Bonjours, je ne pensais pas etre capable d'écrire un one shot comme celui la. Je ne pense pas qu'il sera unique, mais pour le moment, je crois que vais en rester la. J'espére qu'il sera aprécier du plus grand nombre quand meme

Bonne lecture à tous.

Je vis ces jours comme un condamné à mort. Ce n'est pas étonnant pour ce qui connaisse un temps soit peu mon histoire. Quand on sais ce qu'est ma vie. J'ai été dirigé par les autres toute ma vie, ou jeunesse, comme vous préférez. Pour moi ce détail n'a pas vraiment d'importance. Quand à dis sept ans savoir que sa vie dépend de quelqu'un d'autre, en abattant cette personne ou tu crève de la main de cette même personne… Tu vie en te battant ou bien tu meurt, toujours en combattant.

Certain diront que tous le monde se bat. C'est vraie, mais de cette façon la. Personne n'a pour ennemi Lord Voldemort. Et il m'en veux depuis que je suis tout petit.

Je reprend la ou je m'étais arrêté. Savoir que tu te bas réellement pour ta survie. Cette idée peux paraître terrifiante. Mais moi, je le sais depuis maintenant trois ans, en entrant dans cette communauté en quelques sorte. Cette entrée c'est faite avec perte et fracas. Moi qui aspirait à vivre le plus paisiblement possible je suis servis.

J'ai perdu tous ce que j'aime. Mes parents, mon parain. Je le regrette tout particulièrement. Il est mort j'avait à peine quinze ans. J'ai été lourdement affecté par cette perte, je ne pourrais pas expliqué. Mais je crois que le plus dure à été d'enduré tous les mensonges qui ont suivit cette perte. Il est mort ne sachant pas que l'ont me mentait, et que l'on me ment toujours, je crois qu'il aurait vite réagis si il était encore en vie. Ou alors il le savais mais il n'a pas eu le temps de me dire la vérité.

Je ne l'ai côtoyé que deux ans. Ce qui est relativement court j'en suis tout a fait conscient. Je le croyais un assassin, un manipulateur. Il a sut me démontré preuve à l'appuie le contraire. Je croyais qu'il avait tué mes parents, en les vendant à Voldemort, mais ce n'est pas lui. La pourriture qui à fait sa est toujours en vie. Il est le seul avec son ami Lupin qui ont sut me parler de mes parents.

Ils sont mort je n'était encore qu'un enfant, même pas un bébé. J'avais quelques mois à peine quand la tragédie est arrivé. La première fois que je les ai réellement vue. C'est l'hors de mon entrée à Poudlard, la célèbre école de magie. En découvrant le miroir du Risèd. C'est lui qui le premier me les a montré. Je ne sais quasiment rien d'eux. Les personnes ont brodé des histoires autour de leur mort qu'il est quasi impossible de démêlé. Ce que je regrette. Je ne connaîtrait jamais un semblant de vérité. Quand j'essaie autour de moi d'en parlé je n'essuie que des refus. Même le directeur élude mes question, détourné la conversation. Au début je ne lui en tenait pas rigueur. Plus le temps passe plus je lui en veux.

Je suis sur qu'il en sait plus long qu'il ne veux bien me le dire. Il n'y a pas que lui dans ce cas la. Même mes amis en savent plus que moi. Je sais qu'ils me cachent des choses. Mes parents sont mort, soit. L'homme aurait dut continuer le travail de ce fait, me tuer. Ce n'est pas qu'il n'a pas voulut, mais plutôt qu'il n'a pas put. Ce soir la quelque chose en moi l'a détruit, réduit à néant. J'ai miraculeusement survécut. Mais il ne sais peut être pas que j'aurais préféré y resté cette nuit la.

