Partie 1
Monsieur et Madame Dursley était un couple tout à fait normal. Vernon, le mari était un homme massif, avec très peu de cou et une imposante moustache. Il travaillait dans une entreprise de perceuse. Madame, était quand à elle une femme au foyer dévoué à sa famille, elle s'occupait de leur fils Dudley et aimé espionner ses voisins avec son long cou. L'enfant, ressemblait beaucoup à son père par sa corpulence. Les parents ne lui mettant aucune limite, il grandissait en devenant de plus en plus égoïste et capricieux. Cette famille c'était installé dans une petite maison d'une banlieue de Londres ; Surrey au 4 privet drive. La vie de cette famille était le plus normal possible. Cependant, un événement lors de l'automne 1981 allait bouleverser le quotidien des Dursley. Le matin du 1er novembre, en sortant de chez elle, Pétunia Dursley cria d'une voix aigue. Devants sa porte dormait un bébé emmitouflé dans une couverture. Harry Potter –le neveu de pétunia- dormait sans savoir que dès aujourd'hui, son quotidien sera de se faire pincer et mordre par Dudley.
« Garçon ! Dépêche-toi de préparer le petit déjeuné et ne fait rien bruler !»
Cela faisait maintenant 9 ans depuis l'automne 1981. Dans le salon, les nombreuses photos montrait un garçon blond grassouillet à différentes âges, avec ou sans ses parents. Pourtant, Harry –qui vivait dans cette maison- n'apparaissait dans aucune. En faite, les Dursley préférait oublier sa présence, sauf quand le garçon pouvait être utile. Bien que n'ayant jamais eu de cadeau d'anniversaire ou de noël et ne recevant que des vêtements de second main beaucoup trop grands pour lui, il devait travailler pour mériter son logis. Dès qu'il était assez agile de ses mains, pétunia lui a enseigné le ménage, la cuisine et le jardinage.
Harry n'était pas aimé même hors de sa famille, les habitants du quartier l'évité. Pour les adultes, Vernon avait raconté comme quoi il était un délinquant et les enfants avaient trop peur de la bande à Dudley pour jouer avec la petite victime. Harry posa sur la table une assiette remplit à ras-bord de bacon et de saucisse pour les hommes en plus des toasts à la marmelade de Pétunia. Il versa le café de l'oncle, le thé de la tante et le jus d'orange de son cousin avant de retourner dans la cuisine pour commencer la vaisselle. Il prit un verre d'eau et un toast comme petit déjeuné avant de se préparer pour l'école. S'il n'était pas prêt, oncle Vernon ne l'attendrai pas et il devra aller à pied et donc arrivé en retard. Sans un regard de son oncle, l'enfant de 10 ans s'installa sur le siège arrière pendant que Dudley réclamé celui de devant.
Chaque jour, l'école se passait de la même façon. En classe, il écoutait attentivement sans jamais participer et ratait volontairement ses contrôles (les Dursley l'accuseraient de tricher s'il avait une bonne note). A la récréation, il fuyait les amis de Dudley qui le pourchassaient. Heureusement, avec sa petite taille et sa maigre silhouette il était plus rapide que son cousin.
Parfois, des événements étrange et inexplicable se déroulaient dans cette petite école de quartier. A chaque fois, la famille le faisait payer à leur neveu, Ils l'enfermaient dans son placard (car oui l'enfant n'avait même pas de chambre mais un placard sous l'escalier). Donc oui, quiconque aurait pu voir la vie du jeune Harry Potter aurait deviné que ce garçon était l'indésirable de la famille. Cependant aucun voisin ne se doutait de rien, restant aveugles aux maltraitances de l'enfant. Pour eux, M et Mme Dursley avait eu bon cœur de recueillir un petit orphelin dont les parents c'étaient tué, ivre dans un accident de voiture. N'ayant aucune autre famille, Harry était condamné à rester avec eux jusqu'à l'âge adulte. Parfois, il rêvait que des lointains parents viendraient l'emmener. Mais à 10 ans, il avait suffisamment de maturité pour savoir que ce n'était pas possible. Il ne lui restait que sa tante, son oncle, la sœur de son oncle (qui le déteste encore plus) et son cousin. Donc non, Harry Potter ne voyait aucune échappatoire.
