryuzaki s'empiffrant tour à tour d'une boîte de macarons, une part de tarte à la fraise et trois éclairs au chocolat, avant de se servir un café dans lequel il laissa tomber une bonne dizaine de morceaux de sucre. Le plus désagréable pour Light était que chaque geste du détective faisait glisser la menotte étroitement fermée autour de son poignet gauche, et que cela dérangeait sa concentration. Ce qui acheva son moral fut un cri qui résonna dans toute la salle de travail, faisant sursauter tous les policiers qui se chargeaient de l'enquête.
« Liiiiiiiiight ! Tu as bientôt fini ? Je veux te voiiiir… »
La voix de Misa Amane lui fit l'effet d'un somnifère surpuissant. Il n'avait même pas le courage de lui répondre, ni même de se tourner vers son visage qui s'affichait sur l'écran principal. Revoir ses grands yeux naïfs et son sourire niais l'insupportait. Il ne savait même plus pourquoi il avait accepté qu'elle le colle ainsi, plus efficace qu'un pot de glue. Elle était très jolie, mais Light s'en moquait éperdument. Elle était gentille, mais ça avait le don de l'exaspérer. Peut-être aurait-il pu tomber amoureux d'elle s'il était un lycéen normal, un peu abruti par les émissions à la télé et étant attiré par les filles…
Quoi ? Mais bien sûr qu'il était attiré par les filles ! Il y en avait une, par exemple, qu'il trouvait assez intelligente et cultivée… comment s'appelait-elle, déjà ? Un truc en Ta… Taka…
-Tagada ?
-Pardon ? s'étonna Light en se tournant vers Ryuzaki.
L'espace d'une seconde, il crut que Ryuzaki avait lu dans ses pensées et cette idée le glaça d'horreur. Ryuzaki lui mit alors sous le nez un objet qui puait le sucre synthétique, rose et mou.
-Je te demandais si tu voulais une fraise Tagada, répéta le détective.
-Oh… non, non merci.
Ryuzaki jeta alors le bonbon dans sa bouche et reprit son travail. Ils n'avaient pour l'instant plus aucune piste sur l'affaire Kira et avaient dû tout reprendre à zéro depuis la libération de Light et Misa, quelques heures plus tôt dans la journée.
Si on pouvait appeler cela une libération… Light avait de plus en plus de mal à taper les quelques mots qui lui restaient, pour terminer ce rapport. Peu à peu, la fatigue qu'il avait accumulée depuis son emprisonnement se fit ressentir, lui picotant les yeux et lui faisant étouffer sans cesse des bâillements derrière sa main. Evidemment, à chaque fois qu'il portait la main gauche à sa bouche, l'habituel cliquetis de la chaîne se faisait entendre et Ryuzaki n'eut aucun mal à comprendre que Light était épuisé.
-C'est tout pour aujourd'hui, dit-il au bout d'un long silence (il devait être aux environs de vingt-trois heures), éteignant son ordinateur. Je suppose que tu as envie d'aller te reposer, Light. Monsieur Yagami, Matsuda, n'oubliez pas de surveiller le comportement de Misa…
Matsuda, qui commençait à émettre des ronflements, sursauta en entendant Ryuzaki. Le père de Light, lui, se contenta d'acquiescer.
-On va où ? s'enquit Light.
Il suivait Ryuzaki dans les couloirs de l'immense hôtel qui leur était réservé, essayant de marcher le plus vite possible pour ne pas être à la traîne. Il trouvait ça très humiliant d'être ainsi traîné par une chaîne, comme un chien, et il ne pouvait s'empêcher d'en vouloir à Ryuzaki d'avoir eu une idée aussi tordue. Mais Ryuzaki était le roi des idées tordues, il avait fini par le comprendre.
Le détective s'arrêta face à une porte et l'ouvrit, dévoilant une chambre spacieuse et respirant le luxe. Light écarquilla les yeux de stupeur devant tant de richesses. Il y avait, entre autre, trois canapés de cuir, une télévision à écran plasma, un lustre de cristal, des rideaux de velours et un plateau rempli de sucreries diverses. Ryuzaki emmena Light dans une salle de bain entièrement en marbre, comportant une baignoire aux allures de piscine et un miroir si large qu'il prenait tout un côté de la pièce. Le moral de Light remonta quelque peu, à l'idée du bain moussant qui l'attendait… mais il s'estompa tout aussi vite lorsqu'une horrible réalité lui traversa l'esprit.