Une prophétie dit que cette nuit la il m'a marqué comme sont égal, mais elle dit aussi que j'ai un pouvoir que lui n'a pas. Je ne sais rien en réalité j'ai eu connaissance de cette prophétie tardivement par ce que « je n'étais pas prêt » parait-il.. Bien que je soit déterminé à allé jusqu'au bout. J'ai l'impression que je n'échapperais pas à ce funeste sort. J'ai la sensation que…

Que cette nuit, celle du combat, nous y resterons tous les deux. Lui et moi. Aucun des deux ne doit survivre, qui sait, peut être qu'une autre prophétie existe mais pas connue de nous. De toute façon c'est ce que je souhaite, ne pas dépassé ce moment la de ma vie. De mes dix sept année. Une vie de merde.

Passé à la postérité m'importe peu en réalité. Je ne veux pas connaître la suite. Je vous ai parlé de la prophétie, mais pas entièrement. Elle dit que « l'un mourras de la main de l'autre » incroyable n'est ce pas. Evidement chaque camps souhaite que le leader gagne. Mais dans le cas précis je suis loin d'être un leader. Je suis un boxeur lancé sur le ring alors qu'il n'y connais rien. Voilà l'impression que j'ai actuellement. Je connais les danger mais c'est tout.

Je suis de plus en plus d'humeur massacrante, je fais chier tous le monde. Mais personne n'ose me dire quoi que ce soit. Cela fait maintenant qu'ils me supportent et que je supporte leur stupide entraînement.

Cela me seras utile, assurément. Mais savoir que c'est Rogue qui m'entraîne me met dans une rage folle, quand je vois ce type je deviendrais quelqu'un que j'espère ne pas être. Je laisse sortir mon coté noir. Même si sa n'impressionne pas la personne en face de moi. Je sais que mes amis redoute cela. Les combats que je fais avec Rogue, je le sens comme sa, ne m'apporte pas grand chose. Et l'initiative de fait de faire des coups bas à ce type me réjouie plus que raisonnablement. Et la réciproque est valable. Je crois, ou plutôt je suis sure que si il n'avait pas connus mes parents il n'aurait jamais agit de la sorte avec moi.

Il ne supporte pas que je le batte haut la main désormais. Et pourtant j'en ai mis du temps avant de pouvoir le battre. Au départ je n'étais pas assez souple et carrément gauche. Une vraie tare. Et j'en connais certain que ne dirais pas le contraire. Il ne rigole certainement pas non plus. Eux aussi en ont bavé avec leur propre entraînement. Hermione et Ron ont aussi des entraînement de ce style. Mais pas aussi poussé, heureusement pour eux car je sais qu'il ne le supporterais pas. Moi j'ai la difficulté de me battre contre un ancien mangemort, donc niveau de combat largement supérieur à la moyenne.

Je devenais de plus en plus habile. La rapidité, l'agilité, et tout sa je devenais tout simplement une machine de combat comme le désirait la communauté. Je maîtrisé parfaitement la bataille avec la baguette. Et je crois que je devenais trop sure de moi ce qui m'a joué des tours, et pas n'importe lesquelles. Je m'étais pourtant bien battus, ou plutôt débattu, je pouvais lire le mécontentement sur le visage de mon prof. Alors qu'il m'avait complètement battus, et qu'il avait ma baguette dans sa main, je ne sais pas pourquoi et comment mais je lui est lancé un sort. Sans baguette. Je bouillonnais de colère et de rage de m'être ainsi fait avoir.

J'entend d'ici la voix de Rogue.

Vous me surprenez Mr Potter.

Avez t'il dit l'animal, je sentait que j'allais de nouveau en bavé. En effet la remarque d'après me plus beaucoup moins.

Vous allez désormais apprendre à vous battre sans baguette.

J'aurais pus m'en passer, je le lui signalais par une grimace. Que de malchance. Tout reprendre à zéro. Je suis d'un naturel coléreux et impulsif. Ma magie réagit comme sa, quand je suis en colère, que quelques chose ne me plait pas, elle prend le pas sur ma personnalité.

Je ne le ressentait que comme sa au début. C'est à cette époque que je me suis énormément renfermé sur moi. Je ne parlais plus, à personne, j'évitais les contacts je crois que quelque part je me faisait un peu peur. La lumière de jours m'agressait, je restais des semaines entières sans m'aventuré à l'extérieur. Je restait dans le château en permanence, personne ne m'adressait la parole, quand quelqu'un m'appelait je ne répondait pas. Ou alors très agressivement.

