Disclaimer : Les personnages de Harry Potter appartiennent à J.K. Rowling et à tous les joyeux personnages qui ont des droits sur ça. Je ne m'en sers pas pour faire de l'argent parce que de un : je ne saurais pas comment et de deux : qui paierait pour une merde dans le genre ?
Note : Étant donné le succès fulgurant de ma première fic, je me lance aujourd'hui, dimanche précédant mon dernier jour d'examen (ark, maths, ça va faire mal, je le sens) dans l'écriture de cette deuxième fic. À ceux qui m'ont écrit de superbes lettres d'insultes, je tiens à vous dire que c'est parce que vous ne captez pas les «inside» comme le dirait si bien le nain. Vous voyez, nous sommes à l'EEI et il se trouve que la plupart des jokes (que vous ne captez pas) sortent de là. Style, Velvet, Orignal et Gigi se trouvent à être respectivement un prof d'histoire et deux profs d'anglais qui font du slash très, très évident. Il se trouve que leurs deux classes sont connectées par deux armoires où ils rangent des fouets... En tout cas, je ne tomberai pas dans les détails. Régalez-vous de cette fic comme je me régale des reviews d'insultes bien écrites ! (Merci l'Istarique et l'elfe de Dollarama pour m'avoir aidé dans cette merveille)...l'homme...
Bon après ces commentaires, voici une création exclusive de moi ! (pas de collaboration de la part du nain)
P.O.V. Neville Londubat
Le professeur Lockhart ouvrit la porte de la cage qui contenait les lutins et ils se mirent à sautiller en tous sens. Moi, je tentais de me cacher de mon mieux, mais deux d'entre eux attrapèrent mes oreilles et me lancèrent du haut de salle. Heureusement, je réussis à m'accrocher au lustre. Et j'observais Lockhart. Ses cheveux blonds suivaient chacun de ses mouvements pour esquiver les lutins. Il avait une certaine élégance et je me demandai pourquoi je ne l'avais pas remarqué auparavant. Ses yeux bleus se tournèrent vers moi et j'eus la réelle impression qu'ils étincelèrent en me regardant. Mais qu'est-ce que je racontais ? Lockhart était une mauviette, et ce au su de tout le monde, y compris les fillettes qui l'admiraient. Je commençais à sentir un vertige débile s'emparer de moi et je tentai de descendre sans me blesser, mais en vain. Il devait y avoir une quinzaine de mètres entre moi et le sol. Dix minutes après que tout le monde soit sorti de la classe dévastée, je demandai à Lockhart de m'aider à redescendre.
Je suis rentré au dortoir. Confus. Pourquoi est-ce que j'avais cette envie que Lockhart me touche ? C'est Harry que j'aimais et pas lui. D'ailleurs, quand je le vis entrer, je fis comme si de rien n'était en parlant à mon cactus Marie-Mai, fille de Corneliu le défunt cactus. Pourquoi est-ce que lui aussi m'ignorait ?
Fin de P.O.V. Neville Londubat
Colin Crivey adorait son appareil photo, et dans la solitude et la tristesse, c'était toujours à lui qu'il se confiait. Un jour, Colin décida de prendre des photos des répétitions de l'équipe de Quidditch de Serpentard pour rendre service à Harry. Cependant, Drago Malefoy n'était pas attrapeur pour rien : il savait repérer les choses que les autres ne voyaient pas, et le costume de pissenlit de Colin Crivey ne trompait personne. Encore moins Drago Malefoy. Rouge de colère, il descendit et attrapa le chapeau-pissenlit de Crivey.
-Qu'est-ce que tu as là, sale vermine de Sang-de-Bourbe ? Un appareil photo ? Je peux te l'emprunter ?
-Oui... murmura Colin qui était trop apeuré pour répondre quoi que ce soit d'autre.
-Oh, désolé, dit Malefoy sur un ton sarcastique. Il venait de jeter l'appareil photo par terre.
Il le reprit, s'envola au-dessus de la forêt interdite et le jeta dans les arbres.
-Bonne recherche, Crivey !