-Ryuzaki… la baignoire est à l'autre bout de la pièce !
-Je sais.
-… la chaîne… elle est trop courte pour que… nous sommes obligés d'être tous les deux dans la même pièce…
-Je sais, répéta Ryuzaki d'un ton narquois. Soucis de pudeur ?
-… non, non, bien sûr ! se défendit farouchement Light.
-La baignoire est assez grande pour deux.
Les yeux de Light s'arrondirent de surprise et il détourna la tête pour masquer son étonnement. Il hésita puis posa la question qui lui brûlait les lèvres :
-On va se doucher en même temps ?
Pour toute réponse, Ryuzaki se contenta de faire couler dans la baignoire de l'eau, y rajoutant une épaisse et onctueuse couche de mousse dont le parfum embaumait la pièce. Pour il retira son habituel tee-shirt blanc et le jeta en boule dans un coin de la pièce. Light fixa obstinément le bout de ses chaussures, décidé à ne pas voir Ryuzaki en tenue d'Adam. Cette idée le faisait frissonner. Frissonner de quoi, au fait ? D'horreur ? Non, ce n'était pas vraiment ça. De quoi, alors ?
-Light, tu viens ?
La voix du détective le tira de ses pensées et Light commença à se dévêtir lentement. Ce n'était pas tant de montrer son anatomie à Ryuzaki qui le gênait, c'était plutôt de le voir, lui, nu. Décidé à accrocher son regard à autre chose que la baignoire, Light se tourna vers le mur, se débarrassant dans le même mouvement de son pantalon… et se rendit compte trop tard qu'il s'était tourné vers le miroir. Ses yeux s'envolèrent instinctivement vers le reflet de Ryuzaki et son cœur fit un bond prodigieux dans sa poitrine. Le jeune homme l'observait lui aussi, le visage froid et impassible, comme à l'accoutumé, la mousse ne couvrant que le bas de son corps –c'était déjà ça. Lentement, Light le dévora du regard, laissant ses yeux remonter le long de son torse. Sa peau lactescente avait l'air particulièrement douce, et Light dut se retenir de tendre le bras pour la toucher… avant de se souvenir que ce n'était qu'un reflet.
« Light, redescends sur terre immédiatement ! C'est juste un... un ami... même pas... »
Une fois entièrement débarrassé de ses vêtements, Light rejoignit Ryuzaki. La baignoire était en effet largement assez grande pour deux, et l'eau chaude lui fit du bien. Mais pourquoi fallait-il qu'il se sente irrésistiblement attiré par la silhouette légèrement arquée du détective ? Il commença à frotter vigoureusement ses bras, lorsqu'une main s'abattit sur son poignet. Ou plutôt, lorsque deux doigts –le pouce et l'index- vinrent le lui saisir avec douceur. Light releva le visage et croisa des yeux noir corbeau, à la fois mystérieux et intimidant, qu'il commençait à connaître par cœur.
-Light, je voulais te poser une question, dit Ryuzaki calmement.
Ils étaient proches, beaucoup trop proches… leurs peaux nues se touchaient presque, et, sans la barrière de mousse, il ne faisait pas de doute qu'ils seraient quasiment l'un contre l'autre. Dans l'ambiance tamisée de la salle de bain, où il régnait une chaleur rassurante et un calme apaisant, cela prenait des allures de…
De scène d'amour dans les films américains ?
Light avait l'impression que son cœur allait crever sa cage thoracique. Il était hypnotisé par les yeux de Ryuzaki, et il avait tant envie de s'en rapprocher encore, juste de quelques millimètres… pourquoi fallait-il que ce qu'il ressentait soit si confus ? Il ne savait pas s'il éprouvait du plaisir ou de la gêne. Peut-être un mélange de deux. Son esprit s'embrouillait. Et Ryuzaki, lui, ressentait-il la même chose que lui à cet instant précis ?