A cette époque je croisais beaucoup Malfoy, dans les couloirs de Poudlard. Ma haine envers lui était telle que je n'arrivait pas à me maîtrisé. Ma haine envers lui agissait tel un énergisant, il m'arrivait de lancer des sorts dans sa direction sans que je m'en aperçoive. Cela m'a légèrement forcé à me contrôlé. Le self control est la clé de tout. Il ne changeait pas, toujours aussi méprisant et imbu de lui même. Et je pense que c'est mieux ainsi. Mais les rares fois ou je le surprenait quand il n'avait pas son masque, j'était choqué. Une autre personne se tenait devant moi. Je ne savais plus quoi pensé. Dans ses moment la je me maîtrisait autant que je le pouvait et j'échangeais quelques mots avec lui. Avant de reprendre nos rôles respectif. Mais ma haine est un énergisant. Et rien ne changera. Je ne vois pas pourquoi sa changerais.

Peut-être parce que je suis assis seul en haut d'une colline.

Peut-être que je n'ai pas envi que sa change.

« Rien n'est éternel » se plais à dire l'oncle Vernon.

Je suis d'accord sur le principe, je ne suis pas éternel, pas plus que Voldemort ou quiconque sur cette terre.

Resté seul n'arrange pas non plut tout ces problèmes. Mais sa me calme de ne plus voir personne. Je suis peut être entrain de devenir fou à parlé seul ici. Mais sa m'aide et sa me calme. Ca me calme de ne plus voir tout ce monde dans le château. Qu'ils soit amis ou ennemis. Je ne suis pas dupe, je sais que la moitié des personnes présente dans le château sont des mangemort. Ils me surveillent eux aussi. Il ne sont pas les seuls. Dumbledore me surveille lui aussi. Il me surveille grâce à un oeil sans paupière. Il est le seul à le contrôlé. Mais je n'ai pas confiance. En permanence il connaît mes moindre fait et geste, ainsi en haut de ma colline je ne suis pas aussi tranquille qu'il le paraîtrait.

Tout en devenant de plus en plus fort… Je suis de plus en plus faible. Quelle paradoxe alarmant. Il m'est impossible d'avoir mes propres opinions. Tout est dicté par les autres. Moi, je suis épris de liberté, de grand espaces.

Après avoir vécus onze ans dans un placard, on rêve, je crois que j'ai trop rêve. Mes rêves m'ont tué. Mon oncle et ma tante ne m'aime pas. Je ne peux pas dire que j'éprouve de l'affection pour eux. Je méprise mon cousin autant que son père. Même la tante Pétunia. Tous des pourris et à cause de cette pn (abstention de l'auteur) de guerre j'ai vécus onze ans chez eux, je vis encore chez eux, mais juste l'été. Cette période est déjà bien assez longue à mon goût. Pendant mes vacances, quand j'ai eu la chance d'allé chez Ron, je dois admettre que je l'ai énormément envié. Peut être plus que lui ne m'en a voulut par la suite d'être ce que suis. Mais il ne comprend pas l'animal qu' « être » Harry Potter signifie être malheureux toute sa vie.

J'ai toujours voulut faire ce que je voulais. Même quand je croyais faire des choses que je voulais, quelqu'un amenait la preuve comme quoi ce n'était pas moi qui avait décidé mais une autre personne. Je me suis souvent indigné de cela. Tout est dicté. Je ne l'accepte pas. Je ne peux pas accepté une telle chose. C'est impossible.

La haut sur ma colline dans la nuit noire. Rien ne m'échappe. Je ne suis peut être pas invincible, mais j'ai la sensation de l'être. Et quelque part, cela m'horrifie. Qui peux comprendre sa ?

Personne. Et si quelqu'un m'affirme le contraire un jours, je saurais qu'il mens. Il ment. Comme tous les autres. Comme ma vie. Rien de plus naturel que de mentir.

