Bon, voila, ca me trote dans la tête depuis un moment, alors je me lance.
Roxie Blake est fille de producteur célèbre et assistante de production très douée. A seulement 19 ans, elle réussi à se faire engagé
sur le tournage de Dreaking Dawn, ultime film de la série Twiligth.
Cette jeune femme n'a pas la langue dans sa poche et compte bien se faire respecter dans se monde de requin. Mais ce qu'elle
n'avait pas prévu, c'était le désir et l'amour. tomber folle amoureuse d'un acteur avec lequel vous bossé, ca n'est pas forcement
bien vu ni même pratique. Mais quand on a devant soit un canon pareil, qui saurait dire non ?!
* * *
Chapitre 1 : Arriver sur les lieux
.
Aye, aye, aye ! Premier jour de boulot et déjà en retard. Je commence vraiment bien !
Je trépignai littéralement sur le plancher du taxi qui émit un rire gras. Il était 8=7h53, et j'étais bloquée dans les bouchons à la sorti de Vancouver. Enfin une brèche s'ouvrit dans le flot de voiture et le taxi s'y engouffra.
8h02
Enfin ! Après un excès de vitesse et deux dérapages pas tout a fait controlés, j'y étais ! Devant moi le plateau de tournage du dernier Twilight, Breaking Dawn. Je montrai mon badge (et oui j'ai on badge à moi toute seule !) à l'être tout en muscle devant la porte et on me fit entré. La porte du plateau se referma sur les cris des fans.
Je m'extasiais devant le décor et la foule. Toute cette vie, touts ses mouvements, tous ses…AYE !
Je me retrouvais assise sur le sol. Une main se tendit vers moi et je la saisi dans regarder. Lorsque je fut sur mes pied, je croisai le regard bleu d'un beau brun.
-Wow, lâchai-je en faisant un pas en arrière.
Kellan Lutz en chaire et en os, juste là devant moi ! Du calme Roxie ou tu va te faire viré avec d'avoir pu hurler « TWIIIILIIIIGHT ! ». Le beau brun eu un grand sourire.
-Désolé pour la chute, quand je cour, j'ai tendance à ne pas regarder où je vais.
J'eu un sourire.
-C'est rien M. Lutz.
-Kellan, dit-il, M. Lutz c'est mon père.
J'eu un léger rire (ne te lâcha pas a glousser tu va lui faire peur !).
-Et vous jolie demoiselle, peut-on connaitre votre nom ?
Je rougis.
-Roxie Blake. Je suis la nouvelle assistante de prod.
Il me sourit d'avantage. Sa main serrai toujours la mienne.
-Enchanté Roxie. Ce fut un plaisir, si on veux, dit il.
Sur ce, il se remit à courir. Je le suivais du regard un instant, détaillant son sublime corps d'athlète. Du calme Roxie, il y en aura d'autre des beaux mâles ici, alors si tu craque au premier…
Je repris mon chemin vers le fond du plateau. Un homme discutait au téléphone, l'air serrieux et contrarier.
-Salut Bob, lançai-je.
-Enfin, dit-il en cachant la partie basse du téléphone. Je désespérai. Martha ne s'en sort pas avec les costumes et les maquilleuses, soit un ange et arrange toi de cela pour moi.
Il me servit son sourire à cinq mille dollar, qui d'ailleurs devais les valoir vu le temps qu'il passait chez son chirurgien esthétique.
Je souris et fonçai vers le coin « Maquillage ». Deux femmes y discutaient en fumant une cigarette.
- Excusez-moi, je cherche Martha. La première m'indiqua l'intérieur de la loge. J'entrai et tombai sur Martha assise sur une chaise de maquilleur en train de râler.
- Je ne vais pas m'en sortir, grognait-elle en serrant les accoudoirs.
-Pourquoi crois-tu que je sois là ? dis-je la faisant sursauté.
Son visage s'éclaira lorsqu'elle tourna la tête vers moi et elle se jeta dans mes bras.
-Enfin Roxie, j'ai cru devenir folle, rien ne va sur ce plateau.
