Zombie~Extermination~Project

Chapitre 1 :

Ohayo les bébés lecteurs, comment que ça va bien aujourd'hui (≧∇≦)/ ?Bien j'espère en tout cas, moi ça va super, je suis trop excitée à l'idée de poster ma première fanfiction et aussi j'ai de l'appréhension parce que bon comme je l'ai dit "première fois", eheheee. Trêve de brefouilles et parlons un peu de cette fiction!

Hetalia vs zombie! *.chii~gan!.* Ne vous inquiétez pas, je saurais mélanger humour, amour et gore, ehehee. Je suis une vraie bébé dramaqueen après tout, moi!Pas du "Made in China" #GomenYao

Bref, en j'arrête, j'espère juste que ça vous plaire. Et ne soyez pas effrayé par le début qui est un peu…Uh. Ca va pas être tout le temps comme ça quand même, eheheee. OH, J'ARRÊTE DE PARLER. PROMIS.

Bonne lecture et n'oubliez pas les bébés reviews~

Vôtre bébé Dokigaygay~ (´・ω・`)

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Les cris d'un homme essoufflé. Le choc métallique de ses bottes sur la plaque en fer. Ses sanglots entrechoqués par sa difficile capacité de respiration. Il appelait à l'aide, de sa voix déchirant le calme de cette usine désaffectée depuis l'Infection. L'Infection. Elle qui avait réduit la majorité de l'Humanité à l'état de monstre à jamais affamé. Il courrait le plus vite qu'il le pouvait et jusqu'où ses jambes pouvaient le mener pour échapper à la mort mais aussi à la dure réalité. Son esprit était tellement embrumé par la peur, l'affolement et le manque d'oxygène que lui-même ne savait pas où allait-il. Il fallait voir les choses en face; le seul endroit où il était en sécurité était l'E-Den, l'endroit duquel il avait fugué. Il s'en voulait déjà tellement. Non, il allait le regretter à jamais.

Ses foulées étaient rapides, pressées et maladroites, ce qui manquait de le faire tomber à chaque fois qu'il posait son pied sur le sol grillagé de ses chemins de fer, suspendus en hauteur. L'endroit était totalement démuni d'électricité, des produits hautement dangereux eux-seuls produisaient une faible et étrange lumière verdâtre, donnant à cette usine abandonnée, une allure plus glauque que jamais. Mais ça, l'évadé n'y faisait guère attention. Ses oreilles étaient trop concentrées sur le grognement de ces poursuivants. Ses cheveux bruns, sales et gras étaient collés par la sueur sur son visage déformé par la peur. La peur de mourir. De se faire attraper et de se faire dévorer le cerveau, vivant pour ensuite se transformer en une machine défectueuse à la recherche de chair fraiche appelé communément, zombie ou mort-vivant, au choix.

-"Papa..." fit une petite voix plaignante qui n'était que trop familière pour l'homme désespéré.

Il se retourna en sursaut, s'arrêtant enfin dans sa course folle. Ses yeux humides de larmes étaient là pour observer la petite fille qui se tenait devant lui, une peluche en très mauvais état tout contre elle. Elle était habillé d'un drap d'un blanc sale qui devait être à l'époque, en vu des nombreuses broderies, un vêtement magnifique et gracieux d'une blancheur impeccable. A cause de la pauvre lumière de ce bâtiment et de sa tête qui lui tournait, il ne put bien apercevoir les détails de cette silhouette mais cette voix qui lui était familière venait de lui donner une lueur d'espoir, l'avançant dans son hypothèse.

-"Emily-chérie, c'est bien toi ma fille…?"déclara t-il, tout tremblant, un sourire paternel accroché sur sa face remplie d'égratignures et de crasses. Il s'approcha de l'être qui lui était cher à petit pas pour la réceptionner dans ses bras, dans une étreinte forte mais remplie d'amour. Un son ressemblant à celui de quelque chose tombant au sol, le fit se retirer, mais sans crainte.

-"Je ne comprends pas, pourtant tu…? l'homme s'arrêtant dans sa phrase en voyant que l'objet en question, était le bras de sa petite fille qui gisait sur le sol, ses petits doigts d'enfant frétillant encore, très visiblement en cours de décomposition et qu'il releva son regard vers le visage de son enfant pour constater qu'il n'était pas en meilleur état. Aucun son ne sortait de sa gorge. Pourtant il aurait voulu hurler, crier, gémir toutes les tripes de son corps pour exprimer son dégoût. Sa seule flamme d'espoir et de joie venait d'être aussi cruellement que horriblement éteinte. Des violents flots de larmes s'écoulaient sur son visage ensanglanté.