-N'as-tu jamais eu envie de tuer les criminels jusqu'au dernier ?
Cette question le ramena à la dure réalité. Light dut retenir un soupir qui venait du fond de ses entrailles. Evidemment, que lui avait-il pris de s'imaginer qu'être dans une telle posture pouvait faire naître des émotions dans leurs cœurs ? Il posa un regard absent sur les doigts qui entravaient son poignet, l'autre était déjà enserré par une menotte.
-Si, bien sûr, qui n'a jamais voulu ? grogna Light, d'un ton plus agressif qu'il n'aurait voulu. Mais cela ne veut pas dire que je suis Kira pour autant, car entre penser et agir… il y a une différence…
-C'est vrai, admit Ryuzaki en le lâchant.
Puis ils recommencèrent à se laver, chacun de son côté, dos à dos, plongés dans leurs pensées respectives, comme si ce qu'ils étaient en train de faire était anodin et inintéressant au possible.
Comme il fallait qu'il s'y attendre, Light partageait le même lit que Ryuzaki. Il s'agissait d'un magnifique lit à baldaquin, aux draps de soie qui paraissaient n'attendre qu'eux. Sur l'une des tables de chevet était posé une cafetière remplie à ras bord et dégageant une agréable odeur de café, à côté de laquelle avait été bâti un petit château en cube de sucres. Les deux jeunes hommes se mirent au lit, Light couché sur le côté, fermant résolument les yeux et écoutant Ryuzaki se servir un café.
Tchac. Il venait de saisir une tasse.
Glouglou. Il y versa du café.
Ploc. Un cube de sucre.
Ploc. Un autre cube de sucre.
Ploc.
Ploc.
Ploc. Enième cube de sucre.
Light se tourna de l'autre côté et enfonça plus profondément sa tête dans l'oreiller.
Ploc.
Glouglou.
Ploc.
Tchac.
Light, qui voulait juste dormir, se redressa subitement, la fureur mêlée à la fatigue rendant ses yeux noisette particulièrement brillants. Ses cheveux châtains, ordinairement bien coiffés, tombait en désordre devant sa figure, l'aveuglant à moitié.
-Tu ne peux pas faire moins de bruit ? siffla-t-il entre ses dents, observant Ryuzaki qui sirotait son café à la lueur de sa lampe de chevet.
-Dans une pièce aussi calme, c'est impossible d'être silencieux.
Light jeta un regard furieux autour de lui. En effet, il n'y avait pas le moindre bruit ici. Cette chambre paraissait coupée du reste du monde. Ils n'entendaient même pas le vrombissement des voitures qui roulaient, au-dehors. Seule le mince éclat de la lune qui filtrait derrière le rideau leur rappelait qu'il y avait un monde, hors de cette pièce plongée dans la pénombre. Light devina la forme imposante des canapés et il lâcha :
-Si je le pouvais, je crois que je préfèrerais dormir sur le canapé.
Puis il se laissa tomber en arrière. Ryuzaki eut un rire amusé et primitif qui surprit le jeune homme aux cheveux châtains. C'était la deuxième fois que le détective avait ce rire à la limite du rire niais. La première fois, il avait découvert que Light et Misa sortaient ensemble et Light avait eu peur, croyant que… d'ailleurs, il ne savait plus ce qu'il avait cru et il n'en avait rien à foutre.
Il voulait DORMIR.
-Mais merde, Ryuzaki, tu peux pas ne pas faire de bruit seulement cinq minutes ?
-Ce n'est que le premier soir et on dirait déjà un vieux couple, pouffa Ryuzaki en éteignant le lumière et en se lovant à son tour dans les draps.
-…
-…
-Pousse-toi, t'as les pieds froids.
Toute la journée du lendemain, Light attendit avec appréhension le moment où lui et Ryuzaki allaient de nouveau être seuls. Les cernes violettes qui s'étiraient sous ses yeux n'avaient pas passé pas inaperçue et Matsuda l'avait accueilli avec un très peu discret :
-Han lala, on dirait que tu as eu une nuit agitée, Light ! Tu as fini par aller rejoindre Misa-Misa en cachette, c'est ça ?
