Dis Pansy, comment on fait les bébés

Disclamer : Tout ce que vous reconnaissez appartient à JK Rowling. Je ne touche aucun pourcentage sur les ventes (dommage!) L'idée vient de Epona'm suite à un article sur mon blog.

Dans la salle commune des Gryffondors, Harry, Ron, Seamus, Hermione, Ginny, et Lavande étaient assis en rond. Quelques heures plutôt, Hermione leur avait fait découvert le jeu moldu « Action ou vérité » Sauf que la jeune femme avait expliqué la variante française ainsi que la règle qui interdisait de demander toujours la même chose. Ainsi, Harry s'était vu faire le singe, Hermione avait du voler sur l'éclair de feu, Lavande devrait s'habiller en garçon toute la journée de demain, Seamus devrait être l'esclave d'Hermione, quant à Ginny, elle devrait aller dire à Drago Malefoy, Serpentard dans toute sa splendeur, qu'elle était folle de son corps, et qu'elle faisait du vaudou pour qu'il l'aime.

« - Ron, Action, vérité, chiche, bonus, action 1 ou action 2 ? (Alors le chiche, c'est juste de poser la question Chiche de faire tel truc, si la personne dit oui, elle doit le faire. Le bonus, c'est une action et une vérité. Quant aux actions, la 1 c'est faire un « bec » à quelqu'un, la deux, c'est le french kiss)

« - Action, dit le jeune homme.

Hermione réfléchis quelques instants, et un sourire diabolique fit son apparition sur son visage. Après tout, c'est Ron qui l'avait obligé à voler. Il ne lui pas laissé le choix puisque son gage était d'enlever une de ses affaires. (C'est comme ça qu'on joue avec des amis. Enfin qu'on jouait) Le jeune Weasley, voyant la tête de son amie, déglutit bruyamment, faisant rire l'assemblée.

« - Tu devras demander à une fille comment on fait les bébés. Mais attention, c'est Harry qui la choisira, et tu devras attendre sa réponse. Ce n'est qu'une fois que tu sauras que tu pourras lui avouer que c'était un pari. Personne n'a le droit de savoir à quoi une bande de Gryffondors s'amuse le dimanche soir.

« - Pas de problème. Harry, mon frère, dit-il d'une voix suppliante, choisis-en une bien et gentille qui se moquera pas !

« - J'ai déjà mon idée, en fait, désolé. Dis-moi Mione, il aura le droit de refuser celle que je lui propose ?

« - Il n'aura que deux choix. Et un joker masculin ! Ron à toi !

La partie continua durant plusieurs minutes, puis, un portrait annonça aux élèves que s'était l'heure de se coucher. Alors que tous avaient hâte de voir les actions se dérouler, un jeune homme n'était pas ravi. Connaissant le côté sadique de son meilleur ami, il avait peur du choix de celui-ci. En effet, depuis que Voldemort était mort, Harry s'amusait beaucoup plus, et faisait énormément de blagues, tout en remplissant parfaitement ses devoirs de préfets en chef. Ron se coucha donc, après réitéré, sa supplique, à son meilleur ami. Voyant l'air sadique du préfet en chef, il avait regretté les blagues de Fred et Georges. Il n'avait pas hâte de se lever.

Quand le tableau les réveilla, Ron se cacha sous sa couette, quelques instants en pensant à sa journée. Tandis qu'il prenait sa douche, une question tourna dans sa tête. Qui, Harry, allait-il désigner ? Il se prépara mollement, et arriva dans la Grande Salle, plus pâle que d'habitude. Son inquiétude grandit quand Harry annonça qu'il avait fait son choix.

« - Alors Ron, tu as le choix, tu demandes soit à Pansy Parkinson, soit à McGonagall. Ton joker masculin étant Malefoy !

« - Tu as la journée pour poser la question Ron ! Et il faut qu'il y ait un témoin. Je te laisse le choix sur celui-ci, annonça fièrement Hermione.

La jeune femme n'avait pas digéré le fait d'avoir été obligé de voler. Heureusement, elle avait accompagné de Ginny pour ce vol inaugural. Bien qu'elle aurait préféré Harry. Celui-ci d'ailleurs, lui envoya une lettre par le biais d'un hibou de l'école.