"Papa…" prononça la petite fille une dernière fois avant de croquer dans le cou de son père, lui faisant arracher un cri d'horreur. Avant qu'il n'eut le temps de s'en vouloir de s'être laissé emporté par l'euphorie et se dégager de ce monstre qu'était devenue sa fille, la mort-vivante lui démembra la tête du corps en un mouvement aussi violent qu'inhumain. Une pluie rouge tâcha la robe blanchâtre de l'ex-humaine alors qu'elle dégustait avec gourmandise la chair toute fraiche de son père désormais mort.

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-"Romanito!Tu étais pourtant chargé de ne laisser sortir personne!

-La ferme, bastardo!Il était chiant à me supplier de le laisser sortir et moi les gens collants comme ça, je les fais dégager!

-Justement, c'est ça le problème!Il faut pas les laisser sortir, Lovino mio!

-Oh et puis tu m'emmerdes, Antonio!Va te faire foutre!Garde de porte c'est pour les cons dans ton genre!"

Le dénommé Lovino, qui semblait plus énervé que jamais, poussa un cri de rage mémorable alors qu'il s'en allait d'un pas décidé, loin du dît Antonio. Son étrange ahoge, elle aussi semblait réactive à sa colère, tant elle était crispée. Ses yeux, eux, brillaient d'une lueur ambrée, semblable à celle d'un félin sur la défensive, autant que ses muscles se crispèrent quand l'autre brun à la peau mâte attrapa son poignet en une ferme étreinte. Il se tourna furieusement, pour plonger son regard noir dans les pétillants yeux verts forêt de son vis-à-vis. Il ornait un sourire gêné qui se grattant l'arrière de la tête de sa main libre.

-"Désolée mon Lovi, je voulais pas te vexer…"annonça le plus bronzé, innocence et gentillesse pur et simple, combinées dans ses simples paroles. L'autre, tentait de cacher ses soudaines rougeurs en mettant son bras devant son visage en grognant quelque chose dans sa manche que l'hispanique ne réussit pas à comprendre, même en se concentrant le plus possible sur ses paroles. Il se contentait de rire doucement et caressa la chevelure du plus petit affectueusement, en lui adressant son plus beau sourire. L'italien rougissait de plus bel, alors qu'il gigotait sur lui-même d'une façon plutôt comique en lui balançant des insultes de tous les genres possibles.

"Bien sûr que non, tu n'es pas désolé, non, non, N-NON…!" C'est à ces dernières phrases que Lovino tentait d'accrocher ses propos dans une atmosphère pesante qu'il tenta de créer en fixant son regard vert transperçant mais son visage ayant atteint un niveau de rougeur assez élevé, le brun à la peau mâte ne put s'empêcher de pouffer de rire.

"Oh…Lovino-amor~" Et il prit dans une étreinte qui se voulait plus qu'affectueuse et que malgré ses contestations, Romano finit par accepter et plaqua ses deux mains contre le torse musclé de l'hispanique qui lui, l'embrassa le front. Tout était devenu plus calme tout d'un coup dans cette immense salle vide où, entre les couleurs rouges, jaunes ou encore oranges, l'immense porte en fer renforcé faisant mouche. Mais ça, les deux hommes ni faisaient même pas attention. C'est en silence qu'ils appréciaient leur doux moment de compassion. Ni l'un ni l'autre n'osait dire un mot. Comme-ci ce moment leur était dédié. Rien qu'à eux, face à l'immensité du monde. Seulement, cela ne pouvait durer une éternité.

-"Lovino dans mon bureau immédiatement." leur annonça sèchement une voix diffusée par des haut-parleurs, accrochés au quatre coins de la salle. Leur supérieur, le directeur d'E-Den Centre. Il avait certainement dû apprendre pour l'évasion de l'homme. L'italien se dégageait en un violent coup d'épaule des bras du brun aux yeux verts et donna un coup de pied dans le vide, sa colère habituelle l'ayant finalement retrouvée. Alors qu'il commençait à s'éloigner pour aller rejoindre le bureau du supérieur, visiblement tout aussi remonté que Romano.

"Ca va forcément dégénérer…Je peux pas laisser mi tomate tout seul dans le pétrin." pensa l'espagnol alors qu'il courut pour se joindre aux côtés de son petit homme, lui léguant un sourire que l'italien refusa catégoriquement du regard.

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