Light avait poussé un grognement, se retenant d'accuser Ryuzaki qui, lui, était tranquillement accroupi derrière son ordinateur, ses doigts de pieds se frottant l'un à l'autre et les mains occupées à faire tourner une cuillère dans une tasse de chocolat viennois.
-Ne dis pas de bêtise, Matsuda, avait rétorqué Soichiro Yagami. Si tu avais bien surveillé Misa au lieu de t'endormir au bout de cinq minutes, tu saurais que personne ne l'a rejointe ! De plus, comment veux-tu que Light aille la voir alors qu'il est enchaîné à Ryuzaki ?
-Euh oui, vous avez raison, monsieur Yagami, avait balbutié Matsuda, les joues écarlates.
L'après-midi, Light et Ryuzaki allèrent rendre visite à Misa. Ce fut ce jour-là que Light apprit que les coups de pieds de Ryuzaki étaient aussi féroces que sa remarquable perspicacité. Résultat : ce furent couverts d'hématomes et d'ecchymoses que le soir, ils allèrent prendre leur bain quotidien.
-C'est une mousse senteur chocolat, dit Ryuzaki en versant le produit dans la baignoire.
-Génial, grommela Light, observant dans le miroir son bras qui n'était plus qu'un enchevêtrement de bleus.
C'était son bras droit, mais Light refusait de se servir de son bras gauche depuis qu'il était entravé par la menotte et la chaîne. Se mordillant la lèvre pour ne pas grimacer de douleur, il plia et déplia plusieurs fois son bras abîmé et s'aperçut que Ryuzaki le regardait –ou, plutôt, regardait son reflet, mais c'était la même chose.
-J'arrive, lança-t-il au détective, retirant ses vêtements et plongeant dans la mousse senteur chocolat.
Mais bien évidemment, il y avait bien un moment où il n'en pouvait plus et chacun de ses gestes lui donnaient l'impression qu'une main d'acier d'amusait à enserrer son bras. Il ne voulait pas ravaler sa fierté et il gardait la tête haute, une moue de dédain inscrite sur le bas de son visage, mais il en fallait plus pour duper le détective le plus efficace du monde.
-Attends, je vais t'aider, dit Ryuzaki, lui arrachant son gant de toilette des mains et commençant à lui frotter le dos.
Light lui adressa pour toute réponse un regard noir, et il aurait repoussé l'importun si ce dernier n'avait pas été aussi… délicat. Il maniait le gant de toilette à la perfection. Light était si bien, là, avec Ryuzaki qui s'occupait de lui… il sentait son souffle chaud contre sa nuque… il commençait à se détendre et, sans même s'en rendre compte, il ferma les paupières. La présence du détective était agréable, après tout… même rassurante et…
-Kira n'aurait jamais accepté que quelqu'un s'occupe de lui, dit la voix de Ryuzaki derrière lui. D'un autre côté, le Light que je croyais connaître non plus. Tu n'es peut-être pas Kira, mais tu l'as été, j'en suis sûr et certain, et tu l'es toujours au fond de toi-même. J'ai bien vu le regard que tu m'as lancé que tu as vu que j'allais te laver… évidemment, quelle situation gênante pour un tueur en série… mais tu l'as tout de même accepté… est-ce stratégique ?
Et voilà, Ryuzaki venait de tout briser. Pourquoi, ô grands dieux pourquoi fallait-il qu'il pense toujours à Kira et à son enquête ? Il ne pouvait pas se comporter comme quelqu'un de normal, juste l'espace de quelques minutes ?
-Je vais finir de me doucher moi-même, merci, dit sèchement Light, reprenant son gant de toilette.
-Au fait, après, nous allons au restaurant. C'est Watari qui nous emmènera.
-Au restaurant ? Pourquoi ?
-Je vais dans le meilleur restaurant de la ville une fois par mois. A vrai dire, si je n'y allais pas, je n'aurais plus aucun contact avec les humains. Et je ne compte pas changer mes habitudes parce que tu es avec moi. Donc, nous y irons.
To Be Continued...