Je ris. Martha était comme ca, la pression ne lui allait pas du tout, mais si on lui laissait le temps, son boulot était super, Nikel Crome.
-Ou est le problème ?
-Ah, dit-elle en levant les bras au ciel. Justement, où !
Je la regardai sans comprendre.
-Les maquilleuses n'ont pas leur matos, il a été perdu par la compagnie aérienne. Et puis les costumes ne sont pas prêts parce que la styliste folle « ne les sent pas ». Bref, les acteurs se les pèlent par -12 en attendant que tout reparte.
Je soupirai.
-Bien, alors, envois Steve et une des maquilleuses a Vancouver, qu'il trouve du matos de remplacement. La plus responsable de maquilleuse, pas besoin de dépenser la moitié du budget en fond de teint. Ah ! et dis lui de ne pas passé par l'artère principale, ca bouchonne.
Elle acquiesça en envoyant son message sur son Black Berry.
-Ensuite, trouve les acteurs, met les au chaud avec café, thé, enfin comme d'hab quoi. Dit leur que je viendrais les voir tout a l'heure. Et moi, je m'occupe de ta folle. Son nom et l'endroit où je peux la trouver.
-Sylvie Starlite, et deuxième loge sur la gauche en sortant.
-Sylvie Starlite ! T'es pas sérieuse ?
Elle eu un sourire qui voulait dire : « Tu veux toujours y aller ? ». Je serrai les dents et sortis de la loge en serrant mes poings dans mes poches.
Sylvie Starlite a 32 ans. C'est une toute petite brune qui m'arrive sous l'épaule et se prend pour la reine d'Angleterre. Oui, la reine d'Angleterre, j'vous jure ! Elle a un égaux aussi surdimensionné que celui de feu Michael Jackson, et si elle pouvait, elle se décréterait Reine de la Mode. Mais je doute que J.-P. Gauthier ou Christian Lacroix la laissent faire sans lui casser les bras avent. Hihihi, merci Dieu de m'avoir dompté d'une grande imagination visuelle !
Je frappai à la porte et une petite voix hautaine m'invita à entrer.
-Oh, Darling, me dit Sylvie en me serrant contre elle.
Je vous l'avais dit, la reine d'Angleterre.
-Bonjour Sylvie. Je peux savoir ce qui se passe avec les costumes ?
Elle s'écarta de moi et fronça les sourcils comme si j'avais sorti la plus grosse insanité du moment.
-Darling, c'est de l'art. Je comprends ton travail, mais on ne presse pas l'art.
Je jetai un coup d'œil derrière elle et trouvait une tonne de revu de mode. Oh ne vous méprenez pas, ce n'est pas pour piocher dans les idées du monde que « Daaaarliing ! » fouille dans les magasine. C'est pour voir son nom étalé en grosse lettre.
-Ecoute bien Sylvie, je ne le répéterai pas. Je me fou comme de l'an 40 du coté artistique de la chose. Tu as eu cinq mois pour y réfléchir. Maintenant, ce n'est plus ton art qui prédomine, c'est celui du Cinéma, des acteurs, metteur en scènes et autre. Alors cesse de te regarder le nombril et arrange toi pour que tout sois prêt dans une heure. Tu t'en sens capable où bien c'est trop dur pour l'artiste que tu es ?
D'accord, j'y ai été un peu fort. Mais je n'ai pas dormi de la nuit dans l'avion qui m'amenait de Paris à Vancouver. J'ai potassé comme une bonne petite assistante. Alors quand je vois cette espèce de … je n'arrive pas à m'empêcher de lui faire ravaler ses niaiseries. En plus, j'ai pas mon litre de café ni ma tonne de nicotine quotidienne alors c'est pas le jour !
Je tournai les talons devait son air coléreux et sortis de la loge. Je dois bien l'avouer, j'étais fière de moi. Je croisai un miroir dehors et recoiffai mes cheveux bruns avec une mine concentrée. Un rire me fit sursauter.
