Posté le Octobre

Disclamer :

Personnages : Appartiennent à Steven Moffat et Mark Gattis et Sir Arthur Conan Doyle.

Histoire : M'appartient ! (Défense de diffusion ou de traduction sans mon accord)

Epoque : Moderne. (XXIème siècle)

Lieux : Londres/Angleterre.

Inspiration : Je vole de Michel Sardou.

A/N : Me revoilà ! Bon j'écris énormément en ce moment mais je suis réticente à poster car sur ma dernière fiction ''Un accident fortuit, un colocation certaine'' pour 61 vues je n'ai eu qu'une seule review (De Melanie (Guest) à qui je fais d'énorme bisous et à qui je promets une suite). Certains diraient de m'en contenter mais sachez que j'écris avant tout pour vous ! Je veux vous faire partager mon envie d'écrire et, pourquoi pas, vous incitez à le faire. Mais pour cela j'ai besoin d'un unique message de votre part. Un seul pour me montrer que vous existez, que vous n'êtes pas des machines. On m'a dit que les auteurs pouvaient paraître impressionnant de par leur écriture mais je puis vous assurer que je ne suis qu'une trouillarde sous mon masque d'auteure ^^. Alors n'hésitez pas à me commenter pour que je vous réponde et qu'on puisse échanger nos points de vue. Je suis assez ponctuelle quand il s'agit de répondre alors s'il vous plaît pour l'amour de la fiction, faites moi don d'une review !

Big Kiss aux revieweurs/-euses

Bonne lecture.

Il regarda une dernière fois la demeure.

Celle qui avait été son foyer,

Pendant dix-sept ans, 148 920 heures,

Qui l'avait vu grandir, mûrir, sourire, pleurer,

Bref, en la quittant une partie de lui restait.

Il s'était adonné à des penchants illégaux,

Allant de squattes enfumés en repères de drogués,

Finissant toujours allongé sur le dos,

Une aiguille enfoncée dans une veine,

Comme une manière ne noyer sa peine.

Un jour, son frère l'en avait tiré,

Et il avait vu dans ses yeux,

De l'inquiétude et de la déception.

C'était pour ça qu'il s'en allait.

Il ne voulait plus qu'on le regarde de cette façon.

Il voulait vivre tranquille et heureux.

Il sécha la larme qui menaçait de couler

En se disant que c'était le bon choix.

Cependant, son départ lui laisser

Une sensation étrange au plus profond de son être.

Une nouvelle vie commençait, il ne suffit que de quelques mètres,

Pour enfin gouter à la liberté.

Car il avait fait ce choix d'abandonnait

Son enfance tendre et silencieuse,

Pour une vie d'adulte inconnue et tumultueuse.

Il avait préparé sa valise sans un bruit,

Comme un voleur au beau milieu de la nuit.

Puis, il était sorti.

Sans un mot, sans un merci.

Il admira le soleil rougeoyant qui paresseusement se lever.

Aussi rond et chaud que son cœur blessé.

A/N : C'est bien ?