C'était début juin, et après avoir arrosé le jardin, son oncle l'avait ordonné de nettoyer le grenier. Quand il rentra par la trappe, une couche de poussière s'envola. Personne ne venait ici, le lieu était plein de bric à braque inutile. Harry toussa avant d'aller allumer l'ampoule de la pièce. Harry savait que l'oncle l'avait envoyé ici pour ne plus le voir pendant des heures. N'ayant plus le choix, il commença à enlever les toiles d'araignée avec son balai. Plus il fouillait, plus il voyait vraiment le contenu. La plupart semblait trop vieux pour avoir appartenu à Dudley. Le vieux cheval de bois dans le coin de la pièce était plutôt de la génération de pétunia avec tout un tas de poupées. En vérité, lors du décès de ses parents, Pétunia a du vider la maison en express pour la vendre. Les affaires de la famille Evans avait alors étaient stocké dans le grenier en attendant un trie (qui finalement n'a jamais eu lieu). Harry devait pousser les cartons entassé pour se faire un accès dans le grenier. Au bout d'un moment, son regard croisa quelque chose d'inhabituel. Sous des boites de chaussure, une grande malle de style ancienne prenait la poussière. Sur l'attache en cuire était gravé les initiales L.E. A l'intérieur, ce n'était pas un trésor de pirate -comme un enfant aurait pu supposer- mais les affaires d'une personne. Quelque vêtement, une balance, des grimoires et des plumes. Les livres étaient plutôt étranges. Le premier montrait des dessins et caractéristiques de créature fantaisiste, les autres étaient sur les runes, les plantes et l'astrologie. En bref, à ce demandé comment de tel bouquin pourrait cohabiter au 4 Privet drive avec les habitants.
En fouillant, Harry sentit quelque chose de dur. Caché sous un pull, un journal en cuir aux pages jaunis par le temps qu'il ouvrit a la première page. Journal de Lily Evans Harry n'avait jamais connu ses parents, ils étaient morts quand il était bébé. Sa tante n'en parler jamais sauf pour les traiter de bons a rien. Il savait que le nom de jeune fille de sa tante était Evans. Une année, ils avaient du faire comme devoir leur arbre généalogique. Pétunia avait aidé (ou plutôt fait à la place) de son fils. Ne sachant rien de ses parents, il avait donc demandé à sa tante. Elle l'avait regardé comme si elle venait d'avaler un citron entier. Afin de ne pas perdre la face (qu'aurait-dit les professeurs si Harry disait ne pas connaitre les noms de ses parents) elle lui révéla qu'ils s'appelaient Lily Evans et James Potter. Puis, de ne plus poser de question. De ce fait, Harry savait qu'il tenait dans les mains le journal de sa mère. Il termina son rangement approximatif (de toute façon personne ne vérifierait) en prenant bien soin de recacher la malle. Il mit le journal sous son pull, maintenu par la ceinture du jean avant de retourner en vitesse dans son placard. Il cacha le journal dans sa tête d'oreiller avant de rejoindre la cuisine pour préparer le repas du soir. Pendant que sa famille dégustait le poulet rôtis dans la salle à manger, le jeune garçon mangeait son pain et son morceau de fromage dans la cuisine avant de nettoyer le plan de travail.
Il était retourné dans son placard pendant que sa famille regardait la télé. Il alluma la petite lampe dans le coin avant de sortir le livre. Harry n'en revenais pas, il tenait dans sa main le journal de sa mère. Pour un orphelin c'était là un bien précieux. Il ouvrit une page au hasard.
Chère journal, aujourd'hui encore Pétunia refuse de me parler. Depuis que j'ai rencontré Severus, elle ne cesse de nous traiter de monstre. Et Sev ne m'aide pas en l'insultant de cheval ou de moldue. J'espère qu'ils vont finir par au moins se tolérer. Je ne veux pas me disputer avec mon meilleur ami et ma sœur…
Bon, apparemment sa tante déteste sa mère depuis bien longtemps. Mais il ne connaît aucun severus. Si l'homme est toujours vivant, il avait du bien connaître sa mère et pourrait lui en parler. Peut être qu'il pourrait se renseigner sur l'homme ?