Malefoy repartit en riant, laissant Colin pleurnicher sur son sort. Il rentra au château d'un pas aussi traînant que la voix de son ennemi. Pas question d'aller récupérer l'appareil : même s'il pouvait être réparé, Colin ne voulait rien savoir de mettre les pieds dans cette forêt si dangereuse... Il monta les marches, bien résolu à trouver un catalogue qui vendrait des appareils comme le sien. Quelqu'un le bouscula et il tomba tête première, déboulant les escaliers qu'il avait pris tant de temps à monter, tel une hirondelle en quête de bonheur et qui cherche son âme sœur.
-C'est trop vous demander de faire attention ? demanda Colin en frottant son crâne douloureux.
La fille qui se trouvait devant lui avait de longs cheveux blonds, sales et emmêlés. Elle avait des yeux globuleux qui lui faisaient un regard terrifiant. Colin se souvenait de l'avoir vue danser la lambada en compagnie d'Hannah Abbot.
-Je suis désolée, dit-elle dans un lent souffle rauque. Pour quoi pleures. Tu ainsi ? Je me n-homme Luna Lovegood.
-Malefoy a brisé mon appareil photo et l'a envoyé valser dans les champs de queues de porc frit. C'était mon seul ami...
-Moi aussi je suis comme ça. Tiens, prends le mien. Il s'appelle Wilfred la Crevette. Tu découvriras sûrement pourquoi. Ça compensera pour la dégringolade que tu viens de te taper. Au revoir !
-M-mer-r-ci...
Colin s'en alla, tout heureux d'avoir trouvé deux nouveaux amis. Il s'amusa à découvrir toutes les fonctions de Wilfred la Crevette. Premièrement, il pouvait s'en servir pour se brosser les dents et pour se laver les cheveux en camping. Ensuite, il découvrit qu'il y avait déjà un film à l'intérieur et qu'il y avait encore de la place pour 367 photos, malgré les 238 photos déjà prises. Le seul ennui, c'était qu'il était très, très, très gros. Il n'était donc pas petit. Mais il trouva la solution à ses problèmes : sur le côté, il y avait un bouton vert qui, lorsqu'il était enfoncé, réduisait l'appareil à une petite crevette d'eau douce. Que de joie ! Il prit en photo tout ce qu'il trouvait. Il le laissa près du dortoir d'Harry Potter, dans l'espoir d'en avoir quelques photos.
Re-Note : Alors, vous avez aimé ? Envoyez-moi des insultes en grand nombre ! (mais pas en anglais)
Note : Étant donné le succès fulgurant de ma première fic, je me lance aujourd'hui, dimanche précédant mon dernier jour d'examen (ark, maths, ça va faire mal, je le sens) dans l'écriture de cette deuxième fic. À ceux qui m'ont écrit de superbes lettres d'insultes, je tiens à vous dire que c'est parce que vous ne captez pas les «inside» comme le dirait si bien le nain. Vous voyez, nous sommes à l'EEI et il se trouve que la plupart des jokes (que vous ne captez pas) sortent de là. Style, Velvet, Orignal et Gigi se trouvent à être respectivement un prof d'histoire et deux profs d'anglais qui font du slash très, très évident. Il se trouve que leurs deux classes sont connectées par deux armoires où ils rangent des fouets... En tout cas, je ne tomberai pas dans les détails. Régalez-vous de cette fic comme je me régale des reviews d'insultes bien écrites ! (Merci l'Istarique et l'elfe de Dollarama pour m'avoir aidé dans cette merveille)...l'homme...
Bon après ces commentaires, voici une création exclusive de moi ! (pas de collaboration de la part du nain)
P.O.V. Neville Londubat
Le professeur Lockhart ouvrit la porte de la cage qui contenait les lutins et ils se mirent à sautiller en tous sens. Moi, je tentais de me cacher de mon mieux, mais deux d'entre eux attrapèrent mes oreilles et me lancèrent du haut de salle. Heureusement, je réussis à m'accrocher au lustre. Et j'observais Lockhart. Ses cheveux blonds suivaient chacun de ses mouvements pour esquiver les lutins. Il avait une certaine élégance et je me demandai pourquoi je ne l'avais pas remarqué auparavant. Ses yeux bleus se tournèrent vers moi et j'eus la réelle impression qu'ils étincelèrent en me regardant. Mais qu'est-ce que je racontais ? Lockhart était une mauviette, et ce au su de tout le monde, y compris les fillettes qui l'admiraient. Je commençais à sentir un vertige débile s'emparer de moi et je tentai de descendre sans me blesser, mais en vain. Il devait y avoir une quinzaine de mètres entre moi et le sol. Dix minutes après que tout le monde soit sorti de la classe dévastée, je demandai à Lockhart de m'aider à redescendre.