-Coquette ? demanda Kellan en s'approchant. Il transpirait à grosses gouttes sous son sweat shirt. Mon imagination s'embala. Kellan Lutz, torse nu...Non en faite, nu tout cour, sous une douche, les muscles de son torse se crispant à chacun de ses mouvements...rappeler moi comment on dégluti déjà ? Ah oui c'est vrai !
J'esquissai un sourire.
-Non, juste de bonne humeur, répondis-je.
-C'est vrai, le sourire vous va très bien.
Je rougis et cela le fit rire.
-Le tutoiement c'est peut-être mieux pour des gens qui vont travailler ensemble durant quelques mois, non ?
Il sourit d'avantage, éclairant ses yeux bleus.
-Kellan, pourrais-tu me dire où je peux trouver les autres acteurs, j'ai promis d'aller les voir pour me présenter et leur donné les infos que j'ai sur la suite du programme.
-Je vais faire mieux que ça, dit-il en me tendant le bras. Je vais te montrer.
Je pris son bras en secouant la tête. Je n'allais pas m'ennuyer ici. Il me fit travers le plateau jusqu'à un attroupement de caravane. Pas ces trucs de manouche, non, des caravanes Hi-Tech avec tout le confort nécessaire à une star. Devant elle, les acteurs attendaient en rond. Certain fumaient, d'autre prenaient un café, d'autre encore discutaient, riaient. Je vis le GRANDIOSE Jackson Rathbone avec une guitare, assis sur une chaise en bois, joué un morceau. Assis devant lui, en tailleur, Ashley Greene.
Lorsque j'arrivai près d'eux au bras de Kellan, je me senti toute petite. C'était ma première expérience de film à gros budget. Moi la petite française, j'étais aujourd'hui dans le grand bain. Mais à, à peine 19 ans, je restai malgré tout mon professionnalisme une petite fille dans un magasin de bonbon. Je l'avoue, j'étais fan !
Vous vous dite, que fais une gamine de 19 ans comme assistante de prod ? La réponse est simple, mon père, et mon grand père avant lui, était producteur. Et un gros ! Le genre 250 Millions par ans sans compter les à coté. Mais voila, il y a un an, il est mort, me laissant seule dans une grande maison avec tout le personnel possible et une mère alcoolique au dernier degré. Heureusement qu'il n'était pas stupide, il avait mis presque tout à mon nom pour l'empêcher de dilapidé la fortune familial. Mais passons ! Donc je suis Roxie Blake, fille de James Blake, grand producteur. Mon père était mon formateur, il m'a tout appris. Je lui servais d'assistante. Et ma réputation c'est faite. A 17 ans je bossais déjà avec mon père et ses associer. J'avais voulu lâché le lycée, mais mon père m'avait poussé sur des études de cinéma. Cela ne me gênait pas. Mais maintenant qu'il était mort, je me servais de mes connaissances pour reprendre le flambeau.
Assistante à plein temps depuis six mois, je sortais de deux tournages où on m'avait si bien considéré que Marc Salvatore, un grand ami de mo père, producteur également m'avait pistonné jusqu'ici.
Oh je vous vois avec votre air de : « Fille a papa, elle est pistonnée, elle est nulle je suis sur ! ». Si Marc m'a envoyer ici, c'est parce que les membres de son country club lui ont parlé de mes talents et qu'il a voulu m'aidé, mais il n'aurait jamais pu ouvrir une telle porte si mon travail n'avait pas été excellant.
Bref, j'étais là, au milieu de tous ses grands. Kellan me lança un sourire et je lâchai son bras.
-Les gars, dit-il en tendant les bras, et les filles…
Je le vis faire un clin d'œil aux filles.
-Voila notre nouvelle victime (je le regardai avec un regard légèrement apeuré), Roxie Blake, l'assistante de prod.
Je vis une bande de garçons sifflés en frappant dans leur main. Les autres iraient. Je reconnu Peter Facinelli, Billy Burke et Gil Birmingham. Ils me jetaient des coups d'œil avant de se regarder, un sourire maléfique sur les lèvres.