Chaque soir, Harry lisait le même livre, l'histoire de sa mère. Plus les jours passait, plus il se rendait compte des mensonges de sa famille. Car très vite, il a comprit d'où venais ses étrangetés. Sa mère avait apprit qu'elle était une sorcière lors de sa rencontre avec Severus. Et oui, la magie existait bien et vu que sa mère était une sorcière, lui aussi devait l'être. Comme la fois ou les cheveux de son professeur était devenu bleu quand elle l'avait puni pour quelque chose que Dudley avait fait. Severus était devenus très proche de sa mère, plusieurs fois Lily se plaignait des mauvais traitements que le père de Severus avait infligés au garçon. Harry se sentait proche du duo au fur et à mesure de sa lecture.
Chère journal,
Aujourd'hui, je passe ma première nuit à Poudlard ! Ce matin, j'ai pris avec Sev le train à la voie 9 ¾ , la locomotive était magnifique et il fallait traversé le mur entre les voies pour y accéder. Papa et maman on eu du mal à me dire au revoir, après tout je ne reviendrais que pour noël. Mais tant que j'envoie un hibou toute les semaines ils ne devraient pas trop d'inquiété. Bien sur pétunia ne voulais pas venir et préféré rester à la maison pour sa rentré de demain… J'ai pu rencontrer Alice, une 1ere année comme nous. Elle vient d'une famille de sang pur comme m'avais expliqué Sev. Au moins je suis rassuré qu'elle ait bien voulu me parler vu mes origine moldue. Au moins tous les sangs purs n'ont pas de préjugés. En tout cas, l'événement le plus marquant ce fut mon trie par le choixpeau qui m'a envoyé à griffondor. Malheureusement Sev est moi avons était séparé, lui est partit pour serpentard. Mais nous avons juré de rester amis, et foi de Lily Evans, rien ne changera entre nous !
Chère journal
Aujourd'hui je me retiens de faire un meurtre. Ce garçon dans m'a classe m'harcèle depuis notre premier cours. Il se permet d'être en retard le premier jour et de me déranger dans mon travail en me lançant des mots. J'ai clairement entendu dans la salle commune quand il disait à son ami Sirius Black que je serais bientôt sa petite amie. Et bien le garçon Potter peut rêver, jamais je sortirais avec un idiot immature !
En lisant cela, Harry fut surpris. Apparemment sa mère détestait son père. Mais bon, ils n'avaient que 11 ans à l'époque. Il était curieux de voir comment la situation changerait.
Harry avait était enfermé dans son placard. Etant donné que c'était l'anniversaire de son cousin, tante Pétunia n'acceptait aucune erreur de sa part. Il avait du être emmené au zoo avec sa famille car la vieille dame qui le garde c'était blessé. Pendant tout le voyage Piers (le meilleur ami de son cousin) et Dudley lui donnait des coups discrètement. Une fois arrivé, il eu même droit à une sucette pas chère (sa tante ne voulant pas attirer l'attention en n'offrant rien à son neveu). Prenant bien soin de rester éloigné de son cousin (après tout, il pouvait se lasser des animaux assez vite), il visita tranquillement les lieux. C'était d'ailleurs la 1ere fois qu'il venait dans un zoo. Pensant que la journée n'était pas si mal que çà finalement, Harry alla voir les animaux de son coté. Il voulait voir en vrais les emblèmes des maisons de poudlard. A la fin de son tour, il ne trouva pas de blaireau mais il pu observer les aigles qui volait au dessus d'une scène de spectacle animalier. Il y avait beaucoup de monde près de la cage aux lions mais il observa l'animal dormir sur un rocher. Il termina par les serpents, mais son cousin arriva peu après, tapant sur les vitres. Harry rejoignit un serpent originaire du brésil que son cousin traité d'ennuyeux.
