Bonjour à tous et à toutes.
Cela fait plusieurs années que je lis ds Fanficitons et cette fois, je m'y mets.
J'écris ma propre fic. Je vais essayer de publier les chapitres régulièrement (un par semaine). Les premiers étant déjà écrits, seront disponible très vite.
Je précise que certains personnages, notamment l'héroïne sont de moi, mais les autres appartiennent à JK Rowling.
Entant fâchée avec la grammaire et l'orthographe, il se peut qu'il y ait des fautes et je m'en excuse.
Sinon, bonne lecture :)
Chapitre 1 : Les prisonniers d'Azkaban
Les hurlements, les cris de désolation, le froid perpétuel et les tortures infligées par les détraqueurs étaient devenus monnaie courante, ici à Azkaban. Ce lieu abritait les sorciers de la pire espèce, ceux qui avait mal tournées, qui avaient enfreints les règles les plus importantes du code de la magie. Depuis la chute de Lord Voldemort, la prison d'Azkaban avait vu son nombre de pensionnaires gonflait considérablement. Chaque sorcier qui avait agi pour le compte de Voldemort avait eu droit à un procès. Pour certains, cela n'était pas nécessaire. Mais le ministre de la magie voulait à tout prix trier les mauvais sorciers de ceux qui avaient été ensorcelés par un mauvais sort. C'est ainsi que la prison du créer différents quartiers : 2 pour être exactes. Le premier contenait des criminels landas et le second portait le nom de "quartiers de haute sécurité". Seuls les criminels les plus dangereux y étaient enfermés.
Les plus connus étaient les Lestange et Black. Mais d'autres prisonniers s'y trouvaient aussi, dans ces geôles. Tous les prisonniers avaient pour demeure une geôle individuelle. Et lorsqu'ils y rentrèrent, s'étaient pour ne plus jamais en sortir. Une fois par an, peu de temps avant l'hiver, leurs haillons étaient remplacés. C'était leur seul luxe. Avoir des habits neufs avant d'affronter le froid. Ils ne parlaient à personne, ils ne voyaient personnes. En effet, les visites étaient strictement interdites. Seuls les grands personnages pouvaient venir voir un prisonnier à condition d'avoir besoin de renseignement. La seule distraction des criminels était l'arrivée d'un nouveau congénère.
Ce qui fût le cas ce jour-là. Le ministre de la magie Fudge avait fait arrêter, l'homme responsable, selon lui, d'avoir ouvert la chambre des secret et d'y avoir libéré le monstre de Salazard Serpentard dans le collège de magie le plus célèbre, Poudlard. Tous les prisonniers présents étaient passés par Poudlard et chacun voulait voir le visage de l'héritier de Serpentard. Alors, malgré, le peu de force qui leur restait, les habitants d'Azkaban se pressaient devant leurs portes. Quand le cortège arriva, la première chose qui frappa les prisonniers fut la taille du prisonnier et le deuxième, ce fut la présence d'Albus Dumbledore en plus de celle du ministre. Dans le silence, le plus total, les arrivants se diriger vers le quartier de Haute Sécurité qui se trouvait dans la plus haute tour de la prison. Ils passèrent par des nombreuses portes et plus ils avancèrent, plus le froid et les détraqueurs se firent présents. Au bout d'un moment, leur guide, tourna brutalement à gauche, fit 10 pas puis tourna à droite, fit à nouveau 10 pas et tourna de nouveau à droite et là, se trouvait 4 geôles. Deux d'entre elles étaient inoccupées.