Mione, cela te dirait-il de venir voler avec un pro des cascades ? Maintenant tu as volé avec Ginny, tu peux avoir confiance en moi. Harry !

C'était présomptueux, pensa-t-elle, mais elle avait pleinement confiance en lui. Comme le hibou attendait une réponse, elle répondit simplement par l'affirmative. L'oiseau s'envola, et tout le monde reprit son repas.

A la fin de la matinée, Ron demanda à Harry d'être le témoin. Celui-ci rit sous cape, et accepta. Il avait hâte d'être à la fin de la journée. Ron l'avait prévenu, il irait voir la personne qu'il avait choisit, et lui poserait la question après le cours de Potion d'Harry et Hermione. En effet, le jeune homme n'ayant pas eu les notes nécessaires, n'avait pu accéder à ce cours. Cela l'enchantait. Maintenant que Voldemort n'était plus là, il voulait devenir joueur de Quidditch professionnel. Il n'avait donc pas eu besoin d'avoir Optimal en potion. Ce qui allégeait son emploi du temps de trois heures hebdomadaires, durant lesquelles il allait voler. Harry lui avait appris, plusieurs figures utiles à n'importe quel poste. De plus, il lui avait montré comment réalisé une superbe feinte de Wronski. Le jeune homme s'entraînait donc activement durant les cours de potions de ses meilleurs amis.

Ce jour-là, il laissa parler ses nerfs, et réussit plusieurs belles figures. Il entendit plusieurs applaudissements. Descendant, il aperçut plusieurs jeunes femmes l'observer. En effet, le jeune homme avait gagné en popularité, depuis la défaite de Voldemort. D'abord, parce qu'il avait aidé Harry lors du combat, mais surtout parce qu'il avait mûrit et ne ressemblait plus à ce garçon, aux cheveux flamboyant, et à la silhouette dégingandée. Il avait à présent un corps imposant et relativement bien musclé, comme tous les joueurs de Quidditch. Sa chevelure rousse avait légèrement foncée, et avait à présent des reflets auburn, qui était plus longue que lors de sa quatrième année et souvent décoiffé dû à ses nombreux vols. Mais les jeunes femmes, tombaient sous le charme de ses yeux bleus très expressif. Ils faisaient penser à ceux de Drago Malefoy, avec en plus cette étincelle, de vie, de joie, et surtout d'amour que ceux que Serpentard n'avait pas. Il salua les filles d'un mouvement de tête et d'un sourire, avant de remonter. Il fit encore plusieurs figures avant de filer sous la douche. Quitte à passer pour un crétin, autant que ce soit un crétin propre sur lui. Il connaissait la rumeur que Malefoy avait lancé sur le fait, qu'il ne pouvait pas se laver chez lui, vu qu'il n'avait pas l'eau. Lorsqu'il sortit des vestiaires, une Serdaigle l'attendit. Il lui sourit et la salua.

« - Je m'appelle Joana Mcdiraso. T'es super à l'aise sur un balai, dis donc ! Tu ne voudrais pas me donner deux ou trois cours. J'aimerais bien impressionner mes parents en vacances.

« - Si tu veux, Joana. Si t'es libre, je pourrais toujours t'apprendre deux trois trucs, mercredi avant le repas du midi ? Par contre, je dois te laisser, j'ai rendez-vous avec Harry, un truc à faire !

Il la salua, et lui sourit avant de partir doucement. En fait, il n'était pas si pressé de partir, mais il connaissait Joana. Elle était en même année que lui et avait fait ce coup-là aux jumeaux. Il secoua la tête et accéléra le pas. Il entra dans la salle commune, et chercha son ami. Ils avaient rendez-vous ici. Il en était sur. Il vit Hermione descendre et l'interrogea.

« - Il avait un truc rapide à faire avant. Il n'en a pas pour longtemps rassure-toi, dit-elle avec un sourire. Alors prêt pour la honte de ta vie ?

« - Tu me le payeras Granger, répondit-il avec un large sourire.

