Comme je trouvé le nombre de fics sur twillight trop peu nombreuse, j'ai déssidé, sur un cou de tête, dans créer une. Je ne sais rien de mon héroîne ( à par son nom et encore ) ,ni si elle vas finir avec edward ou qq d'autre et encore moin se qu'elle va devenir... Ce n'est pas une suite de twillight, j'emprinte juste un peu les persos.
Grandir… Vivre... Pourquoi? Pourquoi, subir tous cela quand le bonheur n'est qu'utopie, quand la vie est régie par les actions des autres? Qu'est-ce que le bonheur si ne n'est qu'une façade aux tourments internes. Mais, il y tant de chose à faire avant l'éternité…
Le paysage, sage spectateur de mon long voyage, disparais lentement sous le crépuscule. Moi ,immobile depuis tant d'heure, je songe à se que j'aurais fait si j'avais eu le choix. Serais-je ici, dans ce taxi miteux, en route pour une sombre ville baptisée fourchette, à quémandé logis et pitance à un parfait inconnu, seulement parce qu'il s'est nommait McCarty, comme ma mère? Je soupirait, même la rhétorique semblée ennuyeuse.
Je n'avait pas était autorisée a emmener un livre ou que quoi écrire, j'avais donc eu le seule choix de m'occuper grâce à mon esprit surdoué, après avoir compté x fois le nombre impressionnant de foyers, d'orphelinats et de familles d'accueilles qui m'avaient renvoyés, non pas à cause de mon comportement, mais a cause de mon esprit. Je suis plus que surdouée et j'arrive à faire des choses inouï, sans savoir comment. Et comme l'esprit de certains adultes sont obtues, sourtout pour les êtres qui leurs sont différents, j'ai été rejetée. Je parle une bonne dizaine de langues sans avoir eu à les apprendre, j'en ai donc fait tourné en bourrique de nombreuses personnes qui toutes m'avaient dénigrées, ma vengence.
J'avait le maigre espoir de trouver, d'enfin, un foyer où je serais à ma place entourée d'une famille qui m'aimerais. J'igniore ce que je ferais si j'était rejetée ,encore, la mort, peut-être, elle me semblait si douce...
Je tremblais et claquais des dents étant en simple, tee-shirt, jean troué, bien trop grands pour ma frêle stature et nettement pas assez chaux pour la saison et surtout à Forks, la ville ou j'allais. Seul ma longue écharpe, souvenir chéri du passé ou j'avais une famille, semblée adaptée à la froideur nuptial de l' état de Washington. L'orphelinat pourri d'ou je venais avait estimé qu'il en avait déjà assez fait en m'envoyant, j'eu un petit rire, en m'expulsant serais plus adapté, chez cet Emmett McCarty Cullen.
Epuisée, je sombrait dans les bras de morphée…
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