Constat amer.

J'ai l'impression de ne faire que sa, parlé de mensonge. Mais qui peux comprendre la révolte qui m'habite. Je ne sais pas comment je fais pour supporté ces jours atroces. Ma vie est un mensonge, je n'ai aucune raison de continuer. Je sais que je n'ai pas le courage de le faire, mais… Je me serais volontiers jeté de la tour, ou même de la colline. Je dis colline, mais c'est une falaise qui tombe à pic. Et c'est à cause de sa que j'ai adopté cet endroit. La première fois, je voulais vraiment me jeter. Mais, sa ne me ressemble pas. Je préfère continué à lutter et mourir bravement.

Parlé de mensonge, quoi de plus naturel.

Un sentiment comme un autre. J'aurais put parlé d'amour. Rien n'est plus naturel, véridique que ce sentiment. Quand une personne le sens, elle est capable de tout. Je ne peux pas en parlé pour une seule et bonne raison. Je ne connais pas ce sentiment. Un peu comme se personnage de Manga, Toya (référence « Ayashi no Cérès »). Sauf que contrairement à lui je n'ai pas perdu la mémoire, personne ne me l'a effacé. Comme lui j'ai été manipulé. Mais lui il a connus le véritable amour dans les bras d'Aya. Et moi non, dans les bras de personnes.

Je n'ai pas le courage de mener cette comparaison plus loin. Je suis sure que cet homme existe quelque part, et je souhaiterais que sont combat finisse, mais mieux que le mien.

Je suis sur que lui à le courage de continué grâce à elle, pour elle, alors que moi je n'ai plus le courage.

Mes « amis » m'abandonnent tous. Les uns après les autres je les vois s'éloigné lentement de moi. Mais je ne leur en veux pas, je l'ai bien cherché. Ainsi ils souffriront moins. Je ne fais rien pour les retenir. Je vois dans leur regard la tristesse, tristesse de ne rien pouvoir faire, de me voir dépérir. Je sais que sa fait mal, mais ils comprendront le sens de tout cela bientôt.

La plus présente est Hermione. Elle a un caractère d'acier, et je crois qu'elle tient énormément à moi. La pauvre, si elle savait. Elle m'encourage, me tient debout, me force à continuer alors que j'aurais abandonné il y a fort longtemps. Et moi, en retour, je me conduit comme une brute, quelqu'un de cruel. Et encore, je suis gentil. Je n'ai pas le droit de lui faire subir tout sa. Elle n'y est pour rien, mais je n'ai pas le courage de lutter contre sa. Elle ne me pardonnera pas.

Je sens que la fin est proche, et je ne suis pas le seul.

Je ne me suis pas laisser vivre, je n'ai pas surfé sur la vague de la vie. Je me suis forcé à gardé la tête hors de l'eau. Je me laisserais coulé après la victoire. Maintenant le bonheur me rend malade. Je ne supporterais pas de voir des gens heureux après tout ce que j'aurais subit.

J'irais retrouvé les gens que j'aime. Papa, maman, Sirius. Et Sirius. Les trois personnes que j'aime le plus au monde. Sirius lui a put retourné les voir, même si je pense qu'il aurait préféré resté ici pour veillé sur moi. Mais je suis bien assez surveillé comme sa. Je n'ai pas besoin de sa.

Et d'en haut je rigolerais à mon enterrement, je ne veux pas voir de gens pleurer. Je ferais tout capoter. Je ne veux pas que l'on pense a moi avec tristesse. Sauf Hermione, elle est la seule à qui j'octroie se droit si spéciale à mon avis. Je veux que tous le monde m'oubli. Même si au fond de moi je sais que c'est impossible. Ils ne m'oublieront pas. Pas plus que Voldemort. Je sais que c'est impossible. Je sens que Voldemort ne craint pas la mort. Nous partirons tous les deux.

Le mal et le bien. Et le mal ne triomphera pas.