Ils avaient pris le pli de s'appeler par leurs noms de familles, quand ils rigolaient entre eux, après un coup vache. Harry entra à ce moment. Il tapa dans le dos de son meilleur ami, et lui demanda s'il était prêt.

« - Non, mais il le faut, plus vite, j'aurais terminer, mieux ce sera !

Ils rirent tous les trois, et Ron ne s'aperçut pas, du clin d'œil d'Harry pour sa meilleure amie. Pas plus qu'il ne vit celle-ci rougir tout en souriant. Il partit poser quelque chose aux vestiaires et Harry en profita pour prendre la main d'Hermione avant de lui chuchoter le lieu et l'heure du rendez-vous, pour allez voler. Elle acquiesça et rougit de leur proximité. Il lâcha sa main au moment ou leur ami revint. Quand les garçons partirent, il se retourna une dernière fois, et sourit en faisant un autre clin d'œil. Il adorait la voir rougir, cela lui allait si bien. Harry s'était aperçut de ses sentiments pour sa meilleure amie, depuis déjà longtemps mais n'osait pas aller vers elle, de peur de briser leur amitié. Il écouta son meilleur ami discourir sur ce jeu moldu stupide et sans intérêt, tout en riant.

« - Le pire, c'est que je dois attendre une réponse !

Pour la vingtième fois, depuis qu'ils étaient sortis de la salle commune, il soupira. Heureusement, il croisa la personne qu'il cherchait dans les couloirs.

« - Parkinson, appela-t-il une fois qu'Harry fut sous sa cape d'invisibilité, j'aurais une question pour toi !

« - C'est bien, j'en suis ravie ! Salut, dit-elle en partant.

Seulement, il la rattrapa et la retint par l'épaule.

« - Ce ne sera pas long, je te le jure !

« - Lâche mon épaule Weasley, je me suis lavée, ce matin !

Il retint une mauvaise réplique de franchir ses lèvres, et se concentra sur son action. Inspirant un bon coup, il lâcha la jeune femme et dit :

« - Dis-moi Pansy, comment on fait les bébés ?

« - Tu te fous de ma gueule là ? Avec l'équipe de Quidditch que ta mère a fait, tu ne connais pas le truc ? T'es vraiment un attardé mon pauvre. Ecris-lui donc une lettre ! Et demande la réponse en Beuglante, comme durant note deuxième année, quand tu avais pris votre voiture magique !

« - Ah ok, tu ne sais pas. Il fallait le dire plus tôt, j'aurais moins perdu mon temps, dit-il.

« - Je sais pertinemment, comment on fait les enfants Weasley !

« - Alors dis-moi !

« - Très bien, lâcha-t-elle en soufflant bruyamment puis prenant la même voix que si elle parlait à un enfant stupide, alors c'est simple, quand un homme et une femme s'aiment très fort, ils vont à « La jardinerie magique » et demande au vendeur, un paquet de graines à enfants. Une fois qu'ils l'ont, ils rentrent chez eux, la maman prend une graine rose et une graine bleue. Elle les boit avec un grand verre de jus de citrouille, tout comme le papa. Les autres graines, ils les mettent sous leur lit. Après ils se font un bisou sur la bouche. Pendant toute une journée, ils se font un bisou toute les heures, et après ils n'ont plus qu'à attendre. Au bout de neuf long mois, durant lequel le ventre de la maman a gonflé, ils vont chez le médecin. Celui-ci appuis très fort sur le ventre et fait sortir le bébé. Voilà, t'es content Weasley ?

« - Euh oui, maintenant je sais pourquoi t'as une drôle de tête et pourquoi t'as pas de frère ni de sœur. Si tes parents ont utilisé cette « méthode » forcément. Ils n'ont pas du avoir beaucoup de chance. Ce qui expliquerait aussi ton manque d'intelligence.

Sur ses mots, il commença à partir alors que la jeune femme le regardait la bouche ouverte. Se tournant, il dit simplement :

« - Au fait Parkinson, contrairement à toi, je sais comment faire un enfant. C'était juste un pari stupide.