Le ministre Fudge ne put s'empêcher de constater que les 2 seuls prisonniers avaient été volontairement écartés des autres. Bien qu'il trouva cela curieux, il ne dit rien, il avança, sur sa droite les deux geôles étaient occupés. La première par un homme et la deuxième par une femme. Les deux êtres semblaient dormir profondément sur le sol froid et crasseux. Mais tous les deux étaient accolée au mur qui les séparait. Comme si, la présence de l'autre leur était indispensable. Il observa les deux pièces, il n'y avait rien a part quelques coupures de journal traînant par terre. Pas de mobilier, pas de fenêtre, pas de lumières, même pas un matelas. Rien. Sauf une fine couverture. Comment ces personnes pouvaient vivre dans de telles conditions. Certes, ils avaient probablement tué quelqu'un, mais il avait du mal à accepter cette situation. Sa pensée n'alla pas plus loin, couper par l'arrivée d'un détraqueur qui ouvrit la cellule face à celle de l'homme déjà prisonnier. Il était tant pour lui de faire son travail. Le suspect entra dans la cellule, mais avant de refermer la porte, Fudge sortit un parchemin, se racla la gorge et :
-Rubeus Hagrid, par la présente, moi ministre de la magie, je vous condamne à purger une peine à la prison d'Azkaban pour les crimes suivants : détention d'animaux magiques illégale, Ouverture par deux fois de la chambre des secrets, agressions sur les enfants né-moldus ou tout être vivants qui ne possèdent pas de pouvoir magique, agressions sur mineurs et élèves de Poudlard, agression et meurtre d'une élève de Poudlard, il y a 50 ans et tentative d'agression sur Lucius Malefoy. Qu'avez-vous à répondre ? Demanda le ministre.
-Il est innocent, répondit une voix d'homme.
Tout le monde se retourna et ils virent le prisonnier. Il était debout accoudé aux barreaux de sa cellule. L'homme avait les cheveux long et crasseux. Ils étaient noirs comme ces yeux. Son visage était émacié. Il portait un pantacourt en tissu qui commençait à s'effilocher par endroits, et un T-shirt deux fois trop grand pour lui. Comme le personnage, les vêtements était crasseux. Et à certains endroits, on distinguait quelques taches de sang et d'immondices. Fudge constata alors que la femme s'était elle aussi réveiller. Mais contrairement à l'homme, elle s'était simplement assise et adossé au mur sur ce qui ressemblait vaguement à un matelas défoncé. Elle avait l'air mal en point et extrêmement fatiguée. Sur une de ses bras s'étendait une longue plaie à peine cicatrisée. Ces cheveux étaient aussi noirs que ceux de son voisin et très indiscipliné. Par endroits, on observait une peau blanche. Pour tenu, la prisonnière portait une longue robe qui devait être trop grande pour elle, mais cela n'empêche pas le ministre de voir qu'elle avait une poitrine généreuse. Il se surprit à penser que nettoyer et bien habiller, cette femme devait être sublime. Alors qu'il était encore dans sa contemplation, la femme tourna son visage vers les visiteurs. Son visage avait des trait fins et ses yeux était d'un bleu océan envoûtant.
- S'il n'y avait ses barreaux, je vous botterais le cul, ministre ou pas, mater une femme comme vous le faites ça ne se fait pas dit l'homme.
Fudge se rendit compte alors à quel point il était indiscret, même Dumbledore le regarder avec un air sévère. Il se sentit gêné, mais il était le ministre, personne n'avait le droit de le manquer de respect et encore moins un assassin.
- Quel est votre nom, prisonnier ? Savez-vous qui je suis ? Demanda férocement Fudge.
L'homme toujours accoudé aux barreaux continuer de le regarder, mais avec un certain mépris. Fudge savait que personne ici ne lui répondrait, après tout, il pouvait allonger leur peine. Il se concentra donc sur Hagrid et fit signe au détraqueur de verrouiller la porte, lorsqu'une voix éraillée s'éleva.
- Vous êtes l'espèce d'abruti et de chiffe molle qu'ils ont nommé ministre murmura la jeune femme avant d'être prise d'une quinte de toux tellement violente qu'elle se mit à vomir du sang.
Aussitôt, le prisonnier attrapa la timbale d'eau posé au sol et passa son bras au travers les barreaux pour le tendre à sa voisine. Mais le détraqueur l'en empêcha et propulsa l'homme à l'autre bout de sa cellule. Il atterrit dans un craquement qui laissa penser qu'un de ses bras s'était fracturé sous le choc.
- Cela Suffit tonna Albus Dumbledore.