Si ce n'est pas le cas, je reviendrais jusqu'à éradiquer ce type. Si nous mourrons ensemble. Si c'est le cas, je souhaiterais que ceux que j'apprécie et qui vivront eux, vivent heureux. Qu'il en soit ainsi.

Je veux qu'il pense à moi comme à Frodon (référence à la fin du « retour du roi ») quand il part sur les terres immortelles pour oublié sa douleur. Il n'en peux plus trois ans après la fin il souffre encore. Moi je veux partir de suite pour le pas avoir mal tout ce temps.

Je vois des ombre se profilé au loin. Cette fois, je vais combattre, le dernier combat. J'en aurais presque un sourire si le dramatique de la situation ne m'échappais pas. Je vois les aurores et les grands sorciers sortirent eux aussi. Je trouve qu'il y à peu de monde.

Je tend l'oreille. Quelqu'un vient derrière moi. Je me retourne rapidement baguette à la main. Une silhouette toute de noir vêtue me fais face. Je sais que c'est un mangemort et qu'il me tueras dés qu'il en aura l'occasion.

« La meilleur défense c'est l'attaque »

Eh bien ! Dans ce cas allons y.

Je me bat comme un forcené, mais mes ressources sont grandes, je connais un grand nombre de sort impardonnable. Les coups s'enchaînent, je les tuent au fur et à mesure. Je distingue Lucius. Lucius Malfoy, le toutou de sa majesté…

Il se bat bien le bougre, il est plus efficace encore que Rogue. Heureusement que j'ai amélioré mes compétence. Je comprend mieux pourquoi il me rabrouait à chacune de mes fautes, il faut que tu vivre jusqu'au bout. « Jusqu'au bout Potter. »

Quand enfin je réussis à me débarrassé des personnes qui ont essayé de me jeter au bas de la colline, je rejoint le cœur de la confrontation. Dumbledore est furieux, je le sais bien.

Mais cette fois, c'est mon tour de leur montré que je ne suis pas un bon à rien. Rogue, à l'air de me regardé avec fierté. Je délire ou quoi ? Un professeur fière de son élève même si il déteste celui ci. Sa m'allègerais presque ma peine. Je vois Bellatrix Lestrange. A elle je lui réserve un sort particulier. Elle m'a fait perdre mon parrain et jamais je ne pourrais lui pardonner une telle infamie. Je la maudie pour tout. Son ame n'ira nulle part, elle souffrira en enfer.

Elle ose me parlé. Ses paroles ne m'atteignent pas. Je suis dans un tel état de rage que je ne me contrôle plus. J'ai toujours ma baguette à la main. Et mes coups partent tout seul, fusent dans chaque recoin du parc.

Sans m'en apercevoir, mes « amis» m'on rejoint, Je ne suis pas content. Mais je ne dis rien, j'ai ma fierté, ils ont la leur. Si ils tiennent à mourir dans d'affreuses conditions.

Dans un moment de relative accalmie, je vois Drago Malfoy. Il n'est pas habillé en mangemort. Il croise mon regard. Je crois que je n'aurais pas put être plus surpris qu'a ce moment la. Il tue sa mère. Il n'auras pas l'honneur de faire pareil avec son père. Quelques part j'aurais dut l'épargné pour lui permettre d'établir ceci à son nom. Des serpentard que je croyais mangemort combatte à mes cotés. Ils sont presque plus nombreux que le nombre de griffondor. Je trébuche sur un cadavre.

Je tremble. C'est Lavande Brown. Une fille si sympathique. Pourquoi n'a t'elle pas suivit les cours de combat mis en place par Dumbledore ? Maintenant elle n'aura plus l'occasion de s'expliquer.

Neville se bat comme un diable. Pendant que je me débat moi même avec quelqu'un d'autre. Un frisson me parcours, Voldemort arrive. Il essuyés une défaite. Il vient terminé le travail lui même. Je l'entend approché. Mon attention ne fait que capté le moindre de ses gestes. Les sorts lancé par les autres ne m'atteigne plus. Je comprend, je suis dans une sorte de coupole de gladiateur de l'ancien temps, plus rien ne peux m'atteindre à part ces coups à lui. Très bien. Je me suis préparé à l'affrontement depuis bien longtemps.