Aussitôt, il partit suivit de son meilleur ami. Lorsqu'ils eurent tourné l'angle du mur, Harry sortit de sa cachette et explosa de rire, se souvenant de l'histoire plus qu'étrange de la jeune femme. Ils entrèrent dans la salle commune, toujours en riant. Hermione les interrogea du regard. Ron ne parvint seulement à dire :

« - Tout à l'heure au dîner !

Sur ses mots, il monta alors qu'Harry s'affala dans un fauteuil tout en prenant son manuel de défenses contre les forces du mal. Il l'ouvrit sans en lire une ligne. Il observa au contraire sa meilleure amie. Comment pourrait-il lui avouer ses sentiments. Elle avait l'air d'aimer Ron, depuis toujours. Il secoua la tête et ferma les yeux, ne voyant pas sa meilleure le regarder. Elle avait trouvé Harry attirant, le jour ou elle l'avait rencontré, dans le train. Non pas parce qu'il était Harry Potter, mais parce qu'il avait cette innocence et cette insouciance dans le regard, que peu de personne aurait eu avec son passé. Puis il avait gardé ces qualités et sa simplicité malgré ce qu'il avait vécu. Hermione soupira et ferma ses livres, n'arrivant pas à se concentrer. En réalité, deux choses l'empêchaient de travailler. La première étant que son meilleur ami, sur lequel elle craquait, était là, devant elle, affalé sur un fauteuil avec les yeux fermé et les traits détendus. Comme s'il avait trouvé la paix intérieure. Elle avait remarqué que depuis sa victoire, in extremis, il avait l'air enfin en paix avec le monde. La deuxième chose qui détournait son esprit des livres, était ce rendez-vous qu'elle avait à huit heures dans le Hall avec lui. Elle soupira, une fois de plus, et monta ranger ses livres, alors que Ron descendait. Il lui demanda de redescendre, le repas allait commencer. Il prévint tout le groupe de la veille qu'il avait d'importantes choses à révéler.

C'est ainsi que quelques minutes plus tard, toute la troupe entra dans la Grande Salle. Ron risqua un œil, à la table des Verts et Argents. Elle était là et jouait avec ses aliments plus qu'elle ne mangeait. Il nota que personne ne s'en inquiétait. Secouant la tête, il s'installa et, raconta comment s'était déroulé son action. Au fur et à mesure, il était coupé pour qu'Harry confirme la version. Ce que celui-ci avec grand plaisir. Il s'était servi mais n'avait encore rien mangé. A la fin du récit, toute la salle vit le groupe de six Gryffondors exploser de rire. Aucun d'eux n'arrivaient n'arrivait à se contenir, malgré que deux d'entre eux avait vécu l'histoire. Le premier à se calmer sur Ron, suivit de très prêt par Harry. Il le regarda et déclara qu'il allait se venger, si jamais elle racontait son histoire aux Serpentard. Hermione rit de plus belle, imaginant la tête que ferait Malefoy devant une telle histoire. Seulement, le jeune brun, lui prit tendrement la main. Ce contact lui fit l'effet d'une douche froide. Elle se calma très rapidement, et quand Ron lui demanda des explications, elle les donna tout en savourant le contact de sa main. Tout le monde rit de bon cœur, sauf Harry. Seulement, il s'efforça de donner le change. Il n'aimait pas la tournure des éléments. Finalement, ils arrivèrent à se calmer, et prirent leur repas. Lorsqu'ils sortirent tous ensemble de la pièce, ils furent interpellés par Malefoy.

« - Alors Weasley, c'est vrai que tu ne sais comment on fait les enfants ? Tu veux un cours peut-être ?