Et bien ma belle, c'est le moment où jamais de leur montrer que même si tu es une fille, tu sais mordre quand il faut ! Faut savoir se faire respecter. Inspire, et c'est parti…
-Bien, dis-je en reprenant mon sang froid. Mon nom est Roxie Blake. Je ne suis pas là pour servir de boniche, ni même pour réparé vos bêtise au près de la presse (pieux mensonge malheureusement). Je suis la pour rendre le travail de tous plus simple. Maintenant, on peut se la faire de deux façon (je stoppai en levant le doigt Bronson Pelletier alias Jared qui s'appétait sans doute à lancer une vannes et continuai), soit je suis cool et décontracter, sois je suis méchante et autoritaire. A vous de voir.
-Je veux bien qu'elle soit autoritaire avec moi, chuchota Kiowa Gordon alias Embry.
-Pas mal comme premier spitch, lança une voix dans le fond.
Tous laissèrent passer celui à qui elle appartenait. Robert Pattinson, flanqué de Kristen Stewart et de Nikki Reed.
-Le dernier que nous avons rendu dingue voulait qu'on devienne ami.
Son sourire en dis long sur l'accueil qu'ils avaient du lui réservé.
-Salut, moi c'est Kristen, dit-elle en s'avançant vers moi la main tendu.
Je lui serrai avec un sourire.
-Ne t'en fais pas, dit-elle tout bas, ils ne sont pas méchant, juste taquins sur les bords, mais ils ne mordent pas, enfin…Pas toujours.
J'eu un sourire.
-Bien, maintenant que j'ai protégé mes arrières…Oui ?
Un petit brun levais la main. Il me donnait l'impression d'être une maitresse d'école. Je le reconnu tout de suite avec un sourire tendre. Booboo Stewart, 16 ans, une gueule de bébé Indien. Je fondais littéralement. Les instincts maternel je vous jure…Mais bon, on ne va pas gâcher une entré pareil en la jouant mère poule.
-Booboo Stewart, alias Seth Clearwater, enchanté, dit-il avec un sourire d'enfant.
-Qu'est-ce que je peux faire pour toi ?
-Je voudrais savoir combien de temps on va se les gelé avant de rentré à l'hôtel ?
Il frissonnait. J'eu un soupire.
-Je fais mon possible pour que sa aille vite sans étriper votre styliste. Ca devrais reprendre dans une heure je pense.
Il acquiesça avec un sourire. Tous me regardaient à présent. Je fit une liste rapide du nombre d'arrêt cardiaque que j'aurais fait en temps normal. A une par acteur, voyons… Robert Pattinson, Kristen Stewart, Jackson Rathbone, Kellan Lutz (deux pour lui, je lui avais tenu le bras), Nikki Reed, Ashley Greene, Booboo Stewart, Peter Facinelli, Bronson Pelletier, Kiowa Gordon, Billy Burke et Gil Birmingham. Et encore, j'en eu vite marre de mes décomptes. Ma respiration était accélérée, mes joues rosies. Je vous l'avais dit non ? Une petite fille dans un magasin de bonbon. Comment faisais-je pour ne pas me jetter sur eux en lançant « Un autographe pitiéééééé !
La réponse était simple, professionalisme. Mais non je ne me vante pas… Pas trop.
Bah, j'aimerai vous y voir vous aussi. Les mecs sont tous plus beaux les uns que les autres, les filles toutes souriantes, même les gosses sont plus choux ! Vive le cinéma !
Kellan me présenta à toute la troupe. Je serrai des mains, faisais des sourires, profitais de l'ambiance. C'est vrai qu'ils étaient tous super cool. Martha vint me réveiller de mon rêve éveillé.
-Ca y est ! Je ne sais pas ce que tu lui a dis, mais elle a fini son cirque.
-Aller tout le monde, au boulot, dis-je en tapant dans mes mains. On a un film à tourné. Enfin, vous, bien sur.
Kristen et Nikki s'approchèrent de moi.
-Tu viens nous voir jouer ? C'est la scène du mariage aujourd'hui. On tourne les plans intérieurs et la confrontation avec Jacob.
Jacob, vous avez dit Jacob ? Donc Taylor Lautner ? Faut pas me le dire deux fois !
-Avec plaisir, dit-je avec décontraction.