Je suis rentré au dortoir. Confus. Pourquoi est-ce que j'avais cette envie que Lockhart me touche ? C'est Harry que j'aimais et pas lui. D'ailleurs, quand je le vis entrer, je fis comme si de rien n'était en parlant à mon cactus Marie-Mai, fille de Corneliu le défunt cactus. Pourquoi est-ce que lui aussi m'ignorait ?
Fin de P.O.V. Neville Londubat
Colin Crivey adorait son appareil photo, et dans la solitude et la tristesse, c'était toujours à lui qu'il se confiait. Un jour, Colin décida de prendre des photos des répétitions de l'équipe de Quidditch de Serpentard pour rendre service à Harry. Cependant, Drago Malefoy n'était pas attrapeur pour rien : il savait repérer les choses que les autres ne voyaient pas, et le costume de pissenlit de Colin Crivey ne trompait personne. Encore moins Drago Malefoy. Rouge de colère, il descendit et attrapa le chapeau-pissenlit de Crivey.
-Qu'est-ce que tu as là, sale vermine de Sang-de-Bourbe ? Un appareil photo ? Je peux te l'emprunter ?
-Oui... murmura Colin qui était trop apeuré pour répondre quoi que ce soit d'autre.
-Oh, désolé, dit Malefoy sur un ton sarcastique. Il venait de jeter l'appareil photo par terre.
Il le reprit, s'envola au-dessus de la forêt interdite et le jeta dans les arbres.
-Bonne recherche, Crivey !
Malefoy repartit en riant, laissant Colin pleurnicher sur son sort. Il rentra au château d'un pas aussi traînant que la voix de son ennemi. Pas question d'aller récupérer l'appareil : même s'il pouvait être réparé, Colin ne voulait rien savoir de mettre les pieds dans cette forêt si dangereuse... Il monta les marches, bien résolu à trouver un catalogue qui vendrait des appareils comme le sien. Quelqu'un le bouscula et il tomba tête première, déboulant les escaliers qu'il avait pris tant de temps à monter, tel une hirondelle en quête de bonheur et qui cherche son âme sœur.
-C'est trop vous demander de faire attention ? demanda Colin en frottant son crâne douloureux.
La fille qui se trouvait devant lui avait de longs cheveux blonds, sales et emmêlés. Elle avait des yeux globuleux qui lui faisaient un regard terrifiant. Colin se souvenait de l'avoir vue danser la lambada en compagnie d'Hannah Abbot.
-Je suis désolée, dit-elle dans un lent souffle rauque. Pour quoi pleures. Tu ainsi ? Je me n-homme Luna Lovegood.
-Malefoy a brisé mon appareil photo et l'a envoyé valser dans les champs de queues de porc frit. C'était mon seul ami...
-Moi aussi je suis comme ça. Tiens, prends le mien. Il s'appelle Wilfred la Crevette. Tu découvriras sûrement pourquoi. Ça compensera pour la dégringolade que tu viens de te taper. Au revoir !
-M-mer-r-ci...
Colin s'en alla, tout heureux d'avoir trouvé deux nouveaux amis. Il s'amusa à découvrir toutes les fonctions de Wilfred la Crevette. Premièrement, il pouvait s'en servir pour se brosser les dents et pour se laver les cheveux en camping. Ensuite, il découvrit qu'il y avait déjà un film à l'intérieur et qu'il y avait encore de la place pour 367 photos, malgré les 238 photos déjà prises. Le seul ennui, c'était qu'il était très, très, très gros. Il n'était donc pas petit. Mais il trouva la solution à ses problèmes : sur le côté, il y avait un bouton vert qui, lorsqu'il était enfoncé, réduisait l'appareil à une petite crevette d'eau douce. Que de joie ! Il prit en photo tout ce qu'il trouvait. Il le laissa près du dortoir d'Harry Potter, dans l'espoir d'en avoir quelques photos.
Re-Note : Alors, vous avez aimé ? Envoyez-moi des insultes en grand nombre ! (mais pas en anglais)