Ron se tourna pour répliquer, mais ne dis rien. Il regarda dédaigneusement le Serpentard face à lui, et parti en souriant. Il laissait couler pour ce soir, mais se promit de donner une bonne correction à la pipelette Serpentardesque. Le reste de la soirée fut ponctuée d'éclats de rire. Tout le monde voulait rejouer au jeu, seulement, Harry et Hermione refusèrent. Ils avaient d'autres projets pour la soirée. De plus, ils devaient faire une ronde. Ils sortirent donc en même tempe vérifier les couloirs. Hermione avait décidé d'aller voler un peu, puis de revenir pour la dernière ronde. Ainsi, personne ne pourrait rien dire. Le jeune homme fut d'accord. Ainsi ils firent rapidement le tour du château, et partirent dans le parc. Il fit entrer sa meilleure amie dans le vestiaire, et prit son balai. A sa vue, la jeune femme pâlit. Le voyant, le capitaine s'approcha d'elle et dit simplement :

« - Aie confiance en moi, je te jure de ne pas te faire de mal, dit-il, jamais !

« - J'ai confiance en toi Harry, mais beaucoup moins en ce balai. Aussi sur soit-il, ajouta-t-elle.

Il lui sourit, et monta sur le balai et avant de la faire monter devant. Il prit les commandes mais bientôt, il stabilisa le balai, la laissant contempler les reflets du ciel dans l'eau du lac. Durant plusieurs minutes, alors qu'elle semblait perdue dans le paysage, il l'observa longuement. Son nez fin, ses yeux brillants où se reflétait les étoiles, sa bouche qu'il ne rêvait que d'embrasser. Tout en elle le faisait chavirer. Finalement, il laissa passer sa chance, supposant qu'elle aimait Malefoy. Ils descendirent, et Hermione parla longuement du paysage, du calme qu'elle avait ressentit face au lac, ainsi que ce sentiment de sécurité près de lui. Il en fut touché et sourit durant la ronde. Aucun élèves n'étant de sortie, elle fut rapide. Il était simplement heureux de savoir qu'elle avait apprécié son vol alors que la veille, elle avait été tendue, selon Ginny. Ils arrivèrent devant le tableau de la Grosse Dame. Avant d'entrer, Hermione se tourna.

« - Tu me remmèneras ?

« - Quand tu veux Choukette, chuchota-t-il très prêt de son oreille.

En fait, il était si prêt, qu'il aurait put embrasser son visage, juste au niveau de l'oreille. Ce qu'il fit tendrement, alors que la jeune femme frissonna en fermant les yeux. Il redessina sa mâchoire avec des bisous, s'arrêtant sur la commissure de ses lèvres. Il n'était qu'à un centimètre. Il n'osait pas franchir le peu de distance qu'il restait. Soufflant un bon coup, ce fut la jeune femme qui brisa la distance, en collant tendrement ses lèvres sur la bouche d'Harry. Ils s'embrassèrent quelques minutes, puis décidèrent de garder leur histoire cachée durant quelques jours. Seul Ron et Ginny serait mis au courant. Quand ils entrèrent, les deux frères Weasleys étaient là à discuter attendant des nouvelles de leurs amis. Ils devaient terminer un devoir. Une heure plus tard, ils ressortirent pour gagner leurs appartements. Ron retint sa sœur quelques minutes et ils complotèrent quelques instants.

Une semaine plus tard

Une beuglante entra dans la Grande Salle apporté par un grand duc noir. Il déposa l'enveloppe devant Pansy Parkinson. Celle-ci tremblante l'ouvrit, s'attendant à recevoir des nouvelles de ses parents. Seulement, ce fut une voix étrange qui parla. Elle semblait enrayé comme si, un robot moldu l'avait enregistré. Tout en hurlant, la beuglante déclara :

« - Mademoiselle Parkinson, pour faire un enfant, il ne faut pas acheter des graines chez un jardinier, pas plus qu'il ne faut les cacher sous son lit, et se faire un tout petit bisou du bout des lèvres. Quant à l'accouchement, l'enfant ne sort pas d'un coup quand le médicomage appuie un grand coup sur le ventre. Arrêtez donc de chercher à plaire à votre idiot de voisin et ouvrait un manuel de science moldu. C'est fou ce qu'on n'en apprend sur les choses de la vie.

Sur ses mots, l'enveloppe rouge se déchiqueta. La jeune femme était rouge. Un bloc, elle se tourna vers la table des Gryffondors, et darda son regard dans celui bleu de son ennemi. Silencieusement, elle articula un « Tu vas me le payer Weasley de malheur ! »

Fin ! ! !

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Lana51