Les détraqueurs présents sortirent alors du couloir. Albus récupéra le gobelet et y versa de l'eau avant de le tendre à la jeune femme. Celle-ci, le but à petites gorgée. Et sa quinte passa. Alors elle se redressa avec du mal et regarda Albus droit dans les yeux.
- Merci, professeur, dit-elle d'une voix encore rauque.
Albus Dumbledore lui sourit, il reprit le gobelet et reversa de l'eau. La femme continua de boire jusqu'à ce que sa soif est étanchée. À cet instant, il se tourna alors vers l'autre prisonnier. À travers les barreaux, il jeta un sort pour guérir le bras de ce dernier. Le prisonnier lui fit un signe de tête pour le remercier. Fudge se mit à croire que ces personnes se connaissaient et qu'elles avaient un grand respect pour Albus Dumbledore.
- Mon Cher Ami, pouvez-vous me laisser quelques instants, je dois m'entretenir avec ces personnes. Ils ont des informations qui m'intéressent. Demanda Albus.
Fudge acquiesça et sortit de la prison. Albus se retourna vers les prisonniers et leur sourit.
- Cela me fait plaisir de vous revoir, M. Black, Mlle Potter. - Nous aussi, professeur dit Mlle Potter.
- Par tous les diables, s'exclama Hagrid, Sirius Black et la petite Sarah Potter. Jamais je ne vous aurez reconnu.
-Passez 11 ans dans les geôles d'Azkaban ça changent un homme dit Sirius.
- C'est tout ce que tu mérites Sirius, tu as trahi la confiance de James et Lili. À cause de toi, ils sont morts.
Comme un chien enragé, Sirius se jeta sur les barreaux et hurla de toutes ses forces.
- Jamais, jamais je n'aurai fait du mal à James et Lili, j'aurais préféré mourir à leur place cette nuit-là, je ne l'ai jamais trahi, tu m'entends Hagrid, JAMAIS.
- Va expliquer cela à Harry. Grogna Hagrid.
- Harry est à Poudlard ? Demanda aussitôt Sarah Potter. Comment va t-il ? Est ce qu'il s'en sort ?
Les questions de la jeune femme eurent pour effet de radoucir tout le monde, dans sa voix, Hagrid n'avait aucun mal à reconnaître une véritable inquiétude pour son neveu. De tous les prisonniers et les criminels qu'ils avaient croisé, Sarah Potter était la seule qu'il pensait réellement innocente.
Sirius aussi semblait désireux de connaître la réponse. Après tout, d'une certaine manière, ces deux personnes étaient la seule famille qui restait à Harry. Du moins la seule qui se soucier de lui.
- Il va bien, il est entré à Poudlard l'an dernier et il est à Gryffondor, précise Dumbledore. Malheureusement, il semblerait que les ennuis lui court après.
- C'est normal, ce n'est pas un Potter pour rien. Rigola Sirius.
- Oh la ferme Sirius râla Sarah, comment est il ?
-C'est le portrait craché de James, mais il a les yeux de Lili déclara Hagrid.
Sarah le regarda comme si ce qu'il venait de dire était une chose impossible. Puis Hagrid vit que les larmes de la jeune femme menaçaient de tomber.
- Harry ira bien à Poudlard, il y est en sécurité pour le moment. Je laisse le soin à Hagrid de vous donner tous les détails, je ne peux malheureusement pas rester plus longtemps.
Dumbledore se tourna vers Hagrid,
- Je promets de tout faire pour vous faire sortir d'ici mon ami.
Puis il se tourna vers la sortie.
- Sait-il que j'existe ? Demanda désespérément Sarah. Sait-il qu'il a une tante ?
- Malheureusement, non. J'en suis navré Mlle Potter
Sur ces dernières paroles, Albus Dumbledore quitta la prison d'Azkaban sans se retourner.
J'espère que cela vous a plu.
N'oubliez pas de laisser des reviews, toutes les critiques sont bonnes à prendre.
J'essaierai d'y répondre à chaque début de chapitre.