Alors Potter, prêt à aller rejoindre le saint père ? demande Voldemort

Alors Tom, prêt à aller rejoindre le diable ? Réplique ai je.

J'ai conscience qu'alentours, les combats s'arrêtent, tous viennent voir le combat du siècle en quelques sorte. Je suis prêt à tout. Le début commence à s'éternisé. Je sais que c'est une stratégie de lui. Je fais semblant de me prêter au jeu. Puis sa commence, tout vas très vite. Je n'ai pas l'avantage. Je le sais. Aussi, à plusieurs reprise je me suis trouvé dans une situation critique. Et je ne sais par quelle miracle je m'en suis sortit. Il semble aussi surpris que moi. Et ensuite à chaque fois je fais tout pour reprendre le dessus. Et j'y arrive.

Cela fait maintenant deux heure que l'on se bat. Acharné l'un contre l'autre. Voulant voir l'autre tombé. Mais rien ne se produit. Je prend conscience doucement que j'ai une réserve d'énergie quasiment inépuisable. Rien ne m'arrêteras. Sauf peut être la mort elle même. Je n'ai pas beaucoup le temps de penser. Je fais tout pour éviter de regarder vers l'extérieur. Les yeux planté dans ceux de l'ennemis je reste sans bouger attendant la suite sans bronché.

Au bout de quatre heure, je le vois s'affaiblir, mais il décoches ses sorts toujours avec beaucoup de vitesse. Cette fois ci c'est la fin. Un centième de trop pour réagir et mon avada l'atteint. Je ne voulais pas que sa finisse comme sa. Je commence à croire que je n'ai rien. C'est vite démenti.

Carje ne suis pas sortis sans blessure, à peine le dôme a t'il disparut que je m'effondre. Des plaies jusque la invisible se forme à une vitesse incroyable. Je sens le sang couler lentement. Hermione est la. Ron, Neville, Le directeur, même Malfoy. Je leur souris malgré la douleur. Je les félicite d'avoir survécus.

Je leur explique que pour moi c'est la fin. Ils tous les larmes aux yeux les pauvres. Même Malfoy me regarde sans comprendre. Je leur explique. J'ai de plus en plus de mal à parlé.

C'est… C'est mon choix Mione. Je ne veux plus continuer, je suis désoler, je t'ai fait souffrir.

Elle me sourit à travers ses larmes. Le professeur Rogue et Dumbledore ont arrêté les derniers mangemort, il ne reste plus beaucoup de combattant des deux cotés. Rogue que me regarde. Malgré moi je souris. Je sais que c'est la dernière fois que je verrais ce visage haineux tout comme Drago. Je me permet maintenant de l'appeler ainsi. Il ne le saura jamais de toute façon.

Merci professeur. Ron oubli pas que j'ai été ton ami.

Je les vois qui commence à pleurer, je ne supporte pas cela. Moi je les gardes, bravement. Rogue et Malfoy ne pleure pas eux, il me regarde avec de la compassion. Avec étonnement je vois Malfoy bercé doucement Hermione. Je sais que maintenant elle seras heureuse.

Je souris à la mort. Je lui donne la main.

Elle m'emmène finalement.

Et de la haut je veille sur eux.

Mes parents et Sirius m'ont dit que je n'aurais pas dut.

Je leur ai expliqué.

Tout était planifié.

Je trouvais plus tard cette prophétie. Elle disait.

« Il tueras et seras tué. Il mourra après mais ne pourra continuer.

Il a fait son choix, les cieux le respectera. »

Je dors maintenant dans un océan de liberté sans mensonge ni obligation

Je n'irais pas à mon enterrement je ne veux pas les revoirs.

Adieux mes amis !

Voila c'est la fin. J'espere que vous avez appréciez. Pour moi écrire ceci m'aura été bénéfique. Je l'ai écrit en cours en majorité et ses mots m'ont en quelques sorte libere.

Bien a vous ticcy