« Bonjour. Ce doit ne pas être facile, vivre dans une cage et être fixé toute la journée… Vivre loin de chez toi et de ta famille. C'était bien le brésil ? »
A ce moment, le serpent se redressa, fixant son interlocuteur avant d'hocher la tête vers la description 'né en captivité'.
« Tu…Tu me comprend ? »
« Sssssssssi »
N'ayant jamais parlé à un serpent, le jeune sorcier fut surprit. A ce moment son cousin le poussa pour prendre sa place. Moins de deux secondes après, la vitre disparue et Dudley tomba dans le décor. Le serpent glissa jusqu'à Harry.
« Merci amigossssssss »
Voyant un serpent en liberté, la foule sortit en panique du vivarium. L'oncle et la tante furent invité par le directeur, Dudley affirmant que l'animal à faillit l'étrangler et Piers criant qu'il aurait pu être mordu. Une fois rentré et Piers ramené chez lui, Vernon attrapa son neveu par les cheveux le trainant jusqu'à son placard avant de l'enfermer. Sachant qu'il n'aurait rien à manger, il se plongea dans le journal de sa mère remplit d'un monde magique, loin de son quotidien morose.
Chère journal Je suis de plus en plus inquiète pour Sev. Il dit qu'il m'aime mais refuse de me parler quand une personne de sa maison est dans le coin. Je sais que beaucoup de serpentard soutienne Voldemort et que cette maison n'est pas facile pour un sang-mêlé (ou pire : une né-moldue comme moi). Mais j'ai peur… Que Sev les suivent…Je l'ai pardonné quand en 5ème année il m'avait traité de sang-de-bourbe mais… J'ai vraiment peur de le perdre. Vu ses compétences en potions, il a était repéré par Malfoy. Il déteste tellement son père (encore plus depuis que sa mère fut tué par ce fou) que j'ai peur qu'il déteste les moldues en général. Bien que nous sortons ensemble, il refuse toute démonstration de couple en publique… Je ne sais plus quoi faire. En plus, les déclarations d'amour de plus en plus idiotes de Potter ne m'arrange pas mon morale.
Chère journal
Sa y est, Poudlard est définitivement terminé. ASPIC en main, il faut maintenant ce décidé de l'avenir. Mais quel avenir dans une Grande Bretagne en guerre ? Sev est moi avions décidé de nous installer dans un appartement du monde sorcier, loin du chemin de traverse (qui est souvent à risque avec les mangemorts). Nous avons eu aucun mal à l'acquérir, avec ses revenus en tant que maître des potions, Sev gagne bien sa vie. Quand à moi, je compte me lancer dans l'enseignement de rune ou sortilège. J'aime les enfants et vu les temps qui cours, autant leur apprendre comment ce protéger. De plus Dumbledore m'a contacté pour rejoindre un groupe qui lutte contre voldemort. Si je travail à l'école, je serais proche du directeur sans que sa ne soit suspect. Et puis, Poudlard sera sûrement le dernier lieu où on sera en sécurité. Après tout, seul Dumbledore tient tête à Voldemort.
Je n'arrive pas à y croire… Oh merlin, c'est fantastique, Sev et moi allons avoir un bébé pour la fin juillet! Je sais que c'est dangereux d'avoir un bébé vu que les nés-moldues comme moi somment souvent les cibles prioritaires des mangemorts. Mais… Je ne peux pas m'empêcher d'être heureuse, j'ai toujours rêvé d'être maman. Et puis un bébé fera peut être prendre conscience à Severus de ce qui est le plus important. Surtout que depuis un moment on se parle de moins en moins. Il me dit qu'il à beaucoup de travail et moi avec mes cours et les réunions de l'ordre de Phoenix j'ai peu de temps libre. Peut être que c'était ce qu'on avait besoin tout les deux, un moyen de nous retrouver. En tout cas j'ai déjà une idée du prénom. Pour un garçon, Harry Severus Snape. Pour une fille Jasmine Lily Snape. J'espère que Sev sera d'accord, j'ai tellement hâte de lui annoncer la nouvelle !
Harry Potter était choqué. Il n'était pas un potter. C'est vrai que le fais que sa mère était en couple avec quelqu'un d'autre que son père l'avait surpris il y a quelque jour, mais il ne s'attendait pas à cela ! Lui, il pensait que Severus et sa mère se serait séparé et que James et Lily aurait repris contact et ce serait marié. Mais la vérité était bien loin de se qu'on l'avait lui avait dit. Sa naissance correspondait à ce que sa mère avait prévus, il était du 31 juillet. Mais dans ce cas là, pourquoi tous pensait que James était son père ? Qu'est il arrivé à son vrais père ? Était-il mort dans cette guerre que sa mère mentionne ? Inquiet de la suite, il se plongea encore plus avidement. Il voulait des réponses. Quand Harry avança le journal au jour suivant, il remarqua que l'encre des pages avait bavé, comme si quelqu'un avait pleuré dessus avant que cela sèche.
Je… Je ne peux pas le croire. Comment Sev à t'il pu me faire ça ? A moi ? Quand on sortait ensemble, il m'avait promis qu'il m'aimait et ne me fera pas souffrir… Il m'a trahi ! Quand il est rentré à la maison, il était étrange. Et c'est là que j'ai vu, il avait la marque des ténèbres sur son avant bras. Il a rejoint Voldemort, je ne pouvais pas rester avec lui. J'ai pris quelques affaires et je suis parti de l'appartement, furieuse contre lui. Je suis actuellement chez Alice et Franck Londubat. Ils sont membre de l'ordre et des amis, au moins je peux leur faire confiance et leur maison est bien protégée. Alice aussi est enceinte, elle comprend pourquoi je suis parti. Je ne pouvais plus rester, risquant la vie de mon bébé. Je l'élèverais seule et je ferais en sorte qu'il ne manque de rien.
Je l'ai annoncé à Dumbledore, mais on aurait dit qu'il le savait déjà. Il m'a expliqué que si quelqu'un découvrait que le père de mon bébé était un mangemort, Jasmine/Harry serait en danger. Il a demandé à James Potter qui fait partit de l'ordre de m'héberger. Il a une grande maison à Godric Hollow et au moins la guerre l'a rendu plus mature que ses années scolaires. Il a accepté de me protéger, après tout Frank et Alice ne pourrait pas s'occuper de moi éternellement. Alice à sa propre grocesse à gérer. On a donc décidé ensemble que le bébé à la naissance aura deux certificat, le vrais et un faux qui le fera passer pour un potter, du moins tant que la guerre continue.
Harry, mon petit Harry, tu es si beau. A peine né, tu me ressemble beaucoup mais tu a les cheveux noirs de ton père et mes yeux. Comme convenu, nous avons fait deux certificats de naissance. Le faux, certifie la naissance de Harry James Potter. Le vrai, j'ai lancé une oubliette à la sorcière de l'état civil. Harry Severus Evans. N'étant ni marié à Sev et sachant qu'il ne pourrait pas reconnaitre son fils, Harry porte mon nom. Il est si petit, et pourtant le directeur pense que mon garçon ferait l'objet d'une prophétie… Il ne m'a rien précisé, juste que Voldemort prendrait pour cible les deux enfants concerné par la prophétie : Harry Evans et Neville Londubat. Je suis inquiète, James m'assure qu'il nous arrivera rien. Dumbledore à proposé d'utiliser le Fidelas pour nous cacher.
Chère journal Harry grandis si vite, le garçon commence déjà à marcher. Il est si joueur et plein de vie ! C'est rassurant que malgré la guerre et le fait qu'il reste dans la maison qu'il puisse s'épanouir. Pour son anniversaire Sirius lui a acheté un mini balais, je me demande d'où il a hérité son adresse. Ni Sev ni moi ne somme des fans de quidditch. Par contre nous étions tout deux les meilleurs dans la classe de potion. Harry a vite voulu m'imité quand je faisais des potions à la maison. Je lui ai donc acheté un mini chaudron et quand je commençais une recette je lui mets de l'eau dans son récipient. Il est tout content de touillé sa « potion magique » et faire comme maman.
Il y a un traitre parmi l'ordre. Plusieurs renseignements ont filtré vers les mangemorts. James pense que c'est Remus, après tout Voldemort à recruté des meutes de loup garou. Moi j'ai un doute pour ce pauvre Lupin, il a toujours était gentil. Et avec ses sens surdéveloppé il avait tout de suite compris qu'Harry n'était pas le fils de James. S'il était un traître, il aurait informé les mangemorts de la vraie filiation de mon fils. En parlant de changement de camp, Dumbledore m'a dit que Severus serait venu le voir pour me protéger. Il a peur que Voldemort me tue à cause de la prophétie et propose ses services. Bien entendu, le directeur n'a rien dit sur sa paternité (ce n'est pas son rôle). Au moins il y a encore du bon en lui…
Les témoignages permettais au jeune Harry de découvrir son passé. Cependant, le journal s'interrompit brutalement le 30 octobre. C'était une journée classique, sa mère lui transfigurant un déguisement de citrouille et préparant le séjour aux couleurs d'halloween. Depuis rien, il savait que sa mère avait du mourir peu de temps après. Le jeune sorcier avait les larmes aux yeux à la fin de sa lecture. Il avait était tellement aimé, le contraire que ce qu'il connait chez les Dursley. Sa mère l'aimait, son père aimait sa mère mais ignorait tout de lui. En faite, Harry espérait que son père ne savait toujours pas qu'il était son fils. Car si quelqu'un l'avait mis au courant, cela voudrait dire que soit qu'il l'avait abandonné aux Dursley, soit qu'il était mort. Maintenant, il lui restait qu'à attendre qu'il puisse aller à Poudlard. Sa mère ayant enseigné là-bas, il aura peu être plus d'informations. On ne sait jamais, Dumbledore pouvait toujours diriger l'école.
Le jour de son 11ème anniversaire, Harry se réveilla tôt, faisant ses taches habituelles sans broncher. Il devait agir normalement pour ne pas attirer la suspicion de sa tante. Pendant qu'il cuisinait le petit déjeuné, il aperçu par la fenêtre un oiseau voler. C'était un mercredi, sachant que son oncle allait au travail il fallait mieux pour lui que la lettre arrive avant que sa tante soit seule avec son cousin à la maison (car sa tante ne voulait pas le voir traîner dans la maison). Il alla dehors sous prétexte d'aller apporter le journal de Vernon pour inspecter le courrier. Dehors, il remarqua le journal, une enveloppe (sûrement une facture), une carte postale de la tante marge et une enveloppe cacheté adressé à Mr Harry Evans, le placard sous l'escalier, 4 Privet Drive, little whinging.
Gagné ! Il plaça la lettre dans sous son pull et rapporta vite le reste du courrier à son oncle qui rigola car sa sœur avait une intoxication alimentaire. Sans attirer l'attention, il retourna dans son placard pour lire sa lettre.
Chère Monsieur Potter Nous avons le plaisir de vous annoncer que vous avez était admis à Poudlard l'école de sorcellerie. Vous trouverez ci-joint la liste des fournitures scolaire. Nous attendons votre réponse par hibou avant fin juillet Minerva Mac Gonagall, directrice adjointe de Poudlard
A savoir, bien que la directrice écrit les lettres aux étudiants, l'adresse elle se mettait automatiquement par un sortilège. Ainsi, si un enfant déménageait, l'adresse se modifierait aussitôt. Evans étant son vrai nom, il se mit automatiquement sur l'enveloppe.
Harry griffonna sur un papier de son cahier d'école avant de partir au parc du quartier (il pouvait sortir qu'a la fin de ses corvées). Le hibou brun qu'il avait aperçu dans la cuisine l'a suivi, il était sûrement de l'école. Loin des regards de sa famille, Harry tendis la lettre qu'il avait écrite.
Madame, Je viendrais faire mes études à Poudlard. Cependant, j'ai besoin d'aide pour mes fournitures scolaires. Je n'ai pas d'argent et je ne peux pas aller faire mes achats sans indication. Pouvez-vous m'envoyer quelqu'un ? Cordialement Harry Potter
Satisfait de son message, il le tendit à l'animal qui l'attrapa avec son bec avant de s'envoler. Il ne lui restait plus qu'à